Jardin sauvage

l’exemplarité de l’histoire d’Aotourou est liée à son inscription dans un dialogue argumentatif, cette anecdote a néanmoins l’intérêt de proposer un exemple démonstratif qui éclaire le lecteur dans le cadre d’un débat d’actualité au XVIIIe s. : le sauvage et le civilisé.

le monde se retrouve divisé en deux, celui des sauvages qui correspond au notre actuel et le meilleur des mondes dans lequel tout est prévu, maitrisé, parfumé, agréable, beau etc. Les deux mondes sont séparés par des clotures éléctrifiées empéchant tout échanges. Le monde des sauvages dispose encore de croyances, de Dieu, de livres, de groupes humains avec des langues propres , de familles et même de la reproduction sexuée, mais ce sont des sauvages, il faut les excuser. Dans le meilleur des

morale sexuelle Le Supplément s’inscrit dans la tradition des débats d’idée du XVIIIème siècle. Ce texte se rapproche des dialogues traditionnels avec le sauvage, dont l’origine peut se trouver chez Jean de Léry, auteur du XVIème siècle, et qui seront également exploités par Voltaire dans L’Ingénu. En effet, Diderot fait dialoguer et débattre un sauvage et le représentant emblématique de la pensée européenne : l’aumônier. Cependant, à la différence du texte original, le Voyage autour du monde de Bougainville

Objet d’étude : L’apologue, et un mouvement littéraire : Le siècle des Lumières Titre de la séquence : Candide Problématique : Les « jardins » de Candide ou l’utopie comme forme rêvée du bonheur ? CANDIDE: LE PAYS DES OREILLONS (Chapitre 16) Le mythe du bon sauvage: Pendant le XVI de nombreux récits de découverte apparaissent : Amérique -> Christophe Colomb, Brésil -> Jean Léry XVII : Pacifique et Polynésie -> Bougainville Tous ces voyageurs font la description d’un être naturel, de pays idylliques

allumette et approcha la flamme de sa cigarette. Il aspira et un nuage de fumée fantomatique s’éleva lentement. L’homme parcourut la rue du regard et apprécia la tranquillité de ce coin charmant. Le soleil brillait, des arbustes verts égayaient les jardins entretenus, de jolies maisons en bois bordaient la rue, les feuilles frémissaient sous une brise matinale qui s’emplissait d’odeurs et de mélodies, parfumée par la fraîcheur des glycines, bercée par le chant des cigales et le doux gazouillis d’un

du bon sauvage ? Tout d’abord les œuvre nous présente les ‘’sauvages’’ comme étant des croyants, D’après Montaigne qui nous dit « ils ne voulaient pas changer de religion après s’en être servis si utilement pendant si longtemps » l.23 et aussi Gauguin qui parle du jardin d’Eden « leurs dieux »l.21. Ensuite, les œuvres illustrent le mythe du bon sauvage en montrant leur harmonie avec la nature. Montaigne dans son texte dit « contrée fertile agréable » pour nous raconter que les sauvage respecte

d'époques différentes. Il y a également un document iconographique, un tableau de Gauguin... Nous nous poserons donc la question suivante : comment les textes et le tableau de ce corpus illustrent-ils le mythe du bon sauvage ? Tout d'abord, les œuvres illustrent le mythe du bon sauvage en montrant leur harmonie avec la nature. Dans le texte de Montaigne, on nous montre ces réflexions sur le choc des cultures après la decouverte du monde (l'Amérique) et il s'inspire en effet de sa propre expérience

Prisonnier au village 11.G on visite le phénomène de foire 5. B Dans la foule moqueuse un vieux l’aide 12. J le sauvage est agressé par les enfants sourds 6. E A la gendarmerie 13. F avis différent sur son sort entre Pinel et Itard 7. A voyage en diligence vers Paris I : L’enfant sauvage en Aveyron 0mn13mn 1 =M 3 =K 5 =B 7 =A 2 =D 4 =H 6 =E II. L’enfant sauvage à Paris : 14mn26m 8 =I 10 =L 12 =J 9 =C 11 =G 13 =F 9°) Comment est assurée la transition entre les parties

Le mythe du Bon Sauvage I) Les origines 1) Les utopies Le mythe prend forme dans la religion chrétienne, dans l’ancien testament, quand Adam et Eve sont dans le jardin d’Eden, n’ayant pas la connaissance. Quand ils croquent la pomme et obtiennent la connaissance, ils sont chassés du paradis. Le mythe existe aussi dans le monde gréco-romain, avec l’âge d’or, qui est l’état primordial où la nature procure à l’homme ce dont il a besoin. 2) Nouvelles découvertes

I/ La mise en place du mythe du bon sauvage 1) Un éloge de la vie sauvage + Champs lexical de l’honneur jalonne le texte (victoire, vertu, conquêtes, courage…) + Ce peuple vie en harmonie avec la nature Verbes jouir : idée de bonheur, plaisir au sein de cette nature) + La nature s’offre d’elle-même personnification + Cette description revient a l’âge d’or : parallèle avec le Jardin D’Eden + Répétition encore (l.5-6) : crée un