Jean Aurenche

a Fontaine est connu pour ses reprises de fables de l'antiquité (les fables du grec Esope). Il puise donc son inspiration, sa matière dans les textes anciens et les fait redécouvrir aux lecteurs contemporains. Les Amours de Psyché est une œuvre publiée en 1669 qui reprend le mythe antique de la princesse Psyché (mythe qui nous est parvenu grâce aux Métamorphoses d'Apulée). Ainsi que La Fontaine l'explique dans sa préface : « Apulée me fournissait la matière, il ne restait que la forme ». Cette forme

Brouillon du Commentaire Jean Racine a été connu pour ces pièces de tragédies, un écrivain se caractérisant comme un des auteurs s’inspirant de l’antiquité grecs. Bref, celui-ci est l’auteur de cette pièce de tragédie classique dans son ensemble intitulé “Andromaque”, publié en 1667. Nous allons donc s’intéresser aux scènes 3 et 4 de l’acte V. Cette scène prend place dans la chambre à Hermione, en fait, c’est une sorte de querelle, de conversation entre Oreste (ambassadeur des grecs) et Hermione

Lecture analytique LA FONTAINE « le coche et la mouche » Fable inspirée de Phèdre (la mouche et la mule) « faire la mouche du coche » Comment LA FONTAINE parvient-t-il, dans un texte bref et amusant, à faire une satire de la société de son temps ? I/ L’art du récit A) construction de la fable Schéma narratif : Vers 1 à 5 : situation initiale (« dans un chemin ; femmes, moines, vieillards au soleil exposé » ) Effet d’attente vers 3 et 4 (verbe à la fin) Présent de narration

COMMENTAIRE COMPOSE Chap 5 : Pierre et Jean « Voilà, dit-elle, je l'ai retrouvé (…) où elle était autrefois » L'analyse que nous allons faire portera sur le chapitre IV du roman réaliste Pierre et Jean, écrit par Guy de Maupassant et qui est paru en 1888. Pierre mène une enquête qui lui fera comprendre que son frère, Jean, n'a pas le même père que lui mais est le fils de Maréchal, l'ami de la famille dont nous apprenons la mort en début de récit. Maupassant nous montre en détail comment un secret

comment les poètes utilisent les animaux, voire le symbolisme animalier en général dans le but de dénoncer les vices et les défauts des hommes, d'évoquer les amours perdues sur fond de guerre, les femmes.. Notre anthologie s'ouvrira sur une fable de Jean de la Fontaine intitulé « La grenouille qui voulait se faire aussi grosse que le bœuf » , Livre I - Fable 3 , parue en 1668. Nous poursuivrons notre étude avec « L’hirondelle au printemps cherche les vieilles tours », est un poème extrait du recueil

peuple hors des murs était déjà posté, La plupart s'en allaient chercher une autre terre, Quand Ménénius leur fit voir Qu'ils étaient aux membres semblables, Et par cet apologue, insigne entre les Fables, Les ramena dans leur devoir. Jean De La Fontaine * Moraliste * Désir de plaire Les Lumières Zadig Il y avait une grande querelle dans Babylone qui durait depuis quinze cents années,qui partageait l’empire en deux sectes opiniâtres : l’une prétendait qu’il ne fallait jamais

lorsque son feu les presse, Font bientôt vanité d'oublier leur promesse. » Extrait de Mélite. « Jamais nous ne goûtons de parfaite allégresse : Nos plus heureux succès sont mêlés de tristesse. » Extrait du Cid. B – Le théâtre de Racine Jean Racine né le 22 décembre 1639, et décède le 21 Avril 1699. Il était dramaturge, et historiographe du roi. Il travaillera essentiellement la tragédie. Il est considéré comme l'un des plus grands auteurs de tragédie de la période classique sous Louis

cesse, et qu’on n’observe point. Molière, quant à lui, écrit des hommes dans Tartuffe : “ La raison a pour eux des bornes trop petites ” ainsi que “ Et la plus noble chose, ils la gâtent souvent Pour la vouloir outrer et pousser trop avant ”. Jean Dion a également repris l’idée provenant de cette maxime, mais durant notre siècle dans ’ Le Devoir ‘ et a écrit ’ N'abusons de rien, sauf de la modération ‘, ce qui montre que durant tous les siècles et partout dans le monde des Hommes se sont penchés

* Anna de Noailles (1905) par Jean-Louis Forain, une des plus brillantes personnalités de ce que Forain appelait la « Comédie parisienne ». * Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord en habit de Grand chambellan (1807) par Prud'hon, portrait en pied du célèbre ministre. * La Fête de la Fédération par Pierre-Antoine Demachy. * Le Serment de La Fayette sur l'autel de la Patrie par un peintre anonyme. * Les Coulisses de l'Opéra (1889), par Jean Béraud, moins crue et colorée que la

Intro : Jean Bodin, né en 1529 à Angers Fils d’un tailleur, il reçoit, dans sa jeunesse, une formation au couvent des Carmes à Angers où il est reçu novice, puis à Paris, où il suit les cours de l’université et du Collège de France, s’imprégnant aussi bien de la scolastique médiévale que de l’humanisme de la Renaissance. En revanche, il semble certain qu’il ait étudié et enseigné le droit romain à l’université de Toulouse dans les années 1550. Il gagne Paris en 1561, alors que commence en France