Je Pense Donc Je Suis

Csqce : tout doit porter sur les fondements. But : fonder la science sur des principes certains, indubitables. Cela nécessite d'un âge mûr. « Méditations métaphysiques » = certaines formes de la pensée, requiert de la concentration. Solitude et lenteur (méditation longue) dues au cheminement de la pensée. On ne médite que sur des choses essentielles et tenant à l'existence humaine. Méditation d'origine religieuse. Métaphysique : vient d'Aristote ? textes rassemblés sous le titre « Métaphysique »

remet en cause le sentiment de liberté de l’homme. Tout d’abord, Spinoza décrit le déterminisme comme un principe rationnel : chaque chose est la conséquence d’un élément extérieur. L’élément en question est la cause de la chose. L’auteur prend donc l’exemple d’un objet inconscient, une pierre. Cette pierre subit une force extérieure qui la pousse afin de la faire rouler. C’est la « cause extérieure » qui détermine le mouvement de la pierre. Sans cette « impulsion externe », le mouvement n’existerait

sur le « Peut-on » → Opinion et savoir aller contre l’opinion (para / doxa) → Quel est l’implicite de la question qui va nous permettre de problématiser ? 1ère réaction : Quelle évidence ! Qui pense d’autre que moi-même ? 2ème réaction : Nous sommes peut-être les seuls auteurs de nos pensées. 3ème réaction : Qui m’influence ? • « Peut-on » traduit la capacité → Possède-t-on la capacité et sait-on s’en servir ? C’est tellement plus facile de laisser penser les autres à sa place

disons pourtant que nous restons les mêmes : l’adulte et l’enfant sont la même personne. Lorsqu’une personne change de nom, ou de prénom, ou même d’apparence physique, elle ne change pas d’identité : elle reste une seule et même personne. Ce n’est donc pas en tout ceci que notre identité consiste. Dans l’extrait des Essais sur l’entendement humain que nous allons expliquer, Locke propose une définition de l’identité fondée sur la notion de conscience. L’identité personnelle, selon Locke, n’est

soi mais aussi conscience réfléchie puisque l’on juge du bien ou du mal en refusant ou affirmant. Dire non peut exprimer un refus, un mécontentement, une contradiction. Aussi, quand nous pensons sommes-nous forcément dans le refus, l’opposition ? La pensée ne permet-elle pas de mieux affirmer par une grande conscience des choses et de soi ? Dans une première partie, nous verrons que l’acte de penser est le fait d’être libre, d’exprimer son refus. Dans une deuxième partie, nous démontrerons que l’acte

2 2. Je pense, donc je suis PAGEREF _Toc196743883 h 3 3. La logique du systme cartsien PAGEREF _Toc196743884 h 4 B. Sujet transcendantal et moi empirique (Kant) PAGEREF _Toc196743885 h 5 1. Le Je pense est un principe dunit qui est la condition de toute pense PAGEREF _Toc196743886 h 5 2. Transcendantal et transcendant PAGEREF _Toc196743887 h 6 C. Le cogito est une illusion grammaticale (Nietzsche) PAGEREF _Toc196743888 h 7 1. Le doute interdit dutiliser les concepts de Je et de pense PAGEREF

pouvons alors nous demander si le langage permet seulement la communication ou s’il a d’autres dimensions. Si on dit que le langage est seulement un moyen de communication cela voudrait dire que la pensée est indépendante au langage. Cependant le langage n’a- il pas un rôle dans l’action de la pensée ? C’est pourquoi dans un premier temps nous verrons que le langage est un instrument de communication. Ce que nous contredirons dans une deuxième partie, dans laquelle nous montrerons, que le langage

conscience de quelque chose, afin de se rendre compte de soi. La conscience, en latin conscientia qui vient de scire, le savoir, un phénomène de savoir et de connaissance par lequel je suis capable de réfléchir. La connaissance qu’a l’homme de ses pensées, de ses sentiments et de ses actes. La conscience, par cette possibilité qu’elle a de faire retour sur elle-même est toujours également conscience de soi, c’est elle qui fait de l’homme un sujet, capable de penser le monde qui l’entoure. Une conscience

part. C’est que, en effet, si toutes mes pensées ne sont que des illusions, il y a nécessairement un sujet de l’illusion, quelque chose qui est illusionné. L’argument pourrait être le suivant : (1) l’illusion est une pensée (2) il y a donc quelque chose qui pense (3) il y a donc une chose pensante Ainsi : le doute débouche sur la certitude absolue, puisque plus je doute, plus je suis certain qu’il y a quelque chose qui doute, et donc, je suis une chose pensante. Remarque : la

savoir de l’auteur, de façon à reconstruire les « fondements » de ses pensées, afin d’ « établir quelque chose de ferme et de constant […] », celui-ci nous explique qu’ afin de parvenir à un système de pensée personnelle, nous devons entreprendre de remettre en cause toutes les opinions que l’on nous a inculquées dès l’enfance, et que nous prenons comme des vérités. Descartes cherchait un moyen d’atteindre la véritable pensée personnelle, mais avant cela, nous pourrions nous demander : Qu’est-ce