Ironie Du Sort

« à te mettre debout » = épanorthose, reformule pour mieux dire- « et » (l5,6,8) = CDC, complète ses propos, bcp de reproche - « je te plains » (l5), « pitié » (l6,7), « peur », « inquiétude » (l8) = rép, champs lex de la pitié et de l’inquiétude, sort de sa rancœur, exprime amour protecteur- « cette colère » = démonstratif, donne le ton de sa propre réplique- « reproche » (l9) = verbe utilisé tout au long de la tirade, rép, amour fraternel se traduit en culpabilité, passe du reproche au regret -

de figure, la malédiction atteint toute une famille, la mère (Jézabel) comme sa fille (Athalie), ce qui est clairement énoncé dans la rime « moi, toi » (v.8-9) où les deux mots sont reliés par l’adverbe « aussi » qui traduit une communauté de sort. La punition fait partie de la catharsis en nous inspirant la pitié (« Je te plains », dit Jézabel au v.5) et la terreur par le champ lexical de la terreur. D’où des mots comme « cruel… courroux » et surtout la rime très riche où les deux adjectifs

fait de façon externe, le narrateur fait une sorte de documentaire ; il reporte les choses telles quelles se sont passées, sans commentaires. L’esclave accepte son sort. a) Constat dans Situation / rencontre b) Constat dans paroles de l’esclave Mais il y a rappel émouvant du passé avec la mère de l’esclave ! 2- Ironie : Ironie entre objectivité du constat et l’horreur de la situation du nègre. a) termes à double sens (ex : Vanderdendur = vendeur cruel) b) mutilation spécifier dans

Plan : Axe I : Mise en place de fiction, effets de réel Présente situation tout à fait vraisemblable de jeune fille sort couvent ; + de façon chronologique dans récit. Début in medias res : 1er mot = Jeanne, donne impression de familiarité, elle ® centre du roman. Texte fonctionne sur ellipses (pas description lieu ni Jeanne) Þ rapidité, lecteur qui pas présenté, pas le temps de se poser des questions, introduit tout suite dans univers Jeanne. Avec focalisation interne, on

d’ironie et les expliquer en s’appuyant sur cette double définition. Classer les exemples selon qu’ils se rapportent à la définition 1 ou 2. ironie : 1. Raillerie consistant à ne pas donner aux mots leur valeur réelle ou complète ou à faire entendre le contraire de ce qu’on dit. 2. Fig. Contraste entre une réalité cruelle et ce que l’on pouvait attendre. Ironie du sort. (Le Petit Larousse) -… émigrés Qui venaient tous de leur plein gré Vider les poubelles à Paris -situation ironique : c’est Lily

une lance”comparaison- évoque les tournois -> on s’attend à de la violence et de l’intensité, Rabelais préfigure les événements qui suivent1 - “bâton de la croix”antithèse, ironie- symbole de la paix religieuse et de de l’amour chrétien, mais désacralisé, frère Jean s’en sert pour se battre et tuer -> personnage qui sort de l’ordinaire1 - “en cœur de cormier” symbole de vie - l’arbre de cormier donne fruits nourriture des dieux - en fait FJean va tuer avec mais comme si c’était un travail de

le jeu et les convenances -> Elle met en avant la froideur de la réaction de Béline avec l’attitude attendue en pareil cas. Ne pas oublier qu’en même temps que nous, ARG découvre les vrais sentiments que Béline éprouve à son égard. Il y a une ironie dramatique à observer Béline se révéler alors qu’elle est la seule à ignorer qu’ARG n’est pas mort De la même manière ARG était le seul à être dupe des sentiments de Béline : là aussi, il y a de l’ironie à l’imaginer découvrir le vrai visage de sa

jeune servante → le chœur populaire antique son optimisme est montré par un superlatif évoquant la paix : « Troie touche aujourd'hui son plus beau jour de printemps ». Optimisme repris par Andromaque qui décrit une ville en paix :« de tout arbre sort le murmure des coquillages » puis « Vois ce cavalier de l'avant-garde se baisser sur l'étrier pour caresser un chat » => spectacle de la paix 2.Les éléments modernes a.Les règles de la tragédie modifiées Règles de la tragédie respectées : Vraisemblance

interrogés sur les motifs de cet engagement volontaire, émettant diverses hypothèses : attachement patriotique à la France, déception sentimentale, ennuis financiers, ... N'était-ce pas aussi une occasion de s'identifier à un destin commun, de partager le sort de tous? Enfant ‹‹naturel››, né à Rome, Polonais de nationalité russe, Guillaume était un étranger; et peut-être d'autant plus étranger qu'il était poète. M. Décaudin a finement analysé cet aspect de la personnalité d'Apollinaire :

Thèbes : Polynice qui veut rester roi se bat contre son frère et tous deux meurent. Etéocle a droit à une sépulture mais le cadavre de Polynice doit rester la proie des vautours et des chiens, son âme condamnée à errer éternellement. Antigone refuse ce sort. Créon, son oncle, devenu roi de Thèbes, a menacé de mort quiconque s'aventurera à enfreindre son ordre d'interdire l'inhumation du corps de Polynice.
Alors qu'il fait nuit, Antigone rentre sans faire de bruit au palais mais sa Nourrice la surprend