Investissement Immatériels Conclusion

Epargne et Investissement « L’expansion se caractérise par un excès de l’investissement sur l’épargne et la récession se caractérise par un excès de l’épargne sur l’investissement » Keynes, 1931. L’épargne est la part du revenu non consommé immédiatement ou l’excès de revenu sur ce qui est dépensé pour la consommation. Il y a l‘épargne des ménages, des entreprises et des A.P.U.. L’investissement permet de créer ou d’acheter des biens de production. Il peut être matériel, c’est par exemple, l’achat

L’investissement est l’acquisition par les entreprises et par les administrations de biens de production. Il est un flux annuel mesuré par la formation brute de capital fixe (FBCF). On distingue les investissements matériels et les investissements immatériels, ces derniers n’étant pas tous comptabilisés dans la FBCF (investissement pour la Recherche et le Développement par exemple). On distingue aussi l’investissement de capacité (destiné à augmenter la quantité produite), l’investissement de productivité (qui a

quant à lui, confond les stratégies d'entreprise détentrices d'un droit de propriété exclusif avec l'application concrète de droit. Ce dernier point amènera à la conclusion de ce dossier qui permettra de reconsidérer les pratiques sociales liées aux technologies cognitives à travers l'approche proposée. INTRODUCTION : L'espace immatériel dans lequel baigne si confortablement la connaissance a de merveilleux son principe de partage, sa multiplication à l'infini, l'enrichissement de chacun sans jamais

de succès à maîtriser 40 VII – SUIVI ET FIDELISATION DES CONTACTS CLIENTS 41 7.1 – Le suivi des contacts clients 41 7.2 – La fidélisation des clients 41 7.3 – Capitaliser la connaissance client au service de son activité de conseil 42 CONCLUSION ETUDES DE CAS INTRODUCTION Le but de ce séminaire est de vous permettre de maîtriser : - les concepts de base, - la démarche générale, - et le pilotage du marketing et de l'action commerciale du consultant.

pas tout à fait le même champ que la notion à étudier. Exemples : Thème : les investissements des entreprises. L’investissement a de multiples dimensions : investissement de capacité, de modernisation ou de rationalisation, de remplacement. Il concerne plusieurs agents : les ménages, les entreprises, les administrations. Les instruments de mesure sont la FBCF et le taux d’investissement. Le concept « investissement des entreprises » est à la fois plus étroit que l’instrument de mesure FBCF qui

d'environ 7% et la FBCF de 3%. Enfin du point de vue empirique, une baisse ou augmentation de la consommation aurait un effet sur la FBCF : Effectivement la baisse de la consommation en 1996 (8% en 1995 puis 3% en 1996) entraine un baisse des investissements les années suivantes(passant de 2% en 1996 à 0% en 1997). Entre 1998 et 2001, l'évolution de la consommation finale des ménages ne suffit pas à expliquer l’évolution de la FBCF car nous pouvons voir que de 1999 à 2000, le pourcentage de

économiquement productives (population, niveau de qualifications, état de santé, capacité à travailler collectivement, efficacement, …) Pays en développement : faiblesse du capital humain dû à l’état de santé. Ce capital peut faire l’objet d’un investissement (formation, santé éducation). II- Le facteur capital A- Le capital 1. Au sens technique : capital fixe - Biens durables utilisés au cours se plusieurs cycles de production - Bien d’équipement, moyen de production - Biens permettant

R&D des entreprises R&D financées par l’Etat PIB DOCUMENT 2 – Facteurs de production, productivité et croissance Capital fixe Investissement matériel Productivité du travail Croissance économique Capital technologique Recherche Capital humain Effet D’apprentissage Organisation du travail Investissement immatériel DOCUMENT 3 – Contribution des facteurs à la croissance (% en points de croissance du PIB) 1966-1970 1971-1980 1981-1990 1991-2000

de croissance en %) R&D des entreprises R&D financées par l’Etat PIB DOCUMENT 2 – Facteurs de production, productivité et croissance Investissement matériel Capital fixe Capital technologique Recherche Productivité du travail Croissance économique Capital humain Effet D’apprentissage Organisation du travail Investissement immatériel DOCUMENT 3 – Contribution des facteurs à la croissance (% en points de croissance du PIB) 1966-1970 1971-1980 1981-1990 Etats-Unis

une perspective comparative. Mais tout le mérite de Gérard CHAPALAIN est sans doute d’avoir su orienter celui-ci vers ce qui constitue certainement le principal défi qu’il convient de relever aujourd’hui, à savoir la prise en compte des actifs immatériels. Comme il le rappelle fort justement lui-même : « en moyenne sur les dernières années, l’immatériel expliquerait environ 50 % de la valeur des entreprises du CAC 40 ; et même si l’on tient compte d’une sous-estimation du matériel qui n’est pas toujours