Jacques Delors

traité de Rome. Signé en 1986 et entré en vigueur en 1987. On a un double objectif : à la fois faire le point sur les réalisations qui ont été faites depuis Rome (on fait un bilan) et fixer de nouveaux objectifs plus ambitieux à atteindre. Jacques Delors : Président de la Commission des Communautés Européennes du 6 janvier 1985 au 22 janvier 1995. 1) L’achèvement du marché intérieur 1986 : L’Union Européenne s’est élargie. Le premier objectif c’est de poursuivre le démantèlement des droits

Enfin c’est la première fois que l’Europe va devoir payer de façon à remettre à niveau le retard économique d’un de ses nouveaux pays membres : la Grèce en 1981. Afin de surmonter le blocage institutionnel induit par la règle de l'unanimité, Jacques Delors, président de la Commission Européenne de 1985 à 1995, propose en 1985 une série de mesures susceptibles de réaliser enfin le Marché unique. Cette relance du processus communautaire intervient au moment où l'Espagne et le Portugal sont intégrés

mise en place du système monétaire européen en 1979 et de l’Acte Unique en 1986, qui achève les ambitions du traité de Rome et a pour objectif de mener à terme la réalisation du marché intérieur avant fin 1992 (François Mitterrand, Helmut Kohl et Jacques Delors, alors président de la Commission). Les élargissements de 1973 (Royaume-Uni, Danemark et Irlande), 1981 (Grèce), 1986 (Espagne et Portugal) et 1995 (Autriche, Finlande et Suède) rendent certes la France moins décisive dans les avancées européennes

MITTERRAND, Il est élu député de la première circonscripton de la Corrèze. De 1988 à 1991, il est professeur d'économie à l'Insttut d'études politques de Paris. En 1993, il perd son mandat de député. Il prend la présidence du club « Témoin » de Jacques DELORS qu'il conserve jusqu'en 1997. Il devient secrétaire natonal du Part socialiste chargé des questons économiques, en novembre 1994. Et en 1995, Lionel JOSPIN le nomme porte-parole du Part socialiste. En 1997, après la victoire de la gauche plurielle

Benoit Tabaka « En 1998, plus de 80% des textes nationaux seront communautaires ». Voici ce qu’avait indiqué Jacques Delors, alors Président de la Commission Européenne lors de la signature du Traité de Maastricht en 1992. Pourtant à ce jour, la France est encore loin de ce seuil. « En 1998, plus de 80% des textes nationaux seront communautaires ». Voici ce qu’avait indiqué Jacques Delors, alors Président de la Commission Européenne lors de la signature du Traité de Maastricht en 1992. Pourtant à

fonctionne dans une logique de confédération adaptée et non de fédération, Il faudra cependant que les États restent assidus pour maintenir leur souveraineté face à la Commission européenne. L'Union Européenne est un objet politique non identifié", Jacques DELORS.

publiés par les grands organismes internationaux note 1. À titre d'exemple, le récent rapport intitulé L'éducation, un trésor est caché dedans de la Commission internationale sur l'éducation pour le vingt et unième siècle de l'UNESCO, présidée par Jacques Delors (1996), ne manque pas d'y faire allusion à plusieurs reprises. S'il est une constance que l'on peut observer à l'égard de l'utilisation du terme de partenariat, c'est probablement sa dimension d'ouverture sur l'environnement note 2. En effet

1980. C’est surtout dans le cadre de l’unification des marchés européens que des transformations importantes sont accomplies. Sous l’impulsion des chefs d’État français et allemand (notamment Helmut Kohl et François Mitterrand), mais aussi de Jacques Delors, les projets du traité de Rome sont réalisés dans les années 1980 : mise en place d’un système monétaire européen en 1979 (l’ECU, première étape avant l’adoption future de la monnaie unique au traité de Maastricht de 1992) ; création d’un espace

sont prêts à passer le cap de l’unification. Le 17 février 1986, la signature de l’Acte Unique qui doit relancer la construction européenne. Il prévoit notamment le renforcement du marché intérieur. Il est le résultat de l’action conjuguée de Jacques Delors, président de la commission de Bruxelles, de François Mitterrand et d’Helmut Kohl. En 1987, le cinquantième sommet franco-allemand, Kohl et Mitterrand décident de créer une brigade franco-allemande de 5000 hommes. En 1988 la France et la RFA approuvent

cette Europe des nations qui n’avancent qu’à petit pas... » d- Charles De Gaulle Il était pour la supranationalité de l’Europe. Il pensait que c’était nécessaire d’un point de vue économique et stratégique. Conclusion Selon Jacques DELORS, ancien président de la Commission Européenne de 1981 à 1984 : "L’union économique monétaire ne marche que sur une seule jambe faute d’une coordination étroite des politiques économiques nationales ". La politique étrangère souffre également