Introduction Mobilité Sociale

rôle du sport dans la société? Quel lien entretient-il avec l'économie? I: le rôle du sport dans la société: A. le sport permet une insertion dans la vie professionnelle chez les jeunes et permet ainsi une mobilité sociale ascendante. B. le sport est un fort exemple d'inégalité sociale entre hommes et femmes et illustre bien la théorie du « plafond de verre » selon laquelle les femmes ont un accent limité au plus haute marche de la hiérarchie professionnelle. Le sport serait donc sexiste.

s'élever dans la société. Il est appelé Bel Ami par Laurine, fille de Madame de Marelle, à partir du chapitre V de la première partie du roman. Tous ceux qui le fréquentent l’appellent ensuite ainsi. Au fur et à mesure du roman et de son ascension sociale, il fait de plus en plus preuve d'immoralité, allant jusqu'à — après avoir épousé la veuve de son ami Forestier puis l'avoir répudiée — se marier avec la fille de son ancienne amante.

Ce texte de Marie Duru-Bellat est extrait de L’inflation scolaire, Les désillusions de la méritocratie publié en 2006. Dans cet extrait, l’auteur présente la méritocratie comme trop stricte et comme n’ayant aucun bénéfice social. Pour l’auteur, elle doit être moins sélective et devrait mettre moins de pression sur les enfants car l’émancipation des plus jeunes est entachée au travers de la concurrence constante. Ainsi même si la méritocratie est le moins imparfait des systèmes, elle possède des défauts

Après avoir étudié les différents groupes sociaux vous préciserez pour la France s’il y a uniformisation des modes de vie. I- Les différents groupes sociaux Toute société comporte une stratification sociale, une hiérarchie. Une stratification sociale c’est la division de la société en différents groupes en fonction de critères variables c'est-à-dire la richesse, le pouvoir, le prestige, ou le savoir. A- Divers types de stratification sociale 1– Les castes Groupe fermé strictement

divergences de chances de réussite face à l’Ecole souvent liées à l’origine sociale des individus. Pour certains auteurs, cette inégalité est perçue comme illégitime. Même si la France est régit selon le principe de méritocratie où les plus méritants sont récompensés, on peut contester ce système qui profite le plus souvent aux individus issus des milieux favorisés. Bibliographie : R. BOUDON, L’inégalité des chances. La mobilité sociale dans les sociétés industrielles. Paris, A. Collin, 1973. A. GIRARD

qui n’ont pas fréquenté le milieu universitaire. La fréquence de l'AM est en augmentation dans les sociétés occidentales où la "minceur " fait figure d'idéal. Elle se manifeste classiquement chez les classes sociales élevées et moyennes au sein de familles pour lesquelles la promotion sociale et la réussite scolaire ont une grande importance. Les données épidémiologiques indiquent : une prédominance féminine (en moyenne 6 à 10 filles pour 1 garçon), que l'âge de survenue connaît deux pics : un

d’ordre sociologique, n’entame en rien la croyance dans l’existence de l’échec scolaire, état ou mécanisme supposé résulter de déterminismes biologiques et sociaux. De fait, son mode d’existence relève d’une construction sociale assez récente que les travaux sur la question situent dans les années soixante-dix. Analysant la construction sociale du phénomène, Bertrand Rayon montre que le problème de l’échec scolaire est « en partie la résultante de ce que font tous ceux qui le pensent, le vivent, l’accompagnent

LES CLASSES SOCIALES DURANT LA BELLE EPOQUE On distingue trois classes sociales en France durant la Belle Epoque : -La classe Bourgeoise, C’est la plus élevée mais aussi la moins représentée en effet le nombre de bourgeois est très faible. On distingue à l’intérieur de cette même classe sociale la haute bourgeoisie (banquiers, industriels) et la moyenne bourgeoisie (avocats, médecins, notaires…). L’aristocratie diminue au profit de la bourgeoisie car la position sociale ne se définie plus par

qui se trouve dominée par la persistance d’inégalités, différences d’accès à des ressources rares et socialement prisées, et qui génèrent l’émergence et la transformation des revendication auparavant source de conflits, affrontement entre groupes sociaux ou politiques, luttant en vue de modifier les règles ou des institutions au sein de la société. Nous verrons que dans une certaine mesure les inégalités sont source de conflits puis nous nuancerons cette thèse en montrant comment elles peuvent les

ces inégalités en son sein, et si cela ne compromet pas son existence ? On devra donc déterminer si les inégalités peuvent être légitimes et si elle sont compatibles à la cohésion sociale. Qu’est ce qui peut justifier les inégalités ? D’après la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, « les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune. » Les inégalités ne sont donc pas générées par la différence de liberté entre les membres, mais par de nouveaux privilèges créés