Iphigénie Dénouement

Inceste Règle des trois unités (classicisme) pour la clarté de la tragédie → Action, lieu, temps Action : Il y a une seule action qui se fait en cinq actes : - Acte 1 : mise en place - Acte 1-2-3 : nouement de l’action, problème - Acte 4-5 : dénouement Lieu : Tout doit se passer au même endroit, cela va être détourné : tout va se dérouler dans un palais ou dans une ville. Temps : Tout doit se dérouler en 24 heuresPrécipitation, tout s’accélère en 24h → bcp de choses se sont passées avant, la tragédie

plus ou moins directs de genre théâtraux antiques, plus ou moins influencés par des cultures nordiques ou d'Europe orientale. Au Moyen âge, on entendait par le mot « comédie » toutes les farces, plaisanteries, moralités et autres jeux théâtraux à dénouement heureux : c'est sous cette appellation qu'ils seront tous interdits par édit du Parlement de Paris de 1588 à 1594, marquant la fin du théâtre médiéval. c) Le théâtre élisabéthain Le théâtre élisabéthain désigne les pièces de théâtre écrites et

sa mère à l'égard de l'intendant qu'elle ne voudra jamais, dit-elle, considérer comme son gendre. La fin est donc heureuse, même si, chez Marivaux, le bonheur n'intervient qu'après une éprouvante journée de non-dits et de déni de la passion. Le dénouement des Fausses Confidences met en exergue l'acceptation du sentiment et le triomphe de l'amour : l'aveu qui s'échappe des lèvres d'Araminte est certes pudique, mais irrépressible dans l'acte 3 scène 12. Le stratagème l'a mise à l'épreuve et l’a confrontée

poétique de la rupture baroque 2 - Acte III scène 2 : la tentation du pauvre – une scène de séduction ? 3 - Acte III scène 1 : itinérance baroque et considérations sur le monde – Sganarelle : un médecin malgré lui ? 4 - Acte V scènes 5 et 6 : le dénouement – une dramatisation surprenante des vanités ou une fin attendue ? Documents complémentaires - une œuvre picturale choisie personnellement par les élèves sur le thème de la vanité. - une œuvre picturale sur Sardanapale – Eugène de Lacroix -

de manière positive et alterne moments comiques et instants tragiques. C'est la tragi-comédie. Tragi-comédie La tragicomédie est une pièce de théâtre qui représente une crise qui devrait être fatale et sans issue pour ses personnages mais dont le dénouement est inespéré et positif. Dans Le Cid, Pierre Corneille met en scène un jeune chevalier, Rodrigue, contraint soit de tuer le père de sa fiancée (et donc il ne pourrait plus l’épouser car son honneur de fille lui commanderait de réclamer vengeance)

: les unités classiques sont respectées. Comme Antigone, Alboury est venu réclamer le corps de son «frère», comme Iphigénie, Cal est sacrifié par son père. Comme Oedipe, Cal s’oppose à son Bernard-Marie Koltès 4 Combat de nègre et de chiens père Horn et convoite sa femme. Koltès multiplie les signes mais brouille les pistes en inversant les sexes (Antigone et Iphigénie sont mâles) et les situations (ici c’est Laïos qui est castré et c’est Oedipe qui meurt). Cependant l’essentiel demeure

la fatalité, l’homme face à son destin, etc. Le dénouement d’une tragédie est souvent malheureux (par exemple : la mort). « La principale règle est de plaire et de toucher. Toutes les autres ne sont faites que pour parvenir à cette première. » Racine, Bérénice, préface. Quelques grandes tragédies classiques : Corneille (1606-1684) : Le Cid (1636) Horace (1640) Cinna (1641) Polyeucte (1643) Racine (1639-1699) : Andromaque (1667) Iphigénie (1674) Phèdre (1677) Britannicus (1669) Bérénice

traduire son analyse critique en refus d'adhésion, tandis que Ie personnage racinien, malgré sa lucidité, ne peut qu'adhérer aveuglément à une passion qui exprime I'angoisse de son insuffisance, et I'espoir d'une reconnaissance salutaire ; et le dénouement est différent. On peut avancer l’hypothèse que le jeune dramaturge qu’était Racine ambitionna de se mesurer avec son glorieux devancier. Il était d’ailleurs habituel à l’époque qu’un auteur dramatique reprenne un sujet traité par d’autres avant

1689 à Saint-Cyr. Œdipe est une pièce de théâtre de Pierre Corneille représentée le 24 janvier 1659 à l'Hôtel de Bourgogne. Phèdre est une tragédie en cinq actes et en vers de Jean Racine représentée le 1er janvier 1677 à l’Hôtel de Bourgogne. Iphigénie est une tragédie en cinq actes et en vers de Jean Racine. II. Le 18e siècle Beaumarchais, fils d'horloger, auteur dramatique, éditeur. Il prend, dès 1756, le nom de Beaumarchais, du nom d'une terre de sa première épouse. Suivant les idées développées

traduire son analyse critique en refus d'adhésion, tandis que Ie personnage racinien, malgré sa lucidité, ne peut qu'adhérer aveuglément à une passion qui exprime I'angoisse de son insuffisance, et I'espoir d'une reconnaissance salutaire ; et le dénouement est différent. On peut avancer l’hypothèse que le jeune dramaturge qu’était Racine ambitionna de se mesurer avec son glorieux devancier. Il était d’ailleurs habituel à l’époque qu’un auteur dramatique reprenne un sujet traité par d’autres avant