Interprétation Des Didascalies

théâtral d'origine sont indiqués par des didascalies. Ce sont des notes, que l'on ne dit par sur scène, écrites par l'auteur qui indiquent donc les gestes, mais aussi l'expression voir la tenue d'un personnage. Elles sont à destination des acteurs eux même ou du metteur en scène. Le théâtre demande donc une mise en scène, souvent décrite par l'auteur dans ce qu'il a rédigé. Cependant, le metteur en scène est libre ou non de la respecter. Les didascalies peuvent être toutes reprises sur scène ou

et très peu sur un canevas, qui était aussi court que simpliste ne montre-il pas l’engouement des spectateurs pour le spectacle et non pour la réflexion ? L’auteur lui-même prend soin, alors qu’il rédige ses pièces, de mettre des indices, des didascalies ou des descriptions du personnage, mais celles-ci sont faites pour l’adaptation au théâtre de l’œuvre. En effet, les effets spéciaux, durant le dénouement de Dom Juan, prennent toute leur ampleur avec les jeux de lumières ; le jeu des dialogues

littérature. * Ses œuvres puisent dans des thèmes récurrents : solitude, cruauté, épuisement, mort et attente. Etude de l’incipit. Quelles informations sur l’œuvre cet incipit nous donne ? Il s’arrête à la page 16 « j’ai à faire ». Les didascalies parasitent les répliques. La scène n’est pas traditionnelle (traditionnelle : présenter les personnages, lieu, temps, contexte, lancer l’action/intrigue). Elle déçoit les attentes du lecteur, les éléments traditionnels sont là mais vidés de leur

scène de théâtre (répliques avec le nom du personnage qui parle + des didascalies sur leur ton, les gestes, les mouvements). Il faut donc penser expliciter les paroles qui ne sont pas prononcées dans le genre narratif puisqu’au théâtre tout est dit, on ne peut pas résumer. Repérer les éléments descriptifs et les actions des personnages, les souligner dans le passage narratif pour n’en oublier aucune, puis les convertir en didascalies ou les évoquer à travers le dialogue des personnages. Les personnages

 résolution  par  la  représentation   A/  Le  retour  à  la  situation  initiale     B/  Trivelin  délivre  une  morale  mais  pose  la  hiérarchie  sociale  comme  volonté  divine.   C/  Interprétation  de  la  leçon  de  Marivaux                                   1 Introduction     Introduction  générale  >  Marivaux,  histoire  littéraire   Dramaturge  du  18e

d’exposition ? » L’un d’entre eux sera interrogé à l’oral. Séance 3 : Lecture analytique texte 2 : du début de la p.29 à p.34 « Comment se porte le pays ce matin ? » Questions de préparation : Quelles remarques pouvez-vous faire sur les didascalies dans ce passage ? Comment Ionesco donne-t-il l’image d’un univers incohérent et en dégradation ? La correction aux questions de préparation permet de montrer comment le pouvoir royal est ici tourné en dérision. On analysera ensuite l’ironie

Hippolyte en inspiration. L'auteur est aussi celui qui donne des indications scéniques. Il écrit des didascalies. Ces didascalies présentes surtout depuis le XIXème siècle indiquent le décor, les costumes et les jeux de scène. Dans Les Bonnes, Jean Genet en a écrit un très grand nombre. On peut avoir l'impression que Jean Genet ordonne au metteur en scène comment il a à travailler, quelques didascalies sont directement adressées au metteur en scène (« … je suggère donc que les metteurs en scènes... »)

qui permettent d'établir une communication ; le but du langage est de transmettre des idées. Les mots = premier outil pour le langage, premier support qui permet la transmission d'un sens, d'une signification (= répliques, monologues, paroles, didascalies...) Autres types de langage = au théâtre qu'est-ce qui nous aide à comprendre, nous apporte du sens ? Le jeu des acteurs (expression, du visage, gestuelle, déplacement, intonations...) la scénographie, tt ce qui est extérieur à l'acteur ; le

Vous vous demanderez en quoi la mise en scène d’une œuvre théâtrale en constitue, à sa manière, une interprétation. Si on souhaite faire passer un message lors de la mise en scène d’une œuvre théâtral, il faut que l’interprétation soit l’image même de l’idée du metteur en scène. Le mot « théâtre » en grec signifie « regarder », c’est ce que le spectateur fait principalement lorsqu’il assiste à une des scènes de théâtre mais il doit également interpréter ce qu’il voit. Pour cela il faut que l’acteur

de la mise en scène, depuis l'avènement du metteur en scène comme artiste , on ne cesse de s'interroger sur le rôle respectif du metteur et scène et de l'auteur. Certains auteurs se protègent de cette concurrence nouvelle soit en multipliant les didascalies qui visent a guider , ou a contraindre , le metteur en scène, soit en s'associant à un artiste qui les connait bien et qui ne risque pas de trahir leur pensée, d'autres au contraire se réjouissent de la multiplicité des sens que peuvent prendre