Intuition

que l'on dit; dans ce moment là on est sur de ce que l'on affirme Pourtant l'évidence n'est pas la vérité. En effet, on ne peut pas distinguer ce qui parait certain et ce qui est réllement certain. Pour Descartes, l'évidence prend la forme d'une intuition de type mathématiques. La philosophie se méfie des évidences car se sont là des choses que l'on admet sans preuve parce que l'on pense etre sur de soi. Evidence rationnelle Evidence objective II - Les limites de la raison 1) Les obstacles

intuitifs et déductifs, l’intuition requiert la vérité et la déduction reposant sur une intuition forcément vraie ne peut être fausse. Nous arrivons au constat que dans le cogito, le je pense donc je suis est forcément vrai puisqu’il repose sur une nature simple, une intuition qui n’est pas déduite mais qui permet de déduire, comprenons pour penser il faut être, la pensée est donc déduite de l’existence, pure intuition de laquelle tout découle. Il y a donc une conjonction nécessaire entre les deux notions

inspirée par la passion. Dans le domaine de la morale, nous ne pouvons fonder nos valeurs par une argumentation de type logique. Nos croyances morales sont-elles donc contraires à la raison ? Sans doute pas, si par exemple elle repose sur une intuition (conscience morale) et que la raison nous sert à décider ce que nous devons en fonction de nos valeurs. Nos valeurs morales ne sont donc pas fondées rationnellement, mais nous devons agir raisonnablement en fonction de ces valeurs, ce qui nous donne

convictions, de notre conscience morale. Ainsi on s'illusionne sur la place de notre conscience, on croit vouloir nos choix alors que notre conscience devrait nous dire le contraire celle-ci est donc remise en cause, et nos décisions sont prises par des intuitions plus profondes, issues de l'inconscient. On se persuade d'aimer sa femme, sans laquelle on se retrouverais seul, or au fond de nous même, les sentiments sont indubitablement mis en doutes, mais pour se rassurer on entend notre conscience nous dire

proprement parler perçues par le sens de la vue, mais bien conçues par l’esprit. Pourtant cette métaphore laisse penser que ces vérités sont comme des objets extérieurs, que l’esprit ne construit pas mais constate simplement, dans un acte de pure intuition intellectuelle. Où trouve-t-on ces vérités déjà constituées ? Dans la Raison. Ainsi il suffit de regarder avec attention dans cette Raison pour y voir ces vérités évidentes. Rappelant le critère d’évidence dégagé par Descartes, nous pourrions préciser

dessiner un paysage vu par la personne en face)) l’enfant ne peut se représenter autre chose que ce qu’il voit. Absce conservation des grandeurs des objets • Stade des opérations concrètes : 7 11 ans Organisation mentale qui permet de dépasser son intuition et son expérience (conservation acquise) connaissance objective rationnelle. Analyse et comparaison> permet rep° mentales qualités et propriétés d’un objet. Compter/classification/ordonner(sériation). Pour se développer l’intelligence se confronte

contradiction), la réponse juste à une question, à un problème. On peut donc la comparer à la connaissance. Mais dans certains cas, on ne peut pas démontrer la vérité, on ne peut pas prouver que « ceci » ou « cela » est juste : on fait donc appel à son intuition (faculté intellectuelle permettant de saisir immédiatement des vérités simples dans la clarté de l’évidence). Chaque personne a une part de vérité en soit dans différents domaines, mais celle-ci est influencée pas la société, le milieu social, la

pourra être tenté de répondre que c'est mon apparence physique, en particulier mon visage. Cela est personnel. Seulement, mes traits changent avec le temps, au point ... b. La « connaissance intérieur - L’expérience de la conscience comme intuition - - C'est Descartes qui invente la notion moderne de conscience. Après avoir mis en doute toutes ses connaissances, il affirme l'évidence de sa propre existence, dont ... I. DIFFICULTES DE L’INTROSPECTION a. 1. Les perceptions inconscientes

PENSER LE FUTUR ? « Cogito ergo sum » (ou « je pense donc je suis ») est une expression latine du philosophe René Descartes qui signifie « je pense, donc je suis dans le Discours de la méthode (1637). On dit « le cogito » pour désigner cette intuition, acquise par le sujet humain grâce à la conscience qu'il a de lui-même. Le cogito est donc le socle fondamental de l'épistémologie cartésienne, sans cette évidence objective du cogito, le sujet devrait se résoudre à abandonner toute ambition de connaissance

directement en latin par son auteur. Indépendamment des formulations, le cogito constitue un élément majeur de la pensée cartésienne. Il est une certitude à partir de laquelle Descartes va tenter de refonder toute la connaissance. Il consiste en une intuition qui ne se résume pas à une déduction logique. L'expression est pensée comme "Je suis en tant je pense" sans "donc" car ce ne fut pas le fruit d'un raisonnement mais d'une réflexion[réf. nécessaire]. Dans le jargon philosophique, l'expression est