Jean Pic De La Mirandole François Rabelais

1913, D. R. Lors de sa publication en 1913, Alcools reçoit un accueil mitigé dans la presse et les revues littéraires. L’ensemble des critiques, bonnes ou mauvaises, souligne l’aspect déconcertant du recueil. Certains commentateurs (Paul Léautaud, Jean Pellerin, Henri Martineau…) louent son charme singulier et ses aspects novateurs. Au contraire, l’écrivain Georges Duhamel publie une virulente critique dans la revue Le Mercure de France le 15 juin 1913. En voici plusieurs extraits. « Rien ne fait

l'artiste et de l'œuvre d'art L'artiste est désormais considéré comme un ouvrier à part entière. Soutenu par de riches mécènes (princes, grands bourgeois ou puissants ecclésiastiques), il répond le plus souvent à une commande. En France, les règnes de François Ier et Henri II permettent l'ouverture de chantiers royaux qui représentent près du tiers des dépenses publiques. 2. La représentation des sujets profanes L'homme est désormais un sujet digne d'étude : les artistes ne s'interdisent plus la

et des qualités attendues ; d’où le recours aux recommandations (Cf. question de grammaire). 2. La forme adoptée est celle de la conversation (Cf.  marques de l’énonciation) ou du « dialogue » dans la tradition cicéronienne. Texte écho – Jean Pic de La Mirandole, De la dignité de l’homme (1496) p. 413 (L/ES/S) OBJECTIFS ET ENJEUX – Étudier la place de l’homme dans la nature ou l’univers. – Analyser les caractéristiques d’une apologie de la « dignité » humaine. 5 2210441163_001-035_Ch5_LDP_Fr1

Renaissance et humanisme. Activités E  groupement de textes Un E  œuvre intégrale (extraits) Un Sommaire Introduction 1. La critique de la société 2. L’éducation 3. L’éloge de la beauté 4. Aspects de l’humanisme dans Gargantua de Rabelais Séquence 7 – FR10 1 © Cned – Académie en ligne I ntroduction Présentation des objectifs et de la problématique de la séquence Cet objet d’étude est réservé aux premières littéraires. Pourquoi étudier particulièrement ce mouvement

l'artiste et de l'œuvre d'art L'artiste est désormais considéré comme un ouvrier à part entière. Soutenu par de riches mécènes (princes, grands bourgeois ou puissants ecclésiastiques), il répond le plus souvent à une commande. En France, les règnes de François I er et Henri II permettent l'ouverture de chantiers royaux qui représentent près du tiers des dépenses publiques. 2. La représentation des sujets profanes L'homme est désormais un sujet digne d'étude : les artistes ne s'interdisent plus la

faire ils ont besoin de laine et vu leur grande taille, des milliers de moutons sont mis à contributions pour fournir le matériau et de kilomètres de tissu (le Gargantua populaire par exemple : antérieur à celui de Rabelais, il faisait partie de la littérature de colportage. Rabelais les a ressemblés leur a donné une réflexion et une prétention littéraire en 1532). ( Ce que nous avons examiné pour le moment appartient aux traditions populaires, au folklore. On ne peut pas considérer ces éléments

littéraire, mais son application n'est pas sans poser certains problèmes. Le massif romanesque du XIXe siècle, tel qu'on en découvre en 1978 le panorama, avec ses trois sommets neigeux : Balzac – Stendhal – Flaubert, et, un peu inférieur en altitude, le pic Zola, n'avait pas tout à fait, au temps de mes études, la même configuration (Stendhal n'y prenait place que pour les yeux exercés, et Daudet y figurait presque). Il n'est pas impossible, loin de là, qu'il change encore sensiblement d'aspect dans les

les ambassadeurs étrangers, ou les hommes qui accompagnent leurs souverains en Italie, ne manquent pas de décrire ce qu’ils y voient (ex. Commynes), et se joignent sur place aux groupes humanistes (ex Lazare de Baï f, ou Jean du Bellay, qui emmène avec lui à Rome Rabelais et son neveu Joachim, le poète). La pratique, traditionnelle, des « cadeaux diplomatiques » joue au XVIe siècle son rôle dans la diffusion d’objets italiens réputés, tels que armes, armures, médailles, livres et oeuvres d’art

regroupait un certain nb de savants et d’érudits et dont le but était de favoriser les échanges d’idées. Au seizième siècle l’Humanisme s’épanouit hors de l’Italie, notamment sous l’impulsion de personnalités comme Erasme ou Thomas More et en France Rabelais, Du Bellay et Montaigne. Ces humanistes viennent d’horizons assez divers : juristes, enseignants, homme d’Etat, médecins… Grande diversité de provenance. Toutefois ils appartiennent à des milieux sociaux assez homogènes, ils sont tous issus des classes

De gauche à droite et de haut en bas : 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. 13. 14. 15. 16. 17. 18. Michel de Montaigne Jean-Baptiste Poquelin dit Molière Madame de Sévigné Voltaire Denis Diderot Jean-Jacques Rousseau François-René de Chateaubriand Honoré de Balzac Victor Hugo Charles Baudelaire George Sand Arthur Rimbaud Marcel Proust Albert Camus Nathalie Sarraute Jean-Paul Sartre Marguerite Duras Patrick Modiano Pour les Nuls est une marque déposée de Wiley Publishing, Inc. For Dummies est