Jeu Du Paraitre

personnages jouent les hypocrites pour éviter de susciter la crainte chez l’autre, mais leur vrai caractère finit par ressortir au bout d’un certain temps et fait donc monter la peur. On peut donc se demander comment les personnages arrivent à cacher leur jeu et à quels moments se dévoilent-ils ? Nous verrons donc dans un premier temps le fait que certains personnages jouent un rôle et dans un second temps leur vrai nature qui fait d’eux des bêtes à craindre. I° L’hypocrisie de chacun a) Firmin Firmin

de la confidence, cette lettre denonce t'elle la société du 18e siecle ? I – Une lettre confidence A – Les marques de l'epistolaire B – Une abscence d'education C – Une éducation particuliere II – Une société hypocrite A – L'art du paraître B – Une comédienne talentueuse C – Une libertine I – Une lettre confidence A – Les marques de l'epistolaire Date finale : indice de la lettre Absence d'année : voloté de placer dans un siecle et non une periode demonstratif:situation

grands gants et une belle robe. D’apparence, cela ressemble tout à fait à la scène de confidence, scène de prédilection dans les tragédies, citons par exemple Acte I, scène 4 du Phèdre de Racine où Phèdre se confie à Oenone. Le lecteur lui voit le jeu des deux sœurs mais pas le spectateur qui se trouve alors face à une scène tout à fait traditionnelle de la tragédie classique. De plus, la règle de l’unité de temps est elle aussi respectée : le déroulement de la pièce dure moins de douze heures, environ

tout tourne autour d'elle, elle est au centre de la scène, au coeur des regards, au coeur du récit. Champ lexical du regard : 1er vecteur de l'amour > 1er sens intervenant dans le coup de foudre. 2) Une pause intense dans le récit Temps verbaux : jeu entre le passé simple et l'imparfait = focalisation sur un court instant = le moment de la rencontre = PAUSE dans le récit, qui apparaît comme un long temps flottant. Ralentissement à la fin : « lentement » « retardais mes pas » pour faire durer le

les sentiments des comédiens en révolutionnant le jeu de l'acteur. Comme il le dit " Un comédien a le droit de tourner le dos à la scène mais aussi de se taire ", c'est-à-dire prendre des attitudes qui expriment des sentiments. " Ce n'est pas des mots que je veux remporter du théâtre mais des impressions " écrit-il de la poésie dramatique. On exigera donc beaucoup plus du comédien qu'auparavant grâce à lui. Naturalisme: Il devient un style de jeu "faussement naturel Paradoxe sur le comédien est

qui commence par ces quatre premiers vers : Au personnage de l’âne, il substitue le singe, animal également familier de la Fontaine, tandis qu’il remplace la peau du lion par celle du tigre. On retrouve les thèmes communs du déguisement, du paraître.    ▪ animalité et humanité, le discours et les « rugissements », le « grincement des dents », « l’antre entouré de carnage » ( la cour )     ▪ à rapprocher de deux fables de la Fontaine : "Le Loup devenu berger " ( III, 3 ) "L'Âne vêtu

Marivaux : le jeu de l amour et du hazard Acte I scene I L'amour ne rentre pas pour l'instant dans les intention de S.Elle n'imagine pas qu'un mariage puisse réussir. Lisette ne pert pas prise , elle enchaine les arguments , elle tente de la convaincre par tous les moyens de la chance qu elle a “ Ma foi , Madame”. Lisette souhaite preparer l'arrivée de Dorante ( scene V ) . Le langage de L. Se distangue de celui de S. Avec un langage moins tranché. S. s'oppose aux “ on dit que “ . Contre

théâtrale (p.18) Le théâtre Extrait n°1 : Les Fausses Confidences (1737) de Marivaux Problématique : Quelles sont les fonctions de la mise en abyme I. la mise en abyme sert le comique ARAMINTE * Décalage entre ses sentiments et ce qu’elle laisse paraître (l.19)j’augurais beaucoup de ce mariage avec Marton ; je croyais qu’il m’oublierait… (l.17) Eh ! tant pis (alors que Dubois vient de lui dépeindre l’état lamentable dans lequel la passion semble jeter Dorante ce qui fait plaisir à Araminte) * Les

réalité sont feintes et servent la stratégie des personnages et évidemment la pièce en elle-même. On compte donc trois niveaux de jeu différents. L’espace scénographique est l’une des clés principale pour les comprendre. Dans un premier temps, la pièce se déroule sur un décor de plateau de chaîne télévisée, nommé NéronTV. C’est le second niveau de jeu . La salle n’est pas face à une reconstitution d’écran, mais bien à un dispositif de tournage complètement assumé

comédie à Dorante pour le pousser aux aveux et il est son complice. Une mise en abîme(= forme qui contient en elle-même cette forme. Ici, une scène de comédie s’invite dans une pièce comique) est alors observable. Le double jeu se poursuit tout au long de la scène et ce grâce aux apartés . Nous découvrons une Araminte sévère et implacable. Araminte joue ici de son autorité de maîtresse vis-à-vis de Dorante : c’est en qualité de maîtresse qu’elle