Interventionnisme

prélèvement fiscal sur les revenus agricoles. L’Etat crée des manufactures royales qu’il finance lui-même. Ce sont des manufactures de secteurs stratégiques : armement, produits de nécessité quotidienne. → Pour la 1ère fois, on observe un interventionnisme massif de l’Etat dans l’économie. L’Etat sort de son rôle régalien. Cette tradition est remise en cause aujourd’hui avec l’intégration européenne (pas le droit de soutenir des secteurs en particulier). Pour la France, on tire un bilan positif :

mobilisation. Les structures économiques sont réorganisées pour soutenir l’effort de guerre : - production d’armements, ravitaillements, du front et des civils. - Cette économique de guerre implique un interventionnisme accru des Etats dont l’action vise la répartition des matières premières, de la main d’œuvre, la fixation des prix et de la distribution des crédits. - Pour financer la guerre, les gouvernements lancent aussi des emprunts

tout attendre de l'État, tout en attendant finalement de lui qu’il rende possible la vie commune dans l’intérêt de tous, ce qui n’est pas rien ! Entre l'absolutisme et le libéralisme, l'État ne peut-il pas en effet trouver l’équilibre dans un interventionnisme intelligent, sans être pour autant un État Providence auquel les citoyens confieraient le soin de résoudre à leur place l'ensemble de leurs problèmes. Dans les démocraties actuelles, les élection offrent régulièrement aux citoyens le soin

l'activité économique ; le déficit sera ensuite résorbé par les retombées fiscales de la nouvelle croissance obtenue. • Aujourd'hui, si l'on exclut les positions extrémistes de certains « ultra-libéraux », l'opposition entre libéralisme et interventionnisme relève moins d'un affrontement entre deux conceptions antagonistes que d'une différenciation quant au degré et aux modalités d'intervention de l'État. L'intervention de l'État peut en effet être soit placée à la discrétion du Gouvernement, soit

la réapparition de l’inflation avec une politique de lutte contre le chômage. Aussi le débat reste ouvert et vif concernant le court terme car il traduit l’opposition traditionnelle entre classiques et keynésiens, les premiers prônant le non-interventionnisme, tandis que les seconds plaident pour des interventions dans l’économie. Dès lors, la question présente est finalement de savoir quelle inflation est acceptable pour une économie et pour l’emploi ? Face à la difficulté d’interprétation de la

néanmoins de nature à ne pouvoir être entrepris ou entretenus par un ou plusieurs particuliers, attendu que, pour ceux-ci, le profit ne saurait jamais leur en rembourser la dépense. » Avec ce « devoir », Smith justifie clairement un certain interventionnisme de l’État dans la vie économique. Il définit aussi ce que la science économique appellera plus tard le « bien commun. » Selon Smith, le marché ne peut pas prendre en charge toutes les activités économiques, car certaines ne sont rentables pour

transport aérien : - 1918 -1939 : Souveraineté des Etats - 1944 -1977 : Ere de la réglementation - 1978 -2001 : Libéralisation progressive du transport 1. 1918-1939 - Régime de la souveraineté nationale absolue  période caractérisée par un interventionnisme étatique marqué : - considérations stratégiques (climat de méfiance de l’après guerre, souci de maîtrise de l’espace aérien) - considérations économiques : protection d’une activité encore non rentable - considérations normatives : normes

Saint-Vith. -Suisse : Confédération Helvétique. 2. Enterrer les idées libérales de la RF, faire comme si elles n’avaient jamais existé. On revient aux idées de 1788 (plus d’idée de : liberté, égalité, fraternité) MAIS légitimité et Interventionnisme (Russie, Prusse, Autriche) Conséquences : Louis XVIII est remis sur le trône et on instaure le régime constitutionnel en France. Les vainqueurs du congrès de Vienne se donnent le droit d’intervenir militairement dans des pays qui ne voudraient

d’autres figures professionnelles sont employées dans la dèfense de la nature et de sa nouvelle gestion. C’est mieux intervenir dans le campagnes en deshérence ou dans les territoires soumis à l’agricolture productiviste ? C’est mieux un non-interventionnisme dans la nature ou c’est mieux l’intervention des hommes comme bonne gestionnaires des biodiversité ? Ce sont des question encore actuel. Mais l’homme fait partie de la nature, les paysages qui sont dans notre mémoire, ont eté modelé par les

par la crise. Sa fragilité et son extrême dépendance économique la plonge dans des difficultés considérables. Un remède sera tenté : le New deal. B – le New Deal A la tête du New deal, il y a le président Roosevelt qui témoignera d'un interventionnisme modéré. Les atouts du président Roosevelt De 1929 à 1932, la crise ne cesse de s'accentuer. Cet enracinement des difficultés met à mal ??. Aux élections de novembre 1932, c'est le démocrate Roosevelt qui devient président. L'ensemble