Je Suis Jean Valjean

Nous nous émouvons de leurs joies, leurs peurs ou de leurs amours. Nous tendons à penser que nous sommes aussi vaillant que Dartagnan des « Trois Mousquetaires » d'Alexandre Dumas. Nous nous éprouvons à vivre les rudes péripéties de la vie de « Jean Valjean », héros de Victor Hugo de l'œuvre « Les Misérables ». Nous nous déterminons autant que Betty Mahmoody, dans sa lutte pour retrouver sa fille (Jamais sans ma fille). Nous nous bouleversons des sentiments de la romance de « Léa », malgré le contexte

meurt de faim. La pitié est ressentie par le lecteur mais c’est surtout la révolte amenée par Prévert qui nous porte à réfléchir. De même, Victor Hugo dénonçait déjà dans Les Misérables la responsabilité de la société à travers le personnage de Jean Valjean qui a été condamné au bagne pour un vol de pain.

père Grandet, les tromperies , pour là aussi arriver à une ascension sociale et financière. En lisant le roman de Maupassant « Une vie » ou retrouve dans le personnage de Jeanne les rêves et les désillusions d’une fille de baron. Quand on a lu « les misérables » de Victor Hugo, le personnage principal qu’est Jean Valjean nous montre que l’homme n’est pas « si mauvais » et qu’en chaque être humain il existe une bonté et une capacité à s’améliorer. Ce roman est réaliste et nous amène dans un univers

diable, Garfield No Pasaran, le jeu, Christian Lehmann (fantastique) Malevil, Robert Merle Oh Boy !, Marie-Aude Murail La Grammaire est une chanson douce, E. Orsenna (Pratique si l’on veut comprendre quelle vie mènent les mots !) Papa-longues-jambes, Jean Webster, édition Folio junior • Les classiques qui serviront en troisième et au lycée ! XVIIIème siècle : (Pour les très bons lecteurs) - Jeannot et Colin : et autres contes philosophiques, Voltaire, édition Librio. Les Liaisons dangereuses, Choderlos

plus populaires de la littérature française, a donné lieu à de nombreuses adaptations au cinéma. Victor Hugo y décrit la vie de misérables dans Paris et la France provinciale du xixe siècle et s'attache plus particulièrement aux pas du bagnard Jean Valjean qui n'est pas sans rappeler le condamné à mort du Dernier Jour d'un condamné ou Claude Gueux. C'est un roman historique, social et philosophique dans lequel on retrouve les idéaux du romantisme et ceux de Victor Hugo concernant la nature humaine

un bon nombre de causes, aussi diverses et variées les unes que les autres (la liberté d'expression, l'instruction gratuite et obligatoire pour tous, l'abolition de l'escalvage, etc...). Enfin, les personnages sont les porte-parole d'Hugo. Jean Valjean, qui dès le début est emprisonné pour le vol d'un misérable pain, nous montre un jugement qui symbolise l'injustice de l'époque. Fantine représente la misère, qui est obligée de vendre ses dents afin de nourrir sa fille Cosette et de « vendre

écrivains font références, de façon plus ou moins explicite. Cela à fin de faire passer un certain message, ou de défendre son opinion sur le sujet traité. Dans Les Misérables de Victor Hugo, Cosette va incarner l’innocence, Thénardier le mal et Jean Valjean est la preuve que l’Homme peut devenir bon. Cela montre donc que chaque personnage à son importance, et ils permettent aux lecteurs d’avoir un aspect plus concret dans les romans qu’ils lisent. En plus de cela la plupart des auteurs Il est

l'auteur permet une proximité avec le lecteur mais pour s'identifier à un personnage de roman il faut que ce dernier soit un héros positif ou qu'il ait une histoire qui fasse écho à l'histoire personnelle du lecteur. Prenons tout d'abord l'exemple de Jean Valjean dans "Les Misérables" de Victor Hugo qui est un héros positif. Après avoir connu le bagne et avoir été méprisé, il se reconstruit et devient bon et charitable. Il sait être un père de substitution aimant pour Cosette et l'aide à construire sa

Chez Hugo, les mêmes éléments vont servir à mettre en place un peuple, qui, tout en étant pour l'essentiel, un peuple de la marginalité (avec le héros Jean Valjean, le bagnard ; quoi de plus marginal que le voleur condamné au bagne ?), va devenir porteur messianique d'une régénération possible de l'humanité. D'où la mort angélique de Jean Valjean, à la fin. Donc là, vous avez sur l'espace de 20-25 ans, une véritable mutation, qui est le premier aspect de la prise en charge du peuple dans le roman

( et par là je me distingue des pierres !) "La défiance a fait plus d’un voleur." De même que la confiance a fait plus d’un honnête homme : cf. dans Les Misérables, l’épisode de Jean Valjean a qui un prêtre donne les deux chandeliers que Jean avait d’abord volés, transformant ainsi l’acte, la personne et le destin de Jean qui n’avait connu jusqu’alors que la défiance, l’injustice et la misère infligées. Dans le même ordre d'idée, on peut tenir le discours des sciences humaines comme lui-même travaillé