Introduction Mobilité Sociale

ghettoïsation, mécontentement des citoyens quand à leur situation et défiance par rapport au politique jugé incapable de les résoudre. Mais les causes profondes sur lesquelles il est sensé agir, à savoir la panne de l’ascenseur social, c’est à dire l’amenuisement de la mobilité sociale ascendante au sein de la société française, ne sont pas récentes. Déjà au plus fort des 30 Glorieuses, au milieu des années 60, la sociologie se penchait sur ce problème, notamment au travers des études réalisées par Pierre

publique = FEDERALE o Enseignement = SOCIETALE o Sécurité sociale = FEDERALE • > Pas d’accord autour de la collaboration avec les podologues • > Procédure archaïque pour la reconnaissance médicale qui va durer encore quelques années. PROBLEME D’ENSEIGNEMENT • > AUCUNE FORMATION DE JOUR spécifique o N’existe qu’en cosmétique • > Formation SEULEMENT par enseignement pour adultes (Promotion Sociale) • > Formation PRIVEE sans perspective d’obtention d’un diplôme

une atténuation des clivages sociaux accompagnée d’un gonflement des couches sociales intermédiaires ou « moyenne » La moyennisation est un sujet très discuté, analysé depuis plusieurs années. Les deux analyses les plus marquantes pour la société française sont celle de Tocqueville et de Mendras. Pour Tocqueville dans De la démocratie en Amérique, une société démocratique doit garantir l’égalité des chances et donc permettre la mobilité sociale ou promotion sociale. La république française dans

l'antagonisme de deux grands groupes sociaux, deux classes sociales dont l'une domine l'autre. Dans une économie capitaliste, la bourgeoisie, détentrice des moyens de production (terres, mines, usines, machines) loue la force de travail des prolétaires en la payant au minimum vital. Cette « exploitation de l'homme par l'homme » se fait par confiscation, par la bourgeoisie, d'une partie de la valeur du travail du prolétaire, la plus-value. D'autres groupes sociaux de moindre importance (artisans, paysans

I. L’ASCENSEUR SOCIAL EST-IL EN PANNE ? A.Les sociétés démocratiques valorisent la mobilité sociale P165 D3 «  Dans une société qui valorise la démocratie et la liberté individuelle, l’étude de la mobilité sociale conduit à dissocier la question de l’inégalité des conditions(de vie), dite aussi inégalité de faits, et celle de l’inégalité des chances (d’accès à ces conditions), la première pouvant apparaître plus admissible si les individus se voient offrir les moyens de changer de

moyennisation de la société en France. A) Structure sociale au début du XXème siècle. B) Une moyennisation permise par des raisons économiques. C) Mais aussi par des raisons sociales. II/ Les limites de la moyennisation A) Critique de la théorie de la moyennisation dès les débuts. B) Depuis le début des années 1980, un retour aux fortes inégalités économiques C) Depuis le début des années 1980, un retour aux fortes inégalités sociales. Au cours des Trente Glorieuse, la France

chances devant l’enseignement selon R.Boudon porte sur l’analyse critique de la relation entre le niveau de scolarisation et la mobilité sociale pour en montrer le caractère non mécanique et non déterministe. Boudon caractérise l’école par un ensemble de bifurcations. A chaque point de ces bifurcations, il existe des stratégies individuelles qui varient selon l’origine sociale. En effet, les élèves et leur famille comparent les coûts et les avantages de leurs choix à chaque décisions. Tant que les avantages

haut la mobilité sociale totale rassemble des flux de montée et de descente dans l’échelle sociale  mais plus lentement Dans une société, les positions sociales ne sont pas distribuées au hasard : elles dépendent étroitement de l’origine sociale des personnes et des événements qui jalonnent leur existence, en particulier la fréquentation de l’école, l’insertion professionnelle. Le statut social ne se transmet pas de manière identique dans tous les groupes sociaux Les enquêtes

déterminants de la mobilité sociale |Programme |Notions essentielles |Notions complémentaires | |Les enjeux et déterminants de |Egalité/inégalités des chances, |Destinée, recrutement, mobilité structurelle/nette, | |la mobilité sociale |mobilité/immobilité, reproduction |capital économique/culturel/social | La mobilité sociale désigne tout changement

les relations sociales Un niveau de chômage élevé modifie les relations sociales, car il crée une véritable angoisse pour l’ensemble de la population. Avec plus de 10 % des actifs sans emploi au cours de la première moitié des années 1990, tous les ménages se sont sentis concernés. La principale conséquence est la décrue des conflits sociaux. Toutefois, on n’observe pas ce phénomène dans la fonction publique, caractérisée par la stabilité de l’emploi. De plus, la mobilité sociale ascendante n’augmente