Jacques Delors

a inscrit le principe de subsidiarité à l'article 5 §3 du traité sur l'Union européenne transcrit en termes identiques avec en plus une référence explicite à la dimension régionale et locale. De plus, le protocole de 1997 est remplacé. C'est Jacques Delors président de la commission européenne de 1985 à 1995 qui est considéré comme le « père » du principe de subsidiarité pour l'Europe. L'entrée en vigueur du nouveau traité apporte une clarification attendue à tous niveaux. ( procédure de vote,

réunification de l'Allemagne5. ------------------------------------------------- Problèmes liés à des visions politiques différentes[modifier] Pour Jacques Delors, la monnaie est une étape vers une Europe fédérale que, d'après Jean Pisani-Ferry6, « il désigne par prudence d'une formule alambiquée : fédération d'États-Nations ». Si la finalité, pour Delors, est institutionnelle, au contraire pour les Allemands l'essentiel n'est pas dans les institutions mais dans les « liens unissant les peuples qui

construction, nécessitant à présent avant tout un travail de surveillance de la Commission et de la Cour de justice. 1. LE MARCHÉ INTÉRIEUR PRÉSENTE DES RÉALISATIONS IMPRESSIONNANTES 1.1. La création du marché intérieur En 1985, lorsque Jacques Delors, alors président de la Commission européenne, a lancé le projet de marché unique, il s’agissait principalement d’un projet politique, ayant vocation à remobiliser la construction européenne autour d’un objectif commun. Sur le plan économique,

Belgique | Franco-Mario Malfatti | 1970-1972 | Italie | Sicco Mansholt | 1972-1973 | Pays-Bas | Francois-Xavier Ortoli | 1973-1977 | France | Roy Jenkins | 1977-1981 | Royaume-Uni | Gaston Thorn | 1981-1985 | Luxembourg | Jacques Delors | 1985-1995 | France | Jacques Santer | 1995-1999 | Luxembourg | Romano Prodi | 1999-2004 | Italie | José Manuel Barroso | 2004- | Portugal | Microsoft ® Encarta ® 2008. © 1993-2007 Microsoft Corporation. Tous droits réservés. Parlement européen (Strasbourg)

pédagogique : http://www.touteleurope.eu/ La citation « Le modèle économique européen doit se fonder sur trois principes : la compétition qui stimule, la coopération qui renforce, la solidarité qui unit » Jacques Delors, président de la Commission Européenne (1985-1994) |DOCUMENT 1 |DOCUMENT 2 |

ces pays à mener une politique de rigueur pour ne pas supporter les conséquences néfastes des pays endettés qu’il faudrait aider. C’est d’ailleurs pour cela que l’Allemagne n’était pas pour l’acquisition d’eurobounds pour leur venir en aide. Jacques Delors, ancien Président de la Commission Européenne voit aujourd’hui l’austérité comme une chose essentielle au bon fonctionnement de l’Europe. Il aurait voulu une Europe Unie, avec un grand budget pour réaliser des grands travaux, or le budget de l’Union

VGE : le libéralisme avancé : amélioration de la formation des jeunes, minimum vieillesse, abaissement de la majorité à 18 ans, loi Veil, politique de libération des prix (politique de René Monory). A) La relance Politique développée par Jacques Chirac en 1975-1976. Le plan de refroidissement de l'économie de 1974 est un échec (on va vers 1 million de chômeur). On a une récession mondiale, y compris en Allemagne. D'où une politique de relance en 1975 avec une majoration des allocations familiales

Etablir un bilan social Quelques indicateurs 1 HISTORIQUE Aux USA, le Président Hoover demande à une équipe de chercheurs de rédiger un rapport national sur les tendances sociales aux États-Unis. C’est le premier bilan social En France : Jacques Delors, alors chef du service des affaires sociales du Commissariat général du plan a mené un travail entre 1967 et 1968, qui constitue le point de départ de la réflexion française sur le bilan social de la nation. Cette importante contribution théorique

c'est par l'emprunt européen qu'il est possible de financer des projets comme Galiléo, les réseaux transeuropéens de transports...Cela permettrait de rattraper le retard de l'Europe en matière d'investissement par rapport aux pays émergents. Jacques Delors, ancien Président de la Commission européenne, avait lancé l'idée d'emprunts européens annuels dans son Livre Blanc de 1993 "Croissance, emploi et compétitivité". L'Allemagne et la France, deux pays fondateurs, s'y étaient opposés. La question

adjoint du cabinet en charge des nationalisations s'appelle Jean Peyrelevade. L'Histoire, éternelle farceuse, en fera, plus tard, l'ouvrier de la privatisation du Crédit lyonnais... Quant à celui qui, au sein du cabinet du ministre des Finances Jacques Delors, est en charge des nationalisations, il s'appelle Patrick Peugeot. À l'âge de la retraite, il prendra quelque distance avec la profession pour prendre la tête de la Cimade et s'occuper activement des sans-papiers. Mais ce qui va bouleverser dans