Ironie Dans Torture

plus réfractaire à la sécheresse des essais. Il écrit Candide en 1759 où, à travers un personnage naïf, éduqué dans la philosophie optimiste, Voltaire fait défiler tous les grands maux de son temps qui portent atteinte à la dignité humaine : guerre, torture, intolérance, préjugés... et prône le bonheur à l'œuvre du progrès. Cette œuvre reflète ses combats. L'extrait se situe dans le chapitre XIX, lorsque Candide et Cacambo quittent Eldorado et arrivent à Surinam. Le spectacle cruel d'un esclave, à

Le verdict du procès de Jean Calas par le parlement de Toulouse le 10 mars 1762, est la condamnation à mort par étranglement sans que le jugement ne soit motivé. Calas est condamné au supplice de la roue. Il subit la question, une longue séance de torture, mais n'avoue rien. Il clame son innocence. Roué Place Saint-Georges, Jean Calas est étranglé puis brûlé deux heures plus tard. Condamné au bannissement à perpétuité3, Pierre, un autre fils de Jean Calas, s'exile dans la ville calviniste de Genève

le passé simple et l’imparfait, en plus d’une description sur un ton plaisant qui, malgré la tragédie de l’événement, va certainement amuser le lecteur de ce conte. B) Un procédés omniprésent : l’ironie 1) Des le début du chapitre cette ironie apparaît clairement sous différentes figures de style : L’insistance, une redondance des phrases qui veulent dire la même chose et qui avertit le lecteur sur le contenu du paragraphe. La périphrase par rapport à l’autodafé « spectacle

entre laideur et beauté b) Le tableau de l’horreur Lexique de la vermine très développé « mouches, larves …» Gaité ironique associé à la décomposition Réorganisation de la vie à partir de la mort I) Comparaison entre charogne et femme, ironie a) Association de l’érotisme et de la mort Connotations sexuelles « jambes en l’air, femme lubrique » « Brulante » -> fièvre qui conduit à la mort mais aussi feu de l’amour « Son ventre » siège de sensibilité de la femme et lieu de naissance

très noir, des formes amples, des personnages hauts en couleur malgré le noir et blanc et un effet "fresque" pour des scènes particulièrement saisissantes. Elle aborde des sujets douloureux sans sombrer dans le misérabilisme, en gardant une certaine ironie sur ce monde cruel. Malgré la dureté des images et du sujet, il en ressort un véritable hymne à la vie et à l’intelligence. Tome 1 : L’enfance de la guerre Marjane (on aura compris qu’il s’agit d’un récit autobiographique) a dix ans, nous sommes

réponse soumise de l’esclave qui attend son maître : le ton devient grave et le registre pathétique. = commence un réquisitoire II - Le réquisitoire du nègre, porte-parole de Voltaire présentation du maître caricaturale : «fameux négociant» : ironie ici dans le poids de l’adjectif polysémique = réputé pour son sens du commerce ou sa cruauté ? / onomastique porteuse de satire ici : qui a la dent dure (allitération qui renvoie à sa cruauté) avec connotation hollandaise pour rappeler le commerce

apparaît tout d’abord victime des événements, à la merci d’êtres maléfiques, ou seulement spectateur passif des événements surnaturels dont il est le témoin. Nous verrons cependant, pour finir, que le poète lui-même ne laisse pas d’instiller une certaine ironie dans son œuvre, semblant mettre ainsi à distance ses propres obsessions surtout grâce à une grande maîtrise des potentialités de l’écriture, ici utilisées au profit d’un genre nouveau, le poème en prose, qui permet réellement à Bertrand de s’exprimer

écrivant engagés à faire publier leurs oeuvres à l'Etranger (Les lettres persanes à Amsterdam en 1721 – Diderot enfermé à Vincennes en 1749) - en privant de liberté tous ceux qui s'opposent à la religion ( on n'hésite pas à recouvrir à la question (la torture) Les ferments nouveaux 1)L'esprit philosophique - se nourrit de découvertes faites au cours de nombreux voyages à l'étranger et de comparaisons - repose sur la volonté de faire disparaître les préjugés et les conformismes : « même si une institution

représentant et établit histoire de tous esclaves • Présence parole vivante, mère au style direct : rappel émouvant du passé ==> Mais jugements restent implicites, lecteur doit tirer ses propres opinions c. L'art de la dénonciation : • Absence ironie, V n'utilise pas art décalage, ne cherche pas à se moquer des esclavagistes • Narrateur semble neutre, prend pas parti : Présentation N sans apitoiement : d'abord détails vestimentaires puis indication mutilation. On ne voit plus les choses à travers

comportant les initiales J.G.F. On peut en conclure que c'est la femme à qui il parle dans la première strophe car il utilise les pronoms « je » et « te ». Ensuite, le poète tient à précisé dans les deux premiers vers, qu'il n'est pas passionné de la torture, qu'il n'est pas agité contre cette personne mais qu'il est obligé de se venger vu que c'est son travail « comme un boucher » (V2). On peut donc se demander pourquoi ça le soulagerait de lui faire du mal, s'il n'a rien contre cette dernière. La réponse