Ironie

propose de le mariage = propositions provocante, rejet de la fille, mais il va essayer de la persuader. Antiphrase Vers 45 = montre l’ironie de La Fontaine. Vers 46 =il la laisse venir. Le père a beaucoup d’expérience.               c. Humour ou Ironie               1er Trait d’humour, thème original, évoque le problème des mariages arrangés, un thème plutôt de société. Le père impose le choix à sa fille. Thème peut courant.   Registre ironique : Vers 36 à 44. Il va insister sur les paraboles

compassion du lecteur. Hypotypose (« Ici », « là », « d'autres ») = une seule phrase à la syntaxe complexe, qui permet de voir une accumulation de détails horribles. Mais : même dans ce passage pathétique, V. recourt à des procédés ironiques. → ironie grinçante, mais nécessaire : il ne s'agit pas seulement de s'apitoyer sur les victimes mais de s'indigner contre les bourreaux. III- La condamnation universelle de la guerre Idée directrice : pas de discours argumentatif proprement dit. Mais un

et le traitement des noirs. Hyperbole « les chiens, les singes et les perroquets sont mille fois moins malheureux » (l. 16-17), gradation du plus utiles au moins utiles=l’esclave est inférieur aux animaux domestiques. « Or, vous m’avouerez  […] » ironie et humour noir Voltaire rejoint dans ce texte le combat des philosophes contre l’esclavage en s’exprimant à travers le nègre. Au premier abord, le fait que le point de vue soit externe tend à nous faire penser que le constat est neutre, pourtant

distinguer ces deux registres mis au service de la dénonciation. Tout d’abord, le premier registre mis en avant est le registre ironique. En effet, le lecteur réfléchit et s’amuse en même temps grâce à ce conte philosophique. La première trace de cette ironie réside dans le nom du maître « Vanderdendur » qui signifie celui qui vend et qui a la dent dure, qui mêle donc le négoce et la maltraitance. Ensuite, il règne une atmosphère administrative dans la phrase « Je me suis trouvé dans les deux cas ». Le

3) Un texte de dénonciation : a. Une satire de l'obscurantisme de l'Inquisition : Camouflage et retenu de jugement : Voltaire a pas recours à des termes comme 'monstre ou ignominie', il fait semblant de pas s'engager. Mais implicitement par ironie, il écrit un pamphlet contre les méfaits de la religion pervertie Superstition : 'Prévenir ruine totale' = pure superstition Absurdité : • Les deux 1ère phrases sont redondantes par l'appui irrationnel : en quoi un autodafé peut-il empêcher la

des pronoms puisque Figaro vouvoie ("vous ne l'aurez pas") le Comte mais tutoie ("pour toi") Bazile. L'apostrophe "ah Monseigneur !" appelle le "Monsieur le Comte" suivant. La violence de Figaro est traduite et par l'interjection "ah" et par son ironie: "mon cher". Figaro a besoin de se libérer. De plus, Figaro commence par poser deux questions, une directement et l'autre indirectement au Comte. 1/ Figaro se rend compte de la duperie Figaro est trahi, on lui offre la tromperie: "vous voulez

tient ici, une référence à priori positive mais contient cependant un contre sens où il dénonce une politique tyrannique et despotique ; le verbe « plairait » dénonce ici le plaisir du roi à opprimer sont peuple. On remarque plus spontanément une ironie à « accablé d’une pauvreté qu’un particulier ne pourrait soutenir » en vaillant tout d’abord à préciser sa richesse pour ainsi faire ressortir l’in intéressement du roi envers les affaires du peuple. Au paragraphe trois, il dénonce une fois de plus

et le narrateur n’est pas élogieux vis-à-vis de lui mais très mesuré « assez » -il est évoqué deux fois au début du texte et à la fin il est donc omniprésent c’est sur lui que va se concentrer le récit -Pangloss =celui qui parle pour ne rien dire ironie immédiate du narrateur sur ce personnage, discours faussement logique Il est assimilé à un « oracle » hyperbole ironique III/les cibles de Voltaire a)      La philosophie optimiste -« traité de métaphysico cosmolonigaulogie » Voltaire reprend

Pour comprendre ce texte, il faut savoir qu’il est polémique donc qui a pour but de créer des débats tout en étant ironique et sarcastique. ( rappel : sarcasme = blesser qqun et ironie = rire ). Il peut heurter les personnes car il affirme que les gens ne comprennent rien du tout à tout ce qui leur arrive. Nietzsche est le premier philosophe qui pense que nous devons nous comprendre nous-mêmes avant d’acquérir de la connaissance. Ce qu’il va faire c’est rechercher ce savoir. Il veut scruter ce

vanter ses mérites : « lorsqu’il devina par la force de son esprit, plus de cinquante propositions d’Euclide », il montre le gout que notre héros à pour les sciences, il le dit même meilleur que Blaise Pascal, qu’il qualifie sans le cacher et avec ironie d’ « un géomètre assez médiocre et un fort mauvais métaphysicien ». Micromégas est donc d’une intelligence exceptionnelle si l’on en croit Voltaire. Mais il a encore fait bien des choses : « il disséqua beaucoup de ces petits insectes », « il en