Ironie De Flaubert Dans Madame Bovary

critique de B[leuler] est savoureuse et méritée. Vos excuses font penser au "en attendant toujours quelque chose qui ne venait point" de Zola. En conséquence de quoi, le narciss[isme] est au repos. Cordiales salutations, également à l’attention de Madame G. Votre Freud65. » La citation provient de Germinal66. Elle évoque une scène où des enfants essayent d’avoir des relations sexuelles, mais leur constitution physique ne leur permet pas de jouir. Freud fait référence à cette phrase sans doute pour

compte en banque que sur ses concitoyens. » Cela n'empêche que l'on puisse avoir la nostalgie du pur héroïsme. Alors que juif allemand émigré en France, il cherchait lui-même à fuir devant l'avancée nazie fin 1940, Hirschman rapporte, non sans ironie, ce propos tenu par un passeur marseillais qui demandait un dédommagement « substantiel » pour emmener sur son bateau des réfugiés pressés de passer de l'autre côté de la Méditerranée : « Je fais cela pour sauver l'honneur de la France et assurer

différentes manifestations du corps, car, dans le corpus, il y a une sorte d’exhibition du corps. Il est évident que dans les deux pièces, le corps est l’objet torturé même si le corps et l’écriture sont intimement liés. En déclarant : « Madame Bovary, c’est moi », Flaubert pensait au texte qu’il a travaillé. Chez Maïakovski, l’écriture s’accompagnait d’un ébranlement du corps[264]. Le langage et le corps sont saisis, chez lui, dans la même flexion. Beaucoup d’autres écrivains et, non des moindres, ont

the movement for Indian independence. He was a fierce opponent of colonialism; but because he also fiercely opposed nationalism, he was out of sympathy with much that went on in the name of breaking free from foreign domination. (It is one of the ironies of his life that this arch-antinationalist wrote the song that became independent India’s national anthem.) The Home and the World concerns a young wife’s fatal attraction to an unscrupulous and exploitative independence leader. Contemporary readers