Jeremy Bentham

propriété privé? La majorité de nos lois sont basées sur le l’idée de propriété privé. Ce qu’on peut ou ne pas faire selon que nous possédions ou non un objet. L’instrument utilitaire pour atteindre des fins concrètes? Utilitarisme – Jeremy Bentham (1748-1832) offre la première présentation systématique (voir aussi philosophe John Stuart Mills (1806-1873). Le droit sert à régler des problèmes concrets et n’est pas étudié pour ses principes plus anthropologiques. Est bon ce qui est utile;

téléréalité devient de plus en plus présente de nos jours. Le phénomène de la téléréalité s’explique tout d’abord avec ce qu’on appelle le Panopticon inversé. A l’origine, Le Panopticon est un type d'architecturecarcérale imaginée par le philosophe Jeremy Bentham en 1787. L'objectif du Panopticon est de permettre à un gardien, logé dans une tour centrale, d'observer tous les prisonniers, enfermés dans des cellules individuelles autour de la tour, sans que ceux-ci puissent savoir s'ils sont observés. Ce

souffre, et l'intérêt à ne pas souffrir est le même quel que soit l'être concerné. L'égalité de l'intérêt à ne pas souffrir amena des philosophes à proposer l'établissement d'une égalité du droit à ne pas souffrir. Cette idée n'est pas récente, Jeremy Bentham écrivait déjà en 1780: Les français ont déjà réalisé que la peau foncée n'est pas une raison pour abandonner sans recours un être humain aux caprices d'un persécuteur. Peut-être finira-t-on un jour par s'apercevoir que le nombre de jambes, la

Toutefois, deux périodes sont à distinguer pour comprendre comment le courant utilitariste s’est emparé de la problématique de la pauvreté : la première est la période fondatrice de l’utilitarisme historique avec des auteurs comme J. Bentham (1748-1832), J.S. Mill (1806-1873) ou Sidgwick (1838-1900). En rejetant une partie de la philosophie morale utilitariste, le néo-classicisme économique, fondé à partir de l’utilité marginale, débouchera sur une nouvelle branche de la théorie

cessera un jour de marteler le visage de l'homme, et l'esprit de liberté brûle avec tant de force dans sa poitrine qu'aucun lavage de cerveau, aucun totalitarisme ne peuvent l'étouffer. Murray Rothbard • Toute loi porte atteinte à la liberté. Jeremy Bentham • Le concept : liberté, est un concept sociologique. Il est stupide de l'appliquer à des situations qui se trouvent en dehors de la formation sociale. (...) Nous n'avons pas affaire ici au problème de la liberté intérieure, associée à la naissance

cui il gatto concede al topo ancora tempo e ancora spazio che si manifesta il potere del gatto. Il topo va tenuto sotto stretta sorveglianza,lo sguardo ancora genera l ombra del potere entro la quale il topo vive. PANOPTICON, SYNOPTICON Jeremy Bentham (utopia) I controllori devono tenere i controllati il più possibile sotto gli occhi,poichè nn si può tenere i controllatisempre sotto sorveglianza bisogna far in modo che questi pensino di esserlo continuamente. La casa di sorveglianza

Séance 4 : La codification Jeremy BENTHAM, un anglais, a crée le mot « codification ». Ce mot vient de codex, qui était un assemblement de différents textes, afin de ne pas les éparpiller. 1. LA CODIFICATION NAPOLÉONIENNE. DOC 1. PORTALIS, DISCOURS PRELIMINAIRE SUR LE PROJET DU CODE CIVIL (1801) Idées : Les lois sont faites pour les hommes, elles doivent s'adapter à lui, et non l'inverse. Législation : Il faut être sobre en matière de lois, car si elles paraissent avantageuses sur

l’instrumentalisation de l’animal à un haut niveau. S’il on adopte cette conception, on peut donc faire n’importe quoi sur les animaux. A l’opposé, on trouve l’utilitarisme avec Jeremy Bentham, qui définit le plaisir comme l’absence de douleur. On peut le concevoir dans un premier temps comme le bonheur dans la société humaine, mais Bentham a été un peu plus loin en disant que si un animal est capable de souffrir, et que l’utilitarisme cherche avant tout à supprimer cette souffrance, on doit prendre en compte

atteinte de cet idéal et de son optimiste croyance au bon vouloir des libertés humaines. C'est en ce même sens que Rabelais gravait à l'entrée de l'abbaye de Thélème l'impératif « Fais ce que voudras ». Utopique ? De quel bonheur est-il question ? Jeremy Bentham affirme en 1789 que le travail du législateur est d'associer la recherche du bonheur au principe économique de l'utilité, premier motif de la conduite humaine car « le plus grand bonheur pour le plus grand nombre est la mesure du juste et de l'injuste

différents pays européens, pour voir de quelle manière les personnes étaient privées de liberté dans l’attente de leur jugement. A la fin du XVIIIième siècle en 1787 il va publier ses observations qui seront reprises. Un de ces disciplines Jérémy Bentham va poursuivre la réflexion relative au système pénitentiaire. De la même manière il va parcourir un certain nombre de pays à l’occasion desquels il visitera bon nombre d’établissement pénitentiaire, il va mener une réflexion originale puisque