Je Ne Fais Pas De La Littérature Je Fais Une Chose Tout à Fait Différente Je Fais Du Théâtre

> Devenir un bon lecteur Objectifs Vérifier ses compétences de lecteur Découvrir la lecture analytique F. DAVI Séquence 0-FR20 15 > Devenir un bon lecteur A B ...................................................................................................................... 19 Premiers repérages Pour aller plus loin > Fiches Méthode ...................................................................................................................................

film sur l’auteur-même et comme il dit « si quelque chose dans ce film n’est pas autobiographique  c’est biographique » (Deux de la vague). C’est d’ailleurs son premier long métrage. « Les 400 coups » parlent  d’un adolescent qui vit la vie compliquée, qui n’a pas de bonnes relations avec ses parents ni avec les enseignants à l’école. L’attitude de François Truffaut à l’égard de l’enfance se manifeste dés le début de sa carrière. Il a tourné quatre filmes où les enfants étaient les personnages

mère était mercière et mon père mercier. » Telle est l’introduction à sa biographie qu’avait livrée un jour Raymond Queneau. Il est né au Havre en 1903, où il commence ses études. Puis il entre en 1924 en faculté des lettres à Paris et obtient sa licence de philosophie et de lettres. De 1925 à 1927, pendant son service militaire, il s’initie à ce qu’il appellera la langue verte des « crocheteurs du Port-au-foin ». Il collabore à La révolution surréaliste mais, dès 1929, et pour des raisons personnelles

lettre à Goethe du 27 avril 1798 : « Il ne fait aucun doute que [les Français] sont de meilleurs réalistes qu'idéalistes, et j'en trouve une preuve victorieuse dans le fait que le réalisme ne peut pas faire de poètes. » D'Allemagne, il passe en Angleterre, où Coleridge, dont on sait la dette envers la philosophie et la poésie allemande, l'utilise dans ses Biographia literaria (1817). En France, le mot apparaît pour la première fois dans un article anonyme du Mercure du XIXe s., en 1826, à propos

(1598-1648). Gongorisme Scudéry, Madeleine de A créé des expressions originales et recherchées. Beaucoup ont passé de mode, exemples : achever : rendre complet ; aimer : avoir un furieux tendre pour ; balai : instrument de la propreté ; chandelle : supplément du soleil ; chapeau : affronteur des temps ; cheminée : empire de Vulcain ; chemise : compagne perpétuelle des morts et des vivants ; chenets : bras de Vulcain ; chien qui fait sa crotte : chien qui s'ouvre furieusement ; dents : ameublement

stylistique s’est trouvée en retrait, dans les années 75-85, par rapport à l’explosion d’autres domaines, pour vivre depuis peu une sorte de renaissance, qui en fait désormais une discipline porteuse et novatrice, une discipline au croisement des « sciences » du langage et des « sciences » de la littérature. Il est vrai qu’on ne peut rendre compte du sens d’un texte sans observer de manière rigoureuse l’objet qu’il constitue, un objet fait de mots organisés. C’est là qu’intervient la stylistique, car si

comme de l'eau sur le dos d'un... ? 6. Tourner en rond comme une (-- ?--) sans tête. 7. Qui mange beaucoup, on dit : Manger comme un...? 8. Qui mange peu... On dit : Manger comme un... ? 9. II fait un froid de... ? 10. Être muet comme une... ? 11. Il a la tète dure, une tête de... ? 12. Un événement qui n'arrivera jamais : quand les (-?-) auront des dents. 13. Faire rire de soi : être le (- ? -) de la farce. 14. Être peureux : se faire traiter de (-

général, définir quelques axes d'analyse. Et je pense aussitôt à La Débâcle, le roman que Zola, arrivant au terme des Rougon-Macquart, décide de consacrer à la guerre franco-prussienne de 1870. Car voici le fait notable, et fort utile en l'occurrence : ce roman constitue un véritable Gesamtkunstwerk où se résument les possibles du récit de guerre en général. On y trouve ainsi, avec le roi Guillaume sur sa colline, contemplant le théâtre des opérations, la guerre vue de loin ; avec l’escouade de Jean

stylistique s’est trouvée en retrait, dans les années 75-85, par rapport à l’explosion d’autres domaines, pour vivre depuis peu une sorte de renaissance, qui en fait désormais une discipline porteuse et novatrice, une discipline au croisement des « sciences » du langage et des « sciences » de la littérature. Il est vrai qu’on ne peut rendre compte du sens d’un texte sans observer de manière rigoureuse l’objet qu’il constitue, un objet fait de mots organisés. C’est là qu’intervient la stylistique, car si

FLSH – université Ibn ZohrDépartement de langue et littérature françaisesFilière : Etudes françaisesS1 : LittératureModule 3: Introduction aux études françaisesCours : « lecture & Analyse »Visée pédagogique : · Objectif général : · Maîtriser les méthodes de base de lecture et d’analyse des textes littéraires · Compétences ciblées :· Savoir moduler les techniques de lecture et d’analyse selon les codes génériques d’un texte littéraire · Etre