Intervention Etat Subprimes

l’américanisation condamne la mondialisation à s’uniformiser. Fatalisme ou schématisme car désormais on s’interroge sur le déclin US, faut-il parler de désaméricanisation avec les symboles de l’hyperpuissance américaine laminés par la crise des subprimes. [ Transition entre présentation DS et annonce problématique ( recentrage sur cœur du sujet] ( Les centres, les puissances (à toutes les échelles de l’analyse) sont-ils condamnés à émerger, s’affirmer puis décliner avant d’être relégués au

d'indépendance s'est faite contre l'Etat colonial britannique suite à l'augmentation des taxes par les Britanniques qui a entrainé une révolte fiscale. Pour la peine de mort (les sanctions pénales en général), ce n'est pas l'Etat central qui décide mais chaque Etat fédéré et c'est aussi le cas pour les programmes éducatifs. On parle peu des Amérindiens, qui ont seulement étaient victimes au XIXe siècle de la conquête de l'Ouest. Aujourd'hui, 1% des 300 millions d'Américains est amérindien. 2-Les caractéristiques

produits alimentaires. Doc 3 p 61 « biocarburants » décrivez et expliquez la caricature La hausse des prix des céréales due aux agrocarburants et à la spéculation internationale sur les prix agricoles (conséquence, par exemple, de la crise des subprimes) rendent difficile l’accès aux produits alimentaires pour les petits paysans et les urbains les plus pauvres. La malnutrition frein au développement. La malnutrition est à la source du cercle vicieux du sous-développement. Elle entraîne une plus

l’économie réelle. La crise financière puis économique qui s’est développée depuis l’été 2007 s’est déroulée en trois temps : elle a successivement atteint les marchés, les banques et l’économie réelle. On est en effet passé d’un problème de marché (les subprime et leur diffusion via les produits structurés) à une crise financière (le marché des refinancements à court terme) puis à une crise bancaire, laquelle a eu, à son tour, des répercussions macroéconomiques. 1| LE DÉCLENCHEMENT DE LA CRISE 1|1 La

rationnelle : le travail de l’homme est valeur de toute premier plan ⎝ La technocratie, avec Jean-Charles Léonard Sismonde de Sismondi, critique le fait que le capitalisme véhicule l’exploitation ouvrière et la récurrence des crises. Il recommande une intervention nuancée de l’Etat et veut faciliter l’accès de tous à la propriété afin d’atténuer les antagonismes sociaux. ⎝ Le socialisme associationniste (Charles Fourier et Robert Owen). Phalanstère fondées sur l’utopisme fraternel pour Fourier = échec

financier ou immobilier, patrimoine). Action : titre de propriété représentant une part du capital d'une entreprise. Action collective : action d'un groupe d'individus cherchant à défendre une cause ou des intérêts communs. Action publique : intervention de l'État (des administrations publiques). Activité sociale : pour Max Weber, ensemble des conduites orientées vers autrui auxquelles les individus attachent une signification. Actualisation : calcul permettant de connaître la valeur aujourd'hui

développement humain, au développement durable, au microdéveloppement. • A partir de 2007, le système financier international traverse une des plus graves crises depuis 1929. L'internationalisation de la crise des crédits immobiliers américains à risque ("subprime mortgages") entraine une forte baisse des grandes bourses mondiales dès l'été 2007, puis provoque, à partir de la faillite de la banque américaine Lehman Brothers le 14 septembre 2008, une crise financière majeure qui affecte l'ensemble de la planète

milliards d’€. Les investisseurs ont préféré acquérir des titres européens plutôt que les titres américains. Ce montant est très élevé mais il est conjoncturel et résulte des réajustements de portefeuille qui sont intervenus suite à la crise de subprime en direction de l’Europe puisque les titres européens étaient plus lisibles et donc moins risqués que les titres américains. c. Produits financiers dérivés Produit dont la valeur dérive de la valeur d’un actif. Ce sont des produits qui permettent

Les Cahiers du CREAD n°87 /2009 69 LA STABILITE FINANCIERE, UNE MISSION POUR LA BANQUE CENTRALE ? Mohamed Yazid BOUMGHAR* Héla MINIAOUI** Mounir SMIDA*** RESUME La crise des subprimes a remis au goût du jour le rôle des banques centrales dans la régulation et la supervision du système bancaire. L’étendue de cette crise et la récurrence de crises financières similaires ont focalisé le débat sur le rôle du banquier central dans la prévention et la conduite à tenir en situation de crise bancaire

miniaoui@isgs.rnu.tn  Professeur d’économie - FIMOD. Faculté de Droit et des Sciences Economiques et Politiques de Sousse 4023 Sousse-Riadh, Sousse - Tunisie. Tél. (216) 73 232666. Email : Mounir.Smida2003@yahoo.fr. depuis l’été 2007, la crise des « subprimes » a remis la question de la supervision du système bancaire et de son sauvetage par une autorité monétaire au centre des débats. Ce travail a pour objet d'apporter une réponse à l’interrogation suivante : la stabilité financière est-elle du ressort