Jeu de mots

elle mène astucieusement un jeu de mot subtile. La périphrase « un fort méchant plat » avec laquelle elle désigne Cléon, renvoie au reproche qu’elle lui fait de se servir de sa cuisine pour se faire un mérite. Elle emploie également un jeu de mot à la ligne 11 en affirmant : « c’est à sa table à qui l’on rend visite ». Evidemment, la phrase est à prendre au second degré. Ici, « la table » désigne ses plats, sa cuisine puisqu’on ne rend pas visite à une table. Ce petit jeu de mot peut faire sourire

L’aspect déroutant et inattendu exprimé par les différents jeux de mots dans l’Ecume des Jours de Boris Vian. I) Résumé : Le personnage principal est Colin, il est riche et n’a pas besoin de travailler ; un ami nommé Chick, qui ne dispose pas de cette chance, étant ingénieur, est très pauvre. Le troisième personnage masculin est le cuisinier de Colin, Nicolas. Ce dernier tombera amoureux d'Isis, une amie de Colin. Un jour, Chick fait la connaissance d'une fille, Alise, qui est parente de Nicolas

l'inattendu de cette chute ; mais surtout, par ce procédé, il crée un lien direct entre l'art, la poésie, svt représentée comme une beauté abstraite, et des considérations extrêmement matérielles → le fait de ne pas avoir de manteau chaud. Avec ce jeu (comique) sur les mots, le thème de l'épître est annoncé. v.3 : … et se voit tt de suite appuyé par le terme de « pitié » au V.3 qui souligne la dimension non uniquement comique de la situation décrite, mais aussi pathétique. (Marot dénonce dans une certaine

le comique, et enfin dans une troisieme et derniere partie une critique sociale, lecon morale et politique. I] La mise en abymes Pièce dans la pèce : les deux valets font jouer une scene de marivaudage (= scene de déclaration d'amour) 1) Le jeu en abyme Les deux valets plantent le décors : sièges, mouvements, mise en scène. Dénonciation de l'expace scénique : ils font reculer les spectateurs : les maitres. Une unique réplique d'Iphicrate : tutoiement. Noms, habits, armes ont changé mais

charrue, Dioclétien plantant ses choux, et les empereurs de la Chine inaugurant l’année par des semailles » = Discours appuyé sur des connaissances littéraires et historiques très éloignées de la réalité normande. Les séries de phrases nominales ou de mots isolés contribuent à donner un aspect très concret à cet ensemble de propos. De son côté, le discours de Rodolphe a aussi ses caractéristiques, qui le rendent assez proche de celui du président du jury : « Rodolphe, avec madame Bovary, causait

Le narrateur est extérieur à l’histoire, mais fait une focalisation sur Fabrice. C’est un narrateur heterodiégétique et extradiégétique ; il ne fait pas partie des personnages et il est le premier à raconter l’histoire. Le narrateur fait un jeu de mots avec le mot « héros » : héros en tant qu’héroïque et héros en tant que le personnage principal de l’histoire. Il met Fabrice a distance, mais éprouve également une sympathie envers lui : il met en valeur le comportement inadéquat de Fabrice :

souffrance de l'amour en utilisant le registre élégiaque. De pluus, Pierre Marbeuf joue avec les mots tel que « aimer » est visuellement proche d'« amer » et d'« amour » ou encore comme « Amer » possède les mêmes sons que « la mer » ou « la mère ». Mais il joue également sur le sens des phrases comme « la mer est amère » ici le poète fait allusion au sel de la mer, mais les larmes sont aussi salées. Grâce a ce jeu de mot, l'auteur met en avant la souffrance. Appollinaire Il s'agit d'un calligramme

Figures de styles I. Les figures de mots Allitération : répétition de consonnes. Assonence : répétition de diphtongues ou voyelles. Homeotelete : mots qui finissent par le même son. Paromamase : mots qui se ressemblent beaucoup. Annagramme : on compose un mot avec les lettres de l'autre. Contrepétrie : jeux de mots dans lequel on intervertie les lettre ou syllabes. Dérivation : utiliser dans une phrase des mots du même radical. Archaïsme : on emploi un mot ancien. Véologisme : creer un

Le second procédé comique que nous étudierons sera le comique de paroles, ou de mots . Les auteurs de théâtre, de comédies usent et abusent de la langue française, pour faire de cette langue un vrai jeu de mots. Ils jouent sur les mots, sur les sons , sur la langue, sur les répétitions afin de provoquer le rire de l’interlocuteur. Beckett nous fournit durant toute son œuvre une quantité impressionnante de comique de mots . Pour illustrer ce comique , nous allons étudier la suite de la scène de la « puce »

burlesque (Charlie Chaplin ou Buster Keaton) par la mécanique des corps ou son excentricité, ainsi que la succession sans enchaînement nécessaire de brefs épisodes comiques qui s’apparente au «gag» : • Didascalie initiale : aller-retour de Clov, jeu avec l’échelle. Une mécanique des corps qui évoque le cinéma burlesque : Charlie Chaplin ou Buster Keaton. • Clov se grattant « le bas-ventre des deux mains » (p. 48) puis renversant toute la poudre insecticide dans son pantalon ... (p. 49). • «