Jeanne d'Arc

possessions françaises : conquête de la riche Normandie contre Richard Cœur de Lion (à l'issue du terrible siècle de Château Gaillard, en 1204, le dernier cas d'anthropophagie attesté en France), victoire de Bouvines en 1214 contre l'empereur Germanique et Jean Sans Terre, grâce au soutien des milices bourgeoises des villes de Picardie, première émergence du sentiment national français selon certains historiens (mais cette victoire est ignorée au sud de la Loire). A l'issue de son règne, Philippe II (consacré

Candide de Voltaire, se nomme « L'Eldorado ». L'auteur présente Candide et son ami Cacambo découvrant une cité où la grandeur et le luxe règne et où il a l'air de faire bon vivre. Enfin, le dernier document est une photographie de la saline royale d'Arc-et-Senans, précédée d'une brève description qui nous informe sur cette dernière : Cet ouvrage fut conçu pour un travail organisé de manière rationnelle et hiérarchisée, et qui devait être suivie de l'édification d'une cité idéale. Voyons quels sont

Point de vue : Le sauvage n’est pas présenté de la même manière dans les deux textes. Argument 1 : D’un point de vue, les sauvages sont présentés de la même manière dans les deux textes : ils ne sont pas montrés comme étant sauvages, mais plutôt pacifistes. S.a. 1 : Dans le texte Voyages en Nouvelle-France, le capitaine des Sauvages est désireux de régler ses problèmes avec les français par la discussion. S.a. 2 : Dans Dialogues de Monsieur le baron de Lahontan et d’un sauvage dans

Textes: Les Récits de voyage (p.17) de Cartier et les Dialogues de Monsieur le baron de Lahontan et d’un Sauvage dans l’Amérique (p.22-23) de Lahontan Question : Est-ce que le thème de la confrontation est développé de la même manière dans les Récits de voyage (p.17) de Cartier et dans les Dialogues de Monsieur le baron de Lahontan et d’un Sauvage dans l’Amérique (p.22-23) de Lahontan? Point de vue critique : Non, malgré que dans les deux textes, il est bel et bien sujet d’une confrontation

Étape 1 : Plan comparatif du développement Point de vue : Non, on ne peut pas dire que Cartier et Lahontan décrivent les sauvages de la même façon dans leurs textes. Argument principal 1       Pour débuter, selon Cartier, les Amérindiens ne sont que des sauvages avec peu de mérite. Ils les considèrent comme des êtres inférieurs à sa culture. De ce fait, ils perdent leurs identités, leurs mœurs et leurs bagages culturels aux profits des Européens. Sous-argument 1.1 Sous-argument 1.2      

Étape 1 : Plan comparatif du développement Point de vue : Malgré le fait que bien des années distancent l'écriture de ces deux textes, je crois que oui au fond le sauvage est présenté de la même manière. Un être plutôt sans civilité, naïf, libre de faire ce qu'il veut, quand il le veut et où il le veut. Quant au Français, ils sont présentés comme des gens plutôt matérialistes et assez vaniteux de leur personne. |Argument principal 1

Nouvelle-France" (1534), le colonisateur qu'incarne Cartier, impose sa force, sa religion et son peuple aux Amérindiens par des offrandes et des promesses, alors que, dans "Dialogue de monsieur Lahontan et d'un Sauvage dans l'Amérique"(1703), Louis D'Arce de Lahontan dans l'esprit du siècle des Lumières et par des descriptions ethnographiques, topologiques en comparaisons à ce nouveau peuple, dénonce la faiblesse de la société occidentale.

Étape 1 : Plan comparatif du développement Point de vue : Non, le sauvage n’est pas traité de manière semblable dans les deux textes. |Argument principal 1 | |À première vue, le sauvage est traité de façon similaire dans les deux textes, soit celui de Jacques Cartier et du baron de Lahontan, | |puisque le sauvage est peu habillé.

Étape 1 : Plan comparatif du développement Point de vue : Dans les textes de Cartier et de Lahontan, les Français ne sont pas présentés de la même façon. |Argument principal 1 | |     D’un côté, dans les deux textes, les Français sont présentés de la même manière. La population française souligne sa supériorité par | |sa richesse.

l’introduction      La découverte de la Nouvelle-France a été au coeur d’énormément de mystères en ce qui concerne les relations qu’avaient les nouveaux arrivants français avec les Amérindiens de l’époque. Jacques Cartier, explorateur, et Louis-Armand de Lom d’Arce de Lahontan, auteur avant-gardiste, font connaître les détails de la rivalité entre les deux peuples à travers leurs récits d’expéditions. Sous leurs plumes franches et directes, les deux auteurs décrivent le « sauvage » de manière péjorative, bien