Intégrisme Religieux

l’Etat au Maroc ne sont pas une pure création post-coloniale. L’Etatnation marocain prend racine, au sein de frontières certes fluctuantes, bien avant la période coloniale qui n’a duré, par ailleurs, que moins d’un demi-siècle. Conjuguée aux facteurs religieux et ethniques qui ont assuré, à des degrés variables dans le temps et dans l’espace, l’unité de la nation et le contrôle de l’espace, la continuité dynastique a pu maintenir la profondeur historique de l’Empire Chérifien et nourrir la personnalité

représentant de Dieu sur terre et vouloir mal du Roi était comme vouloir † Dieu. Obéissance au Roi comme à Dieu était un principe absolu, mais pour être sacré Roi, Roi devant s’incliner devant archevêque de Reims. Théocratie. C’est par discours religieux qu’on va remettre en Q conception divine du pouvoir notamment avec mouvement calviniste du 16e s., c’est avec sa conception qu’on va sortir du féodalisme, on va commencer par évoquer notion de « pacte », « contrat ». Peuple va passer un pacte de

adopté l’autorisation ou non de connaître ses géniteurs à sa majorité). Le Droit ne se confond pas toujours avec la Justice telle qu’elle est perçue par chacun d’entre nous. CHAPITRE 1 : La règle de droit SECTION 1 : L’environnement moral et religieux de la règle de droit I - L’influence de la morale sur le droit La morale est définie comme la science du Bien et du Mal. Ce sont des obligations que le sujet s’impose à lui-même : la morale est donc d’abord individuelle (tout le monde n’a pas

d’admonestation adressée par le Grand Cophte au Convent des Philalèthes illustre son opinion sur les structures profanes d’une certaine Franc-maçonnerie (et pas seulement de son époque) mais les termes peuvent tout aussi bien s’adresser à tous les intégrismes et fondamentalismes spirituellement castrateurs ! Le texte suivant est l’un des derniers dû à ce penseur universel que fut Armand Toussaint, passé au jour sans crépuscule dans sa centième année. Par fidélité, sa publication ici s’imposait : PREFACE

développement de la résistance afghane ð Exode d'une partie des afghans vers le Pakistan, dans des camps de réfugiés (500000 ?) ð Organisation progressive de la résistance armée § causes : ú Tradition d'indépendance ú Fort sentiment religieux ú Occupation soviétique de + en + dure ú Pays montagneux propre aux embuscades pour un peuple habitué à la vie dure § Problèmes : ú Coordination de groupes et clans souvent rivaux ú Armement (difficulté

que des dictatures capitalistes continuent de régner en force dans de très nombreux pays du Tiers Monde, sauf que, selon Amnistie Internationale, depuis la fin de la guerre froide, les droits humains régressent dans le monde, sauf que les intégrismes religieux s'imposent dans de nombreux pays, sauf que les nationalismes s'exacerbent... Cette victoire est grosse de dangers pour l'humanité. (...) L'Histoire n'est pas finie, un nouveau chapitre vient de s'ouvrir et ses potentialités sont immenses. Un

trouver des formes de solidarité mécanique aujourd’hui, mais qui ne ressemblent plus à celles que Durkheim décrivait. Ces formes de solidarité ont été transformées par le mouvement d’individualisation. A part dans des cas extrêmes (sectes, intégrismes religieux), les « communautés » sont des lieux où l’individu peut s’émanciper de la tutelle collective. Conclusion du chapitre : - Durkheim a été le premier à tenter de porter un regard scientifique, sociologique sur la question du lien social :

d’admonestation adressée par le Grand Cophte au Convent des Philalèthes illustre son opinion sur les structures profanes d’une certaine Franc-maçonnerie (et pas seulement de son époque) mais les termes peuvent tout aussi bien s’adresser à tous les intégrismes et fondamentalismes spirituellement castrateurs ! Le texte suivant est l’un des derniers dus à ce penseur universel que fut Armand Toussaint, passé au jour sans crépuscule dans sa centième année. Par fidélité, sa publication ici s’imposait

de cercle que bordent des cultures diverses, entre lesquelles les échanges sont faciles. » (Ibid.) « Plusieurs d’entre nous ne sont ni chrétiens ni musulmans. Mais nos cultures actuelles demeurent, pour une part importante, marquées par ce passé religieux. Or, les marques de ces deux passés sont de sens inverse. » (Le Bot, ibid. : 129) Le Bot pense « qu’il faut approfondir les tensions entre les différences et non chercher à les éliminer. » (Ibid.) Il rappelle donc que ces tensions sont la chance

supériorité technique du régime en montrant que seul la justice peut proliférer dans la monarchie. Bodin ne se rallie à aucune doctrine antérieur. Pour lui Aristote et Platon sont anachronique. Pour lui saint thomas d’Aquin est inutile de part son intégrisme religieux. De plus en pleine guerre de religion cela est impensable. Pour lui machiavel est Satan. Bodin est un original et pour la première fois il va définir l’état souverain. Sa définition est la suivante: la république est un droit gouvernement de