Ironie Du Sort

l'éloge de la femme exclamation, il dit penser à la réputation d'Emma l.67 « abîme », accuse le sort. Pensées réelles: pas d'amour l.11/12 « femmes pareilles? » parle froidement l.21 « voilà un mot...effet », « Il me...tout » l.39, il ne pense qu'à lui, il est le seul responsable. 2.L'ironie du Narrateur à l'égard du personnage ironie explicite l.9 « Rodolphe...excuse » ironie implicite: détail réaliste donné par le narrateur qui tranche avec l'exaltation de la lettre l.37/38

Persuader à travers des exemples et des illustrations, convaincre à travers des arguments. « une morale nue apporte l’ennui ; Le conte fait passer le précepte avec lui ; En ces sortes de feintes, il faut s’instruire et plaire » Le lion et le chasseur. La Fontaine Les moyens privilégiés pour convaincre : -5 sortes d’arguments : de logique, de valeur, d’expérience, d’autorité, ad hominem. -exemples : (illustratifs, démonstratifs) Les stratégies argumentatives : -Etayer -Réfuter -Discuter

« très-désagréables » (l. 30). Elle se montre irrespectueuse aux yeux de l’abbé en critiquant Saint-Paul avec des termes qui montrent son mépris : « impoli » (l. 16), « un homme très-difficile à vivre » (l. 18), « un pareil homme » (l. 21), elle ajoute avec ironie « je lui aurais fait voir du pays » (l. 21) et « j’ai jeté le livre » (l. 14). Son discours libéré est à l’image de sa vie : elle évoque ses amants à un abbé, elle refuse toute servitude, dépendance : question rhétorique « Sommes-nous donc des esclaves 

entre les adversaires mais sans jamais de justification " on ne manqua " , " en écrit l’histoire " " sentiment " l14 ® chose inadmissible pour un scientifique " belle et docte "® ironie car pas de fondement " un autre grand homme " : caractérisation laudative en contradiction avec " ramasse " péjoratif Þ ironie dans la contradiction . " ramasse " aucun effort personnel pas scientifique Fontenelle s’en prend au pseudo-scientifique pour leur compilation présent d’énonciation pour interpeller

notamment au chapitre VIII du Temps des Amours, s'apparente à une ironie socratique. (Rédaction analytique complète : intro, 2 ou 3 parties, conclusion) Le Temps des Amours est le quatrième livre dans la série Souvenirs d'Enfance de Marcel Pagnol. Il décrit, en plusieurs épisodes, sa vie d'adolescent du début du XX siècle. Le ton est humoristique : l'humour vient tantôt des situations rocambolesques, tantôt du registre ironique. Cette ironie peut durer le long d'un paragraphe ou se trouver dans une

toujours de façon très morale, remarquez-le bien. Il vaut mieux, après tout, taxer le vice que rançonner la vertu comme on le fait dans les sociétés républicaines. Caligula ouvre les yeux à demi et regarde le vieux Mereia qui, à l'écart, sort un petit flacon et en boit une gorgée. CALIGULA, toujours couché. Que bois-tu, Mereia ? [153] MEREIA C'est pour mon asthme, Caïus. CALIGULA, allant vers lui en écartant les autres et lui flairant la bouche. Non, c'est un contrepoison

Ponctuation expressive= une fin tragique, un rythme accentué. La distorsion ironique « En conséquence » : faux lien logique= ironie : une rationnalité contrefaite, d’apparence + inversion de l’ordre (on décide l’autodafé puis on cherche les coupables) « Un bel autodafé », « un moyen…efficace », « un secret infaillible pour empêcher la terre de trembler » : antiphrases = Ironie, les descriptions de la barbarie et la phase finale démentent ces premières phrases. Décision ironique, aucune logique. « Le

Dorine et le confirme. * C : Le portrait d’un hypocrite en religion : vers 239 « dévotement ». Souligne le mensonge de tartuffe auquel seul croît. C’est la suite de l’exposition, le spectateur est invité à ne pas être aussi crédule. * D : Ironie de Dorine qui renforce l’accusation d’hypocrisie lorsqu’en 254, elle montre que le dévouement dont Tartuffe prétend faire la preuve constamment, n’es tournée que vers son intérêt et la satisfaction de ces propres plaisirs « pour réparer le sang. Perdu

moquer de quelqu'un. * Ironie : (1) Procédé ou registre qui consiste à faire comprendre quelque chose en disant le contraire. L’effet peut être une moquerie ou de faire réfléchir le lecteur pour rendre le message plus efficace. (2) Ironie narrative : Certains auteurs, surtout au XIXe Siècle (ex : Stendhal, Flaubert…) jouent à rapporter les pensées de leurs personnages avec la voix du narrateur (style indirect libre) tout en gardant une certaine distance. (3) Ironie tragique : Souvent dans une

pour catégoriser/diviser l’histoire de la littérature/les textes littéraires en différents genres. · Prenons un texte comme La Parure de Maupassant. Il fait partie des Contes du jour et de la nuit . L’ironie du sort joue certainement un rôle essentiel dans ce que nous considérons un conte de fées typique. Cependant, La Parure se distingue aussi de ce genre