Jean De Rotrou

les réécritures « Tout texte n’est jamais que l’empreinte d’un autre » Jean-Luc Hennig Depuis les origines de la littérature, les auteurs ont fait le constat que l’écriture est une réécriture. Que l’on lise L’Écclésiaste ou les Caractères de La Bruyère, la nouveauté semble illusoire, tout a déjà été écrit et l’homme ne fait que reprendre et réagencer les textes. On parle bien à ce titre de textes fondateurs (récits mythologiques et bibliques) pour évoquer ces pionniers des formes et des genres

français à Paris et dans les faubourgs. À son répertoire figurent Corneille, Molière et Racine, mais aussi Rotrou(Antigone), Scarron (Virgile travestie). Le 5 janvier 1681 les Comédiens-Français se lient entre eux par un acte d’association qui ne sera jamais remis en cause. La troupe réunit des comédiens fameux, tels que : Armande Béjart, Catherine De Brie, La Grange, Hubert, Du Croisy, Baron, Jeanne Beauval, Mlle Champmeslé – l’interprète favorite de Racine–, Poisson, etc. Un an plus tard, le 24 août

ce que reconnaissent les moliéristes eux-mêmes. L’autre raison plus essentielle que le manque d’inspiration (pendant la première moitié de la vie de Molière) et le manque de temps (pour la seconde moitié) : la situation professionnelle de Molière. Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, s’est toujours voulu un comédien. Or le métier d’un comédien est de jouer la comédie et non d’en écrire. Certes, rien n’empêche un comédien d’écrire, il y a quelques exemples, mais les comédiens-auteurs n’écrivent pas

sous l'égide de l'helléniste Jean Dorat, est de faire reculer le « Monstre Ignorance » par la diffusion de la culture antique. Le nom de « Pléiade » est emprunté à sept autres poètes d’Alexandrie qui avaient choisi, au IIIe siècle, le nom de cette constellation pour se désigner. Outre Ronsard, la Pléiade regroupe Joachim du Bellay, Jacques Pelletier du Mans, Rémy Belleau, Antoine de Baïf, Pontus de Tyard et Étienne Jodelle. À la mort de Jacques Pelletier du Mans, Jean Dorat prendra sa place au sein

Gustave Le Bon 1 Gustave Le Bon Gustave Le Bon, né le 7 mai 1841 à Nogent-le-Rotrou et mort le 13 décembre 1931 à Marnes-la-Coquette, est un anthropologue, psychologue social, sociologue. Polygraphe, il est l'auteur de nombreux ouvrages dans lesquels il aborde le désordre comportemental et la psychologie des foules. Il ne soutient pas la théorie d'une hiérarchisation des civilisations, consacrant au contraire un gros volume illustré à la « civilisation des arabes » qu'il avait en haute estime

surtout la poésie qui survit aujourd’hui . a) la poésie - Théodore Agrippa d’Aubigné : « Les Tragiques » (écrit entre 1577 et 1618 ). Ecrit caractérisé par le réalisme osé et la violence tour à tour dramatique , lyrique et satyrique . - Jean de Sponde fût connu pour l’écriture de ses sonnets marqués par un goût pour l’amour sui tempère toutefois sa hantise pour la mort ( vers 1570 ) . - Philippe Desportes a écrit de la poésie amoureuse maniériste , où abondent les figures de styles

Partiel Emilien PalmierLe premier document est une histoire ecclesiastique du XIIe siècle écrit par le moine Orderic Vital. Le second document s’appelle “Historia Gaufredi, ducis Normannorum et comitis Andegavorum" écrit par Jean de Marmoutier vers 1180. Le troisième document est une lettrine issue de l’Histoire du meutre de Charles le Bon par Galbert de Bruges (1127-1128). Le quatrième document est un fragment de fresque de la chapelle templière de Cressac qui date de la fin du XIIe siècle. Le

pierre Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, né à Paris, baptisé le 15 janvier 1622 en l'église Saint-Eustache, et mort le 17 février 1673 à Paris, est un dramaturge auteur de comédies, mais aussi un comédien et chef de troupe de théâtre français qui s'est illustré au début du règne de Louis XIV. Issu d'une famille de la riche bourgeoisie marchande parisienne son père tient une boutique de tapissier et il détient depuis 1631 la charge prestigieuse de « tapissier valet de chambre du Roi », Jean-Baptiste

m騁aphores et p駻iphrases sont nombreuses dans le theatre classique et n'ont pas toujours les m麥es sens cach駸 ou signification qu'aujourd'hui. Le langage utilisactuellement est beaucoup moins soutenu que celui du 17e si鐵le. Prenons a titre d'exemple Jean Racine 馗rivain tragique de pi鐵es tr鑚 connues jusqu'aujourd'hui qui initia le ｫlexique racinienｻ. La plupart des mots constituant ce lexique ne sont plus employ駸 ou ont de diff駻ents sens de nos jours. Ainsi l'騅olution du style du 17e si鐵le jusque nos

son essor : onze pièces nous sont parvenues de cette époque, dont près de la moitié viennent d'Arras[->38]. On ne connait les noms que de trois de leurs auteurs : Rutebeuf[->39], Adam de la Halle[->40] et Jean BodelHYPERLINK \l "cite_note-5"[6][->41]. Tous trois sont des jongleurs[7]. Si Jean Bodel, avec Le Jeu de saint Nicolas[->42] (1200 environ) et Rutebeuf avec Le Miracle de Théophile[->43] (1263-1264) inaugurent la vogue de l'adaptation pour la scène de la littérature hagiographique (genre