Intimité Pudeur

mains avec la SHA, qui est bien placé dans la chambre sur le mur. J’observe que la soignante respecte énormément la pudeur de la patiente en tirant un rideau entre les deux lits, elle s’assure que la fenêtre soit bien fermée. L'aide-soignante amène la patiente dans le cabinet de toilette. Elle lui propose d’aller aux toilettes avant de débuter le soin, elle assure son intimité tout en assurant une surveillance discrète pour garantir sa sécurité. La personne est ensuite installée confortablement

personnes de plus. L’espace intime de madame X est encore réduit. A cet instant j’ai eu davantage l’impression que cette chambre faisait partie intégrante du couloir d’où venait la lumière que de la vie de cette dame .J’ai donc fermé la porte par pudeur pour elle, refermant ainsi son espace personnel. Après réflexion sur cette situation, il m’est parut clair de différencier deux attitudes : celle de madame X et la mienne. En effet cette dame vit ici depuis 5 ans, elle voit des soignants tous les

l'intimité des patients reste une priorité. Pourtant, dans cette chambre, il n'y ni rideau, ni paravent. Dans ce cas là, il est difficile de respecter la pudeur du patient alité, qui est dénudé devant l'autre occupant de la chambre. De plus, lors des visites des familles, la situation peut être gênante. Il est délicat de pouvoir conserver une intimité au niveau de ses informations et de sa vie sociale. Pour améliorer les conditions de cette toilette, plusieurs pistes seraient envisageables: Il faudrait

sa porte, lui demande comment elle va ce matin et après une brève conversation, l'informe que je viens avec Muriel pour l'aider à effectuer sa toilette du jour. Je lui retire sa chemise d'hospitalisé que je pose sur son buste pour respecter son intimité. Je prépare une bassine d'eau douce que je pose sur la table adaptable près d'elle, avec son gant de toilette personnel destiné au haut du corps, ainsi que sa savonnette et sa serviette prévues à cet effet. Me Z effectue donc la toilette de son visage

n'allait pas elle crierait,et ma pensée à ce moment là a été de me dire que ce problème d'eau chaude rendait cette situation compliquée déjà pas évidente ni pour moi,ni pour elle. J'ai mis une serviette sur le bas de son corps pour préserver son intimité et j'ai commencé à lui savonner le haut de son corps,c'est là qu'elle m'as dit que je pouvait frotter vraiment plus fort d'un ton un peu agacé,j'ai pensé sur le moment « mince je suis trop dans la douceur et ça peu effectivement déranger,je n'y avais

lui demander son autorisation. Ce rideau habituellement utilisé par les autres soignants lors des soins. Observation et étonnement. Etant en observation d’un soin de confort fais par une aide-soignante, les gestes tel que le respect de pudeur et intimité sont prioritaires. Surtout que face au patient se trouvent un autre patient. Aurais-je oublié d’utiliser le rideau de séparation ? Difficulté et point à approfondir. Un oubli pareil reste dans le non-respect du patient. Ne sachant pas

encore sa protection. La préparation du matériel me permet de ne pas faire les aller-retours entre la chambre et la salle de bain de la patiente et ainsi assurer sa sécurité et son intimité. Fermer la porte et indiquer à la famille que je suis en soin avec la patiente me permet de conserver l'intimité et la pudeur de la personne en évitant ainsi une éventuelle entrée dans la chambre lors du soin. Je me désinfecte les mains avec la solution hydro-alcoolique pour éliminer la flore transitoire

pour la tête, je rinçais et séchais dans le même ordre que pour le lavage. Pour le lavage et le rinçage, je ne passais qu’une fois par zone afin de ne pas resalir les parties déjà faites. Pour terminer, je couvrais Mr M avec la serviette pour son intimité et pour qu’il ait moins froid. -Le lavage de la partie inférieure : De même que pour la partie supérieure, je réalisais la toilette de la jambe opposé à moi puis celle étant la plus proche de moi. Ensuite, je rinçais et je séchais les jambes

proche, je me suis aperçu du manque de respect envers la pudeur de madame H. Celle-ci étant dans une situation inconfortable pour son intimité, d'être laissée ainsi découverte durant un temps inconnu peut être extrêmement gênant, surtout qu'elle n'a que peu conscience de la nature des actes apportés à sa personne. Sur un plan positif, la soignante a répondu au plus vite à une possible situation d'urgence malgré le non respect de la pudeur de la résidente et des règles d'hygiène. Difficultés et

paire de ciseaux si nécessaire Comment : Expliquer le soin au patient, son déroulement et les avantages qui en résulteront ( hygiène, confort…). Installation du patient en décubitus dorsal. Déshabiller le patient en respectant sa pudeur, son intimité, établir un climat de confiance propice à la bonne réalisation du soin. Réaliser une friction des mains, s’équiper d’un tablier jetable et d’une paire de gants à usage unique. Mettre une protection sous les fesses du patient. Faire une toilette