Interventionnisme Et Libéralisme Comptabilité

au XIXe siècle, un net retrait devant le libéralisme, il a pourtant inspiré alors certaines pratiques qui ont soutenu l'essor d'industries nouvelles (chemins de fer) ou défendu certaines activités (agriculture). Mais c'est à la fin du XIXe siècle et, plus encore, au XXe qu'il a pris toute son extension. Pour le caractériser, il ne suffit pas de le situer à un niveau intermédiaire entre le socialisme (car il respecte, en général, la propriété privée du capital) et le libéralisme (car il entrave le libre jeu des

FINANCES ET COMPTABILITE PUBLIQUES INTRODUCTION . Définition des finances publiques . Domaine des finances publiques TITRE 1er : PRINCIPES GENERAUX Chapitre préliminaire : cadre législatif et réglementaire Section 1ère : La Constitution Section 2 : Le droit communautaire : le Traité et les Directives de l’UEMOA de l’UEMOA Section 3 : La loi Section 4 : Les décrets financiers Chapitre 1er : Les

traditionnelles relatives aux finances publiques ont commencé avec les pensées pré-classiques (1), ensuite bien développées dans la pensée libérale classique (2) et puis ajustées avec la pensée socialiste (3), avant qu’elles soient infléchies par le libéralisme interventionniste (4). 1 - LA PENSEE FINANCIERE PRE-CLASSIQUE La pensée financière pré-classique remonte au xvi siècle. Elle a été conçue à ses origines par les mercantilistes (a) et reconsidérée ultérieurement par les physiocrates (b).

contenait que peu d'infractions relatives au commerce, mais ces sanctions demeuraient l'exception à l'égard du commerçant malhonnête. Le rôle du droit pénal était très limité en matière commerciale, ce qui se justifiait aisément dans un contexte de libéralisme économique. Il appartenait à la loi pénale de veiller au respect d'un ordre public de protection, qui ne justifiait pas une intervention très large de la loi pénale. La loi pénale ne devait pas être trop présente afin de ne pas entraver le dynamisme

monde 2 – La Sérénissime Venise A – Un trait d’union entre l’Orient et l’Occident B – L’essor adriatique et méditerranéen C – La guerre contre Gènes D – La puissance économique E – Déplacement des routes commerciales et déclin de Venise F – La comptabilité en partie double 3 – Poursuite de l’essor des pratiques commerciales et financières A – Un essor débuté à la fin du Moyen-âge B – L’exemple des FUGGER C – Essor des banques et des bourses de commerce D – La société par actions 4 – Les empires espagnols

analogies entre la vision autrichienne et celle de Keynes : importance du temps et de l’incertitude, méfiances envers les mathématiques. Il existe quand même de réelles différences entre ces deux mouvements puisque l’école autrichienne prône un libéralisme radical où la planification est impossible et selon Hayek, la société constitue un ordre spontané et la crise de 1929 est due à un surinvestissement provoqué par une politique laxiste alors que pour Keynes elle est la cause de l’effondrement de

effet de retour, le droit des affaires exerce une influence sur le droit civil. Les institutions du droit des affaires sont, de plus en plus souvent, étendues aux activités civiles. À titre d'exemple, les professionnels civils doivent tenir une comptabilité et le droit du redressement et de la liquidation judiciaires s'applique aux artisans (depuis 1988), aux agriculteurs (depuis 1985) et aux personnes morales civiles (depuis 1967). Il en résulte que le droit des affaires dont l'existence se justifie

symbolique : 1492), à la formation d’un capitalisme marchand, et plus généralement de la société moderne (marché, capitalisme, Etats). C’est alors (16e-17e) le temps de la Renaissance et de l’économie mercantiliste, qui se terminera par l’émergence du libéralisme. Dans ce grand mouvement, le pôle central de l’économie-monde passera progressivement de la Méditerranée à l’Océan atlantique. Si des choses changent, le changement est encore quasi invisible : l’économie reste préindustrielle, une économie d’ancien

entreprises public par le biais de la de nationalisation. Dans cette période s’ étendant de 1929 à 1945 le secteur privée et donc les entreprise étaient souvent tenues pour responsable ces origines de la crise de 1929 ( spéculation, laisser faire, libéralisme) Et c’est pourquoi des état comme la France au développer leur secteur public industriel et commerciale pour promouvoir le développement de leur économie néanmoins dans le même temps au plan international était adopté les accords du GATT en 1947

et la séparation entre les ordonnateurs et les comptables. On élabore des règles de comptabilité publique, des règles qui définissent la façon dont on va retranscrire d’un point de vue comptable les opérations. Le Parlement vote la loi de règlement, loi qui solde le budget (plusieurs étape : la loi de finance initiale est la première étape…). Sous le second empire (1852-1870, Napoléon 3) on affine la comptabilité publique et on a institué le vote du budget par ministère (donner des crédits…). (La