Je Veux Mourir Pour Tes Beautés Maîtresse

Mais au moins dis-moi, cruelle, TIRCIS Si d'un peu d'amitié tu payeras mes vœux? DORILAS Si tu seras sensible à mon ardeur fidèle? CLIMÈNE ET DAPHNÉ Voilà Flore qui nous appelle. TIRCIS ET DORILAS 1 Ce n'est qu'un mot, un mot, un seul mot que je veux. TIRCIS Languirai-je toujours dans ma peine mortelle? DORILAS Puis-je espérer qu'un jour tu me rendras heureux? CLIMÈNE ET DAPHNÉ Voilà Flore qui nous appelle. ENTRÉE DE BALLET Toute la troupe des Bergers et des Bergères va se placer en cadence autour

mère, ta soeur ou ton frère? - Je n'ai ni père, ni mère, ni soeur, ni frère. - Tes amis? - Vous vous servez là d'une parole dont le sens m'est resté jusqu'à ce jour inconnu. - Ta patrie? - J'ignore sous quelle latitude elle est située. - La beauté? - Je l'aimerais volontiers, déesse et immortelle. - L'or? - Je le hais comme vous haïssez Dieu. - Eh! qu'aimes-tu donc, extraordinaire étranger? - J'aime les nuages... les nuages qui passent... là-bas... là-bas... les merveilleux nuages!" II

est sensée contenter l'art de plaire ou de flatter, laisse en javelle bien des souffrances. Mais elle rend compte aussi de la fascination que suscite l'amour : c'est une élégie, renouant avec le mythe d'Orphée et d'Eurydice, un hymne sensuel à la beauté, mais lourd de sous-entendus.Dans un premier temps, nous montrerons que ce dialogue met en scène un poète amoureux et transi, qui est déchiré entre des sentiments assez contradictoires : l'enthousiasme et la jubilation triste, la souffrance intense

mère, ta soeur ou ton frère ? – Je n’ai ni père, ni mère, ni soeur, ni frère. – Tes amis ? – Vous vous servez là d’une parole dont le sens m’est resté jusqu’à ce jour inconnu. – Ta patrie ? – J’ignore sous quelle latitude elle est située. – La beauté ? – Je l’aimerais volontiers, déesse et immortelle. – L’or ? – Je le hais comme vous haïssez Dieu. – Eh ! qu’aimes-tu donc, extraordinaire étranger ? – J’aime les nuages… les nuages qui passent… là-bas… là-bas… les merveilleux nuages ! » II

elle est d'une sagesse pure et possède un charme naturel. Nous pouvons remarquer qu'à la fin du film, lorsqu'elle rencontre le Vicomte de Valmont(93), elle porte une robe de couleur rose avec un décolleté comme si elle essayait de lui plaire. La beauté sans artifice de Michelle Pfeiffer ainsi que sa jeunesse conviennent au rôle de dévote de la présidente de Tourvel. Ses yeux bleus font ressembler la présidente à un ange. Concernant Cécile de Volanges(Uma Thurman) et le Chevalier Danceny(Keanu

soeur ou ton frère? -- Je n'ai ni père, ni mère, ni soeur, ni frère. -- Tes amis? -- Vous vous servez là d'une parole dont le sens m'est resté jusqu'à ce jour inconnu. -- Ta patrie? -- J'ignore sous quelle latitude elle est située. -- La beauté? -- Je l'aimerais volontiers, déesse et immortelle. -- L'or? -- Je le hais comme vous haïssez Dieu. -- Eh! qu'aimes-tu donc, extraordinaire étranger? -- J'aime les nuages... les nuages qui passent... là-bas... là-bas... les merveilleux nuages

mère, ta soeur ou ton frère? -- Je n'ai ni père, ni mère, ni soeur, ni frère. -- Tes amis? -- Vous vous servez là d'une parole dont le sens m'est resté jusqu'à ce jour inconnu. -- Ta patrie? -- J'ignore sous quelle latitude elle est située. -- La beauté? -- Je l'aimerais volontiers, déesse et immortelle. -- L'or? -- Je le hais comme vous haïssez Dieu. -- Eh! qu'aimes-tu donc, extraordinaire étranger? -- J'aime les nuages... les nuages qui passent... là-bas... là-bas... les merveilleux nuages!IILe

clair séjour, Tu as au dos l'aile bien empennée8? Là, est le bien que tout esprit désire, 10 Là, le repos où tout le monde aspire, Là, est l'amour, là, le plaisir encore. Là, ô mon âme au plus haut ciel guidée, Tu y pourras reconnaître l'Idée De la beauté, qu'en ce monde j'adore. Joachim Du BELLAY (1522-1560) L’Olive, s.113 Selon les Anciens, les songes quittent l’Au-delà en passant par une porte d’ivoire pour venir hanter les mortels 2 Je tenais serrés 3 Variété de gypse ou de marbre d’une blancheur

mécaniques et impassibles qu’on a depuis quelque temps substituées au système de cette éducation paternelle, et s’il est vrai qu’on y ait trouvé quelque avantage sous le rapport du mode d’enseignement, elles laisseront du moins regretter de hautes beautés morales et d’admirables exemples de charité. Galland n’avait pas atteint sa quatorzième année quand la mort frappa ses deux protecteurs à la fois. Ces vénérables prêtres ne lui laissèrent pour héritage qu’un peu de latin, de grec et d’hébreu, connaissances

40 XVI. Châtiment de l’Orgueil . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41 XVII. La Beauté . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 43 XVIII. L’Idéal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .44 XIX. La Géante . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .45 XX. Le Masque . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .46 XXI. Hymne à la Beauté . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .48 XXII. Parfum exotique . . . . .