Iphigénie Le Dilemme

Bérénice, Racine, 1670Bérénice , Racine, 1670 Étude du monologue de Titus, IV, 4Introduction Racine (1639-1699) : tragédien ( Phèdre , Andromaque , Iphigénie ), rival de Corneille. Bérénice  : tragédie qui repose sur une esthétique sobre, sur la simplicité extrême de l’intrigue. La pièce est construite autr d’une interrogation : comment Titus parviendra-t-il à expliquer

et les mettre en corrélation avec la vie d’un individu. En premier lieu, dans les mythes il est souvent affaire de fatalité divine, en effet les personnages ont généralement un destin à accomplir qu’il le sache ou non et sont confrontés à des dilemmes. Ils sont plus ou moins stéréotypés selon le mythe et qui sont de tous les genres ou plus exactement on des qualités différentes entre autre dans l’Odyssée d’Omer, Ulysse, après avoir tué le fils de Poséidon, est entravé par ce dernier lors de sa

Andromaque, acte III, scène 8 Acte III, scène 8 1. Situation du texte Comme plus tard Iphigénie, les premiers spectateurs d'Andromaque apprécièrent l'efficacité pathétique de cette pièce, son pouvoir de faire couler les larmes. C'est qu'en effet, le chant funèbre, les lamentations de l'héroïne éponyme y constituent un attrait aussi marquant que la fureur finale d'Oreste. Ces deux tonalités contrastées habillent d'une aura tragique la chaîne amoureuse (Oreste aime Hermione, qui aime Pyrrhus, qui

étendus à cinq au siècle suivant): le premier acte correspond à l’exposition de la situation des personnages; le second voit apparaître l’élément perturbateur (rupture entre Titus et Bérénice dans Bérénice, décision du sacrifice d’Iphigénie dans Iphigénie...); dans le troisième acte, les protagonistes cherchent une solution au drame, tout paraît encore possible; dans le quatrième acte, l’action se noue définitivement; au cinquième acte, l’action se dénoue enfin, entraînant la mort d’un ou de plusieurs

Larousse, 1933, p. 10. Article connexe Dilemme cornélien Liens externes Sur les autres projets Wikimedia : Andromaque, sur Wikisource Andromaque sur le site CÉSAR Andromaque sur le site des Archives du spectacle  [masquer] v · d · m Œuvres théâtrales de Jean Racine Liste d'œuvres pour le théâtre de Racine par ordre chronologique La Thébaïde • Alexandre le Grand • Andromaque • Les Plaideurs • Britannicus • Bérénice • Bajazet • Mithridate • Iphigénie • Phèdre • Esther • Athalie Portail

seraient dictés par une compréhension des circonstances et la volonté d’obtenir un résultat bénéfique à la communauté. Le Philoctète fait appel à l’intérêt collectif se référant à l’armée des Grecs (1254) et à la cause de tous. On mentira à Iphigénie sur des motifs semblables, pour qu’elle vienne jusqu’à son père qui va la sacrifier. Il semble par conséquent qu’il y ait une hiérarchie des intérêts qui domine la décision de mentir ou pas. Le fait que dans chacune de ces situations le mensonge

agamemnon va devenir roi de Mycènes et d’Argos. et son frr ménélas, est roi de Sparte., ils se partagent le territoire de Pélops. 1 au Sud, l’autre au Nord. Agamemnon va épouser Clytemnestre > 4 enfants 3 meufs et 1 gars. aka Electre, Chrysothémis, Iphigénie et Oreste< la gars. son frr Ménélas épouse Hélène ( de la g de troie ) Les deux reufs on épouser les deux soeurs. Méné n’a pas épouser n’importe qui, héène étant considérée comme la plus belle femme. is auront une fille aha Hermione. Hélène :

Electre Electre est la fille de Agamemnon et de Clytemnestre,c’est la nièce d’Egisthe elle est la descendante d’une famille maudite ,en effet ,sa sœur Iphigénie a été sacrifiée et son frèreOreste a quantà lui été exilé .Elle est depuis toujours privée de l’affection maternelle .Electre se sent trèsseuls et ,elle souffre d’une haine envers sa mère dont elle ne connais pas la cause « haine qui n’est pas à elle »(acte 1,scene 8)Electre dans un acte de suicide désespèreaccepte de s’unir a un jardinier

champ lexical de la destinée est confondu avec celui de la fatalité ; elle est soumise aux décisions arbitraires divines. Elle est comme réifiée, c’est un objet des dieux, elle est marquée par le sceau du destin comme tous les héros raciniens : Iphigénie, Andromaque,… Innocente, elle abhorre sa propre personne pourtant : « je m’abhorre encore plus que tu me détestes » : honte, amour = souillure, vocabulaire du péché frappant ici, hyperbole, exagéré, sans complaisance / à elle. On relève aussi le

122, pour donner à l’homme conscience de son incapacité à affronter le divin « Taisez vous, nature imbécile […]. Écoutez Dieu ». Ces prophéties inscrivant l’homme dans une fatalité sont aussi présente dans les nombreuses tragédies tel Calchas dans Iphigénie (Racine) ou encore Cassandre dans Les Troyennes (Euripide).     En outre, la mort est un thème omniprésent dans les pensées,  qui fini d’inscrire l’homme dans cette fatalité à laquelle il ne peut échapper mais essaye d’y échapper mais « les hommes