Intégrisme Religieux

200 210 Classe 2 : RELIGION Religion. Généralités. Dictionnaires. Histoire générale. Concepts généraux et attitudes générales face à la religion. Science et religion. Athéisme. Laïcité (non limitée à l'enseignement). Existence de Dieu ou non. Intégrisme, spiritualité (toutes religions confondues). 220 220.3 Bible. Généralités. Edition du texte complet. Livres apocryphes Encyclopédies, dictionnaires de la Bible. Histoire, géographie et archéologie bibliques. Manuscrits de la Mer morte. 220.7

de droit. Le droit ne se confond pas toujours avec la justice, telle qu'elle est perçue par chacun d'entre nous. CHAPITRE 1:La règle de droit. Pour bien la comprendre il faut la placer dans son contexte. Section 1:Environnement moral et religieux de la règle de droit. §1:Influence de la morale sur le droit. La morale: science du bien et du mal, ce sont des obligations que le sujet s'impose a lui même. La morale est d'abord individuelle. Elle va nous donner des règles de conduites, mais

....................................................... 15 Chapitre II : les musulmans en France ..................................................................... 18 2-1 L’Islam : un fait religieux, social et culturel...................................................... 19 2-1-1 Un fait religieux ........................................................................................ 19 2-1-2 Un fait social et culturel ....................................................................

faut faire, la fin justifie les moyens… obéissance aux ordres. Cf. les intégrismes de tous ordres, Dieu a dit que… Allah a dit que… qui conduisent nécessairement, parce que dogmatiques, posés arbitrairement et autoritairement comme des évidences, à la volonté de sanctionner, contrôler voire éliminer tous ceux (et celles!) dont le mode de vie ou de pensée entrent en contradiction avec les dogmes. Notons que dans le cas des intégrismes, on assiste à un dessein de reconfessionnalisation de la vie publique

responsable du département sciences humaines de l’Essec a construit une œuvre considérable, dont la plus grande partie est consacrée au bouddhisme tibétain. En quatre essais et un roman, il a su dresser un portrait sans concessions de ce courant religieux, qu’il connaît pour en avoir longtemps fait partie. Loin de la légende dorée qui constitue, dans notre pays, la version officielle du tantrisme himalayen, Marc Bosche nous initie à des réalités complexes, troublantes et parfois scandaleuses. Témoin

la question « Pourquoi » ? Elle a renoncé à la question du fondement transcendantal, à la vérité comme absolu. Nous sommes dans une crise que l’on pourrait traduire simplement aujourd’hui par « À quel saint se vouer ? » – que ce soient des saints religieux ou des saints laïques. On a perdu la boussole, comme ce personnage de l’insensé dans un texte du Gai savoir : il n’y a plus de nord, plus de sud, plus d’ouest, plus d’est. Quelles sont les valeurs dans lesquelles on peut se reconnaître ? N’y a-t-il

certaines des difficultés auxquelles sont confrontés plusieurs partenaires méditerranéens, l’UE élargie sera à même d’aider ces derniers à éviter certains risques (replis identitaires où l’identité de chacun devient comme un « tatouage mortel », intégrisme religieux, combinaison pauvreté/illettrisme, etc.) et à identifier les solutions possibles: culture de participation; égalité des droits et des chances, voire discrimination positive, pour les femmes; élimination des exclusions économique et sociale

porteuse d’un message universaliste irrespectueux des cultures nationales, les US sont plus que jamais la cible des fondamentalistes religieux exaspérés par la diffusion de l’american way of life. Même les modérés brandissent le spectre de la corruption pornographique, l’homosexualité et la drogue. En outre, Bush parrainant le Petit Satan Israël excite les intégrismes qui se réarment pour la libération de la Palestine. Réactualisant le djihad et la défense de l’Islam contre l’envahisseur, Ben Laden

Si la souveraineté est remise à un Prince, à un chef religieux ou à un Dieu, nous ne sommes donc pas en démocratie. B- Souveraineté formelle et souveraineté réelle: l'importance des pouvoirs du souverain: La Constitution d'un Etat définit le souverain. Dans la majorité des cas, la Constitution considère que le peuple ou la nation est souveraine. Si il est affirmé dans la Constitution que le souverain est le Roi, ou un chef religieux, est-on sûr de ne pas être dans une démocratie? Il convient

contrepartie, elle suscita les prises de conscience et affranchit les potentialités de l’esprit et de l’âme, permettant à ces peuples de se rassembler autour du message monothéiste et de souscrire au credo du Saint Coran, tant au niveau des dogmes religieux, des conduites de l’éthique morale que du système social. L’entendement était, désormais, structuré par la juxtaposition de valeurs complémentaires, telles la raison et le coeur, l’esprit et le corps, la religion et la science, la vie de l’ici-bas