Jacqueline Romilly

Générale « De tous les luxes, la culture est celui qui est le moins réservé à l’argent, le plus propre à nier et transcender toute hiérarchie sociale. » Jacqueline de Romilly(1913), philologue française, membre de l’Académie française Dans cet énoncé de Jacqueline de Romilly, philologue française, il est question de la culture. Romilly nous affirme que la culture est un luxe accessible car, il est le moins réservé à l’argent. La philologue associe la culture et le luxe. D’après le dictionnaire

l'écrivain d'autre part en soulignant le « caractère fragmentaire » de son livre . Jacqueline de Romilly , évoque un problème semblable , lorsqu'elle écrit qu'il faut pour appréhender la pensée des autres , comprendre « la pensée de ceux qui nous ont précédés ». En cela chacun de nous sommes redevables, à un passé , que l'on a en soi et qui nous porte . Ce passé rendu vivant c'est la littérature ,selon Jacqueline de Romilly, vue comme un véritable vecteur de pensées et d'images , c'est à dire un moyen

L’époque est au court, au rapide. A l’opposé de la lecture lente inhérente à l’enseignement littéraire. Quel beau défi ! Jacqueline de Romilly ne regrette pas d’avoir enseigné toute sa vie - « Cela a été mon bonheur et demeure à jamais ma fierté. » Elle témoigne de sa passion d’enseigner jusque dans les tâches les plus ingrates : corrections scrupuleuses, heures passées à choisir un texte ni trop difficile ni trop facile pour l’examen, combat contre l’indiscipline… Malgré la dégradation des conditions

effet, de démocratie directe. Les petites dimensions de la cité Etat permettaient, à cet égard, ce que l'ampleur de nos Etats modernes rend impossible[...]Le peuple gouvernait, au lieu de simplement élire les hommes chargés de gouverner." Jacqueline de Romilly, [b]Problèmes de la démocratie grecque[/b], Hermann, 1975 Questions : 1) Dans un paragraphe rédigé et organisé, présentez ce document. 2)En vous servant de vos connaissances, expliquez chacun de ces mots : Citoyen, Droit ,Démocratie directe

bien qu’ils aient étudié l’histoire, la réalité ne commence vraiment qu’à leur propre naissance. Tout ce qui précède appartient à un domaine confus, à un magma indifférencié que l’on pourrait appeler une sorte de temps virtuel » comme le cite Jacqueline de ROMILLY dans son extrait de « La littérature, ou le passé vivant » paru dans le journal Le Monde en octobre 2008. Cette période, propre à une génération, peut paraitre virtuelle pour la plupart voire même laisser indifférent. Cécilia GABIZON, atteste

passé pourrait sembler être une perte de temps. Ce qui est passé est passé, nous dit le dicton, et l’on n’y peut plus rien. Pourtant, le corpus que nous allons synthétiser montre à quel point la connaissance du passé est importante : Jacqueline de Romilly et Hannah Arendt soulignent que cela est nécessaire pour construire l’individu et une vie en société. La mémoire du passé doit être entretenue, même lorsqu’il est douloureux, comme c’est le cas pour ce qui touche à la Seconde Guerre mondiale

socio-politique, sous la forme d’un ouvrage de la collection « Savoir + Cultures » . L’auteure, Jacqueline de Romilly (1913-2010) est une essayiste, traductrice, militante et philologue française. Un certain nombre de ses œuvres ont été influencées par l’ouvrage « Histoire de la guerre du Péloponnèse » de l’historien athénien Thucydide (vers -460 à vers – 429). Dans son écrit, Romilly s’est efforcée de retracer les réflexions sur le régime de l’époque en y joignant des complications

génération qui semble être importante et toujours d’actualité. Pourtant le dossier proposé constate que les nouvelles générations ne sont plus aussi enthousiastes que celles de nos ancêtres. Il comporte quatre documents. Le premier est de Jacqueline de Romilly, il est extrait du journal Le Monde, intitulé « La littérature, ou le passé vivant » et publié le 28 octobre 2008, il évoque le manque de connaissance des jeunes. Le second document à été écrit par Hannah Arendt, il est extrait du livre La

fables et sur les moyens mis en œuvre pour faire passer un message didactique et moral. Introduction : Dans la Préface des Fables, La Fontaine insiste sur la vocation pédagogique de ses fables qu’il destine d’abord aux enfants. De même, Jacqueline de Romilly, dans sa Lettre aux parents sur les choix scolaires, défend la nécessité d’enseigner à l’école les fables pour leur valeur esthétique et morale. Pourtant Rousseau, dans son traité Emile ou de l’éducation, refuse de reconnaître cette vocation

inspiré d’autres œuvres, des allusions, des rêves poétiques, des réflexions morales.” 1 de ROMILLY J., «Introduction », dans : Jacqueline de Romilly éd., Homère. Paris, Presses Universitaires de France, « Que sais-je ? », 2019, p. 3-4. Les premiers mots d’introduction de Jacqueline de Romilly placent immédiatement l'œuvre homérique dans ses dimensions historique, culturelle et universelle. L’héritage d’Homère