Introduction Protectionnisme

Section 2 : Les différentes formes et les effets du protectionnisme La nouvelle théorie du commerce international a suffisamment modifié les fondements de l'analyse des échanges mondiaux pour introduire certaines ambiguïtés sur les avantages du libre-échange. Profondément libre-échangiste, Paul Krugman démontre que « Même si le protectionnisme n'est pas une calamité atroce », il ne peut être envisagé comme une politique répondant de manière adéquate aux problèmes rencontrés aujourd'hui par les

montrant que l’idée qu’on se fait du krach de 1929 est fausse, que l’âge d’or du libre échange en Europe ne dure pas aussi longtemps que l’on l’imagine, si le libre échange est pratiqué dans le reste du monde au XIX siècle et que l’impact du protectionnisme n’est pas toujours négatif. Suivent ensuite les grands mythes sur le rôle du tiers monde dans le développement occidental avec les arguments de Bairoch qui montrent que les matières premières ne sont pas indispensable à l’industrialisation occidentale

par les Etats à se constituer en blocs économique régionaux afin d’assurer le bien-être des populations. La présente analyse sera consacrée à montrer les aspects négatifs du protectionnisme d’une part et les aspects positifs de l’intégration économique régionale d’autre part. L’isolement ou encore le protectionnisme revêt des aspects négatifs notamment sur le plan économique et socio-politique. Au niveau économique, L’Afrique reste dépendante de l’aide qui ne fait que décroître d’année

théoricien du protectionnisme est l’allemand Friedrich List, qui vers le milieu du 19ème siècle défend l’idée du protectionnisme temporaire et limité ; celui-ci a pour but de protéger le développement des «  industries naissantes » . Pour List, ces industries ne pouvaient pas lutter contre les industries des pays plus développés (rôle des économies d’échelle). De plus, il était nécessaire de les mettre à l’abri de la concurrence pour éviter leur blocage ou leur disparition. Le protectionnisme peut être

champs d’application(agriculture, services et propriété industrielle) • Accords sur la réduction des obstacles non tarifaires(normes, exclusion des marchés publics, licence d’importation, subvention à l’exportation, quota, dumping) pour cause de protectionnisme L’OMC • • • • • L’OMC(organisation mondiale du commerce) en 1995, composée de 155 membres adhérents en mai 2012. L'OMC est essentiellement un lieu où les gouvernements membres se rendent pour s'efforcer de résoudre les problèmes

Cycle de Doha et des négociations qui se poursuivent aujourd’hui. A. L’ ORGANISATION INTERNATIONALE COMMERCE L’idée d’une organisation internationale du commerce est née durant la Deuxième Guerre mondiale. Le protectionnisme économique tant aux Etats-Unis que dans plusieurs pays européens avait ralenti l’économie mondiale après la Première Guerre mondiale. Aux Etats-Unis, le Congrès américain adopte en juin 1930 la Loi Smoot-Hawley, laquelle a l’effet d’augmenter

en Europe, la plus imp selon lui étant l’émergence des PED -Remontée de pratiques protectionnistes ou de négociations bilatérales =>vives oppositions entre l’Europe et les PED au niveau agricole =>subventions ; BRANDER et SPENCER parlent de protectionnisme offensif II/ Néanmoins, la croissance des PED peut et a largement profité aux PI A.Il faut tout d’abord nuancer les effets néfastes de la croissance des PED sur la prospérité des PI - La part des PED ds les échanges mondiaux est stable

| Le protectionnisme consiste pour un état a prendre des mesures ( droits de douanes , quottât ou contingentement , subvention aux exportations normes et réglementations techniques et sanitaires…) visant à faire obstacle aux importations , afin de protéger la production nationale contre la concurrence des pays en développement a faible cout de main d’œuvre , exacerber par le développement du libre échange . Les mesures protectionnistes renchérissant le prix des biens importés se traduit par une

puissants du commerce international. Les pays en voie de développement se retrouvent souvent perdants au sain d’échanges avec les pays développés. Parfois, ils ne peuvent tout simplement pas commercer dû au comportement des pays riches, à leur protectionnisme et à leurs subventions exubérantes qui nuisent d’une façon immonde au développement des pays les plus pauvres. C’est un peu ce que défend Joseph E. Stiglitz, Prix Nobel d’économie et ancien économiste en chef de la banque mondiale, dans son livre

l’inverse du libre-échange, le protectionnisme, qui désigne la politique et les pratiques d'un Etat qui intervient dans l'économie afin de défendre ses intérêts et ceux de ses entreprises face à la concurrence étrangère et de maintenir ou développer ses propres forces de production. Considéré une pratique non conforme aux lois du marché, le protectionnisme est l’opposé libre-échange. Elle favorise des groupes d'intérêt au détriment du bien public, le protectionnisme provoque une perte de niveau de