Interrogation

anecdotes que l'auteur fait vivre à ses personnages lui permettent généralement de mettre en place un discours argumentatif efficace. En effet, tout au long du récit, l'expérience vécue par le protagoniste va permettre d'organiser une réflexion et une interrogation. Ainsi, dans Candide, le personnage principal, qui est naïf au début du conte, va peu à peu s'interroger sur la formule du philosophe Pangloss qui prône que "tout est au mieux dans le meilleur des mondes". Candide va même aller jusqu'à complètement

le CPC, vous pouvez, entre autres, répondre aux interrogations suivantes: Comment évolue le chiffre d'affaires de l'entreprise 1 ? Quel est le taux de la marge brute et son évolution? Que représentent les frais de personnel en pourcentage de mon activité? Les frais généraux sont-ils en train de progresser plus vite que mon activité? Les frais financiers sont-ils devenus trop importants? Les comptes fournissent aussi une réponse à des interrogations financières plus globales. Par exemple, il est

qui défendaient le même point de vue par exemple. Plus tard la question posée par l’examinateur doit apparaître, il faut à tous prix l’inclure dans votre introduction et ensuite présenter les axes que vous aller suivre pour répondre a cette interrogation. (Exemple d’introduction, poésie de Jean Tardieu, « vous étiez pourtant responsable ») INTRODUCTION : Nombre d’artistes se sont engagés politiquement au cours de leur vie alors que leur pays traversait une période difficile. Certains ont combattu

Frantz s'est enfermé. → renforce cette idée de culpabilité de Frantz. De plus la réponse brève «oui» accentue encore cette culpabilité puisqu'il ne semble pas vouloir s'étendre et répond simplement par l'affirmation «oui». Johanna par cette interrogation et par le choix du verbe «croire» montre son doute quant à la connaissance de Frantz pour l'actualité de l'Allemagne. Johanna semble sentir que Frantz a arrêté le temps et l'histoire en même temps que s'être séquestré. De plus, cette réplique

grand-mère. L'alternance de ces trois modalités, génératrice d'émotion (chez le narrateur et chez le lecteur) permet aussi l'expression d'une dénonciation sévère. Celle-ci ne passe pas par la violence des termes, mais par les constatations, et les interrogations pathétiques d'une vieille femme qui ne comprend pas. La réponse, donnée à la fin du texte, est une critique acerbe et ironique du régime et surtout du monarque. La juxtaposition des deux tableaux : l'intérieur pauvre et l'enfant mort d'une part

évidence leurs insuffisances et leurs faiblesse. A la différence des orateurs politique et des sophistes Socrate ne cherche pas à défendre une thèse par tous les moyens, son but n'est pas de convaincre son interlocuteur, mais de susciter en lui interrogation et réflexion 1.1 La philosophie telle que Socrate la cultive n'est donc pas tout d'abord expression d'une pensée achevée, elle est d'abord examen par soi-même de ses propres pensées, et mise à l'épreuve de ce que l'on pense ou de ce que l'on

gestion par l'homme. Or, la vie profane a besoin d'être renouvelée au contact du sacré – ce dernier étant la conséquence directe des interrogations de l'homme sur lui-même et sur le monde ; en d'autre mots, de sa recherche philosophique de la vérité. Sans côtoyer le sacré, il semblerait que le profane ne réponde pas aux besoins de l'homme, et à ses interrogations. En résumé, il est difficile de conserver le caractère humain si l'on se passe du sacré, mais ce dernier doit être contrôlé pour ne pas

est associé à la figure du Christ pour souligner l’injustice. Il possédait de grandes qualités morales qui auraient du le préserver (opposition avec la mort). - une incompréhension marquée par les nombreuses exclamations, les interrogations de la grand-mère (interrogations rhétoriques qui montrent la détresse de la vieille femme). De plus, les absurdités sont mises en valeur et reflètent les injustices. Une demande de justification est faite par la grand-mère. 3. Un poème engagé - une attaque

regarde et « Elle écoute… », puis elle se pose dans une attitude de méditations, elle s’interroge en faisant quelques suggestions sur ce qui aurait put provoquer ce bruit, ce qui met en place une triple interrogation auxquelles elle répond aussitôt par une triple négation. Dans la dernière interrogation : « Qui trouble ainsi les flots près du sérail des femmes ? », la Sultane s’interroge l’identité de l’auteur du bruit. Et il semble que ses réponses sont révélatrice de l’horrible réalité. Et donc

livre doit soulever des questions » Selon lui, ce n’est ni l’esthétique ou le style d’écriture qui a une influence primordiale. Toujours selon lui, le livre ne mérite l’appellation de « beau » que quand l’histoire est capable de susciter des interrogations. Cocteau ne se contente pas de juste donner sa définition du beau livre, il l’applique dans ses œuvres ; On se souviendra par exemple de la scène de fin de la pièce de théâtre « la machine infernale » où le héros déchu Oedipe qui, volontairement