Interet Dramatique Pour La Phedre

l'horreur ( ex: "exterminer" l.4 , "attaquer" l.6 , "horrible massacre" l.7 , "massacrer" l.13 ) . L'auteur va donner de l'ampleur à l'événement , les formules sont souvent hyperboliques ( "pitoyable spectacle" l.16 ) , il y a une forme d'intensité dramatique qui est créer avec une temporalité qui est resserrée , ce qui donne l'impression que tout s'enchaine avec énormément de rapidité ( " si tôt arrivé" l.6 , "deux jours après" l.6 , "le matin" l.14 ) Le but de l'auteur est de mettre en perspective

vente de la cerisaie / Acte III Les derniers mots de Firs / Acte IV Annexes Repères biographiques La Cerisaie 22 sept. – 24 oct. 2010 5 Anton Tchekhov et son temps Biographie Anton Pavlovitch Tchekhov (1860-1904) – Prosateur et auteur dramatique russe Dans ses articles et ses lettres Tchekhov critique le théâtre commercial de son temps qui pervertit les auteurs, les acteurs et le public. Parmi ses nouvelles, plusieurs traitent du théâtre ; il en adapte lui-même à la scène : Le Chant du

Le texte théâtral (PAGES 158 à 163) Le premier chapitre consacré au genre théâtral rappelle les particularités du texte théâtral destiné à la fois à la représentation et à la lecture. C’est parce qu’on peut le lire, et qu’on peut prendre intérêt et plaisir à cette lecture, que le genre théâtral relève de la classe de français. Mais savoir lire un texte de théâtre demande une attention spécifique, ce que Molière a rappelé dans l’avis au lecteur qui précède le texte L’Amour médecin : « On

représenter sur scène que ce qui ne choquera pas le public. On écarte la violence physique mais aussi l'intimité physique. Les scènes violentes doivent ainsi être racontées par un personnage. Quelques exceptions sont restées célèbres comme les morts de Phèdre et de Don Juan dans les pièces éponymes de Racine et de Molière ainsi que la folie du personnage d'Oreste dans Andromaque. Tragédie[modifier] La tragédie n'existe pas pendant le Moyen Âge français. Elle renaît au cours du xvie siècle suite à

peut dire que La Fontaine, en faveur d'une morale explicite, utilise ici tous ses talents de conteur. Les interventions successives des différents animaux, le lion, le renard puis l'âne, en relation avec les différentes figures rendant un côté dramatique au texte, constituent pour beaucoup à servir la morale. La Fontaine, en conclusion, utilise ses talents de moraliste en vue de servir la morale de cette fable. Mal que le Ciel en sa fureur Mal : répétition en début de vers ou anaphore, dramatise

l’ont conduit à être lui-même vu comme un personnage de roman, de préférence d’un roman qu’il aurait pu écrire : l’ampleur de sa production, ses maîtresses, son ascension de roturier de province en écrivain reçu dans tous les salons, ses multiples intérêts et entreprises, ses échecs fracassants, son royalisme, son mariage tardif avec une comtesse qui lui avait écrit par admiration une dizaine d’années auparavant, sa mort six mois après, à cinquante ans. D’un point de vue physique, ses yeux lumineux

« La fable, selon Aristote, est « l'assemblage des actions accomplies » ; elle a donc un caractère englobant et organique de très grande généralité, elle résume en quelque sorte le « contrat », le projet qui est à la source du dynamisme de l'action dramatique. Ainsi, la fable d'Electre pourrait se réduire à : « Tuer sa mère » ; celle d'Hamlet à : « Comment se décider à agir ? » (...) Comme son nom l'indique (le mot est dérivé de la racine de fari, parler), la fable est narration mais - et c'est en cela

sont rejetées en majorité. Les successeurs de Platon et ses éditeurs antiques cherchèrent plus à constituer, tant bien que mal, un système qu’à restituer les étapes de sa pensée. C’est encore la perspective de Schleiermacher, qui, voyant dans le Phèdre le germe de ce qui s’exposera méthodiquement par la suite, le fait figurer (1807) en tête de sa traduction allemande des œuvres complètes. Son hypothèse est contestée en 1839 par K. F. Hermann, le premier à s’intéresser au développement chronologique

le fait de « montrer » un monde de conventions dans lequel des comédiens interprètent des personnages et prêtent leurs voix et leurs gestes pour donner vie à un texte. Le mot « théâtre » s’applique aussi à l’ensemble des activités liées à l’art dramatique et au lieu destiné aux représentations. I.TRAGÉDIES DE RACINE A. L’auteur Rival de Corneille, de son temps comme dans les esprits du public d'aujourd'hui, Jean Racine reste le maitre de la tragédie

». Mais le registre tragique finit par l’emporter, car l’abbé Prévost s’inspira des tragédies raciniennes lues dans sa jeunesse pour écrire les personnages : Des Grieux se présente ainsi sa passion pour Manon comme une fatalité qu’il subit // Phèdre en proie à une passion coupable pour Hippolyte. D’ailleurs Renoncour annonce dans « l’Avis au lecteur », qu’il va donner « un exemple terrible de la force des passions ». Mais il est d’avantage victime de ses mauvais choix que d’une passion fatale