Jérôme Bosch

la forme des retables, notamment celui d'Issenheim de Matthias GRÜNEWALD, où encore « La bataille de San Romano » de Paolo UCCELLO, et aussi « Nachtmahr « (le cauchemar) peint par Johann Heinrich FÜSSLI, et peut-être « Le Jugement Dernier » de Jérôme Bosch. On retrouve d'autres tableaux tel que « Le cri » d'Edvard Munch et « Elephant célèbes » de Max Ernst. « Der Krieg » montre une image repoussante de la guerre, donc de la mort. Otto Dix a voulu, par le biais de ce tableau, dénoncé la propagande

éveiller la curiosité dans tous les domaines pour comprendre le monde et pour et être capable de réfléchir par soi-même. Erasme publie des manuels de savoir-vivre pour les enfants. Castiglione fait un manuel de politesse à destination des courtisans. Jérôme Budet publie un manuel destiné au roi de France, François 1er. Les humanistes critiquent l'éducation médiévale, considérant la culture générale comme très insuffisante. C) La diffusion de l'Humanisme : La révolution de l'imprimerie en 1454 par Gutenberg

dissimuler en montrant la beauté. C'est ce qu'on appelle la morale. Il n'empêche que l'artiste va laisser quelquefois paraître ce désespoir. Il existe aussi une autre conception du métier. En effet, il s'agit aussi de témoigner et de rendre compte. Jérôme Bosch suit cette conception. Dans ces peintures, il montre un monde changeant dans plusieurs domaines comme l'économie et les relations sociales, un monde où Dieu a perdu de l'importance, un monde où l'argent a de plus en plus d'importance. L’expressionnisme

Hans Memling, laisse une importante production ou la virtuosité technique l’emporte sur le caractère sous-jacent de ses sujets, contrairement à van Eyck. Mais le plus énigmatique des peintres de la renaissance flamande reste sans aucun doute Jérôme Bosch dont une grande partie de son oeuvre est constituée d'images hors du commun dans lesquelles l'imagination débordante du peintre vient se mélanger à un langage métaphorique, mystérieux et occulte. Marqué par le contexte d'austérité religieuse qui

mains, les seins, ses entrailles qui s’échappaient ») [figure de style appelée hypotypose : le spectateur a l’impression de voir la scène se dérouler devant lui ]→ suggère une vision d’horreur. On se croirait dans l’enfer peint par Jérôme Bosch (voir un tableau de Bosch) - Des passages au discours direct : lignes 247-248 → fait parler les personnages comme s’ils étaient devant nous : « tiens et si on essayait le tranchant de nos armes » - Il cherche à émouvoir : Registre pathétique : didascalie ligne

se mue en philosophe-prophète d’un anéantissement de la civilisation occidentale. Il apparaît comme l’héritier de celle-ci au travers des multiples références avec lesquelles il ponctue son œuvre, références aux maîtres de la peinture européenne (Bosch, Breughel, Ensor) mais aussi aux textes bibliques et mythologiques dont il a été nourri (l’Apocalypse). On comprend combien pour lui l’issue ne faisait pas de doute. Pour une analyse des différents éléments du tableau, voir fiche 3 IV Pistes

développement d’un grand centre culturel et artistique. C’est en faisant son apprentissage à Anvers chez Pieter Coeck van Aelst et en travaillant chez l’éditeur d’estampes Jérôme Cock, que Bruegel fera ses premiers pas et, surtout, fera connaissance des travaux des autres peintres contemporains ou du passé, comme Jérôme Bosch, mort en 1516, dont les tableaux influenceront l’œuvre de Bruegel. Bruegel vit à une époque très complexe dans la vie des Pays-Bas. En effet, Si Charles Quint est perçu

d'une théorie l'art dont le mouvement romantique donnera les exemples paradigmatiques. L'importance de l'observation de règles passe alors au second plan tandis que l'intention de l'artiste, qui vise nos sens et nos émotions, devient primordiale. Jérôme Bosch, Kruisdraging (détail). Mais le XXe siècle, par ses pratiques et ses idéologies, remet en question tout ce qui avait pu être retenu au siècle précédent. Il conteste en particulier l'existence d'une essence de l'art qui se retrouverait à travers

envisager de ne plus réaliser de film. Cette période influence la noirceur de son film suivant :Antichrist, mélange de drame psychologique et de film d'horreur à l'imagerie gothique. Les visions hallucinatoires qu'il y expose s'inspirent de tableaux de Jérôme Bosch et de séquences du classique scandinave La Sorcellerie à travers les âges (Häxan) de Benjamin Christensen8. Ce film, très controversé8, est tourné en anglais avec Willem Dafoe etCharlotte Gainsbourg, récompensée par le Prix d'interprétation féminine au Festival

figurative, est imposante : 204 cm x 204 cm pour le panneau central, 204 cm x 102 cm pour les panneaux latéraux et 69 cm x 204 cm pour la prédelle. La technique de la tempera sur bois, employée par Dix pour ce triptyque, rappelle celle des anciens comme Jérôme Bosch dans le « Jugement Dernier ». Otto Dix détourne la fonction initiale du triptyque. Malgré les techniques utilisées (tempera sur bois comme au Moyen Âge), on constate que « La Guerre » ne présente aucune connotation religieuse : le thème des tranchées