Jeu Et Réalité Winnicott

Le développement de tout être humain commence à se construire, physiquement, biologiquement et dans une certaine mesure psychologiquement bien avant la naissance. La venue d’un enfant s’inscrit dans une triple réalité : le réel, l’imaginaire et le symbolique. Le réel : c’est la réalité biologique de l’enfant qui grandit dans le ventre de sa mère L’imaginaire : L’enfant préexiste dans l’imaginaire familial (parents, grands parents…) la plupart du temps comme enfant idéalisé. Le symbolique : l’ordre

-Introduction. -Illustration du propos. I. Etymologie et culture du jeu. A. Définition et étymologie du jeu. B. Culture et complexité du jeu. C. Pourquoi le jeu. II. Enjeux de l'espace public. A. Définition espace public. B. Problématique de l'espace publique. C. Jeu et espace public, une ouverture sur le possible. III. Quels types de jeu, quelles règles ? -Introduction. A. Indissociables et Opposés. B. L'observateur/spectateur/participant. C. Play

possible moi : il grandit grâce à la réalité ext (il apprend des csq du ça). Petite partie de l'incs, c'est le siège de la personnalité surmoi : rôle de censure. C'est le moi qui trouve des compromis entre le principe de plaisir (ça) et de réalité (surmoi). Winnicott Objet transitionnel : fire le lien entre mère & enfant quand il y a sépara°. Objet utilisé par l'enfant à partir de 4 mois pour représenter figure rassurante. Pour rassurer, consoler. D'après Winnicott, obj transitionnel pour lutter contre

présente pas de troubles appartenant à cette catégorie. 4/ Troubles de la pensée Lors des entretiens auquel j’ai pu assister, notre sujet ne présente pas de troubles formels, ni du contenu de la pensée : son discours est clair et ancré dans la réalité, dénué de fausseté de jugement. Cependant, lors de son suivi antérieur avec le psychiatre, il aurait eu plusieurs décompensations psychotiques, se manifestant par un discours décousu, des rires immotivés et des manifestations délirantes sur un mode

s’étayent sur les pulsions d’autoconservation. J. Bowlby déplore également l’impasse faite par S. Freud sur la sensorialité et la sensibilité du nourrisson au contact de son entourage. J. Bowlby revient sur l’idée d’un lien social premier. D.W. Winnicott soutient lui aussi l’hypothèse qu’un environnement « suffisamment bon » est nécessaire au développement de l’enfant. Il part du principe qu’« un bébé seul n’existe pas » (De la pédiatrie à la psychanalyse, 1958). Plus la mère parvient à s’ajuster

personnalité, le réservoir de l’énergie psychique. Ses contenus sont inconscients. Il obéit au principe de plaisir. Il entre en conflit avec le Moi et le Surmoi.   - Le Moi C’est le médiateur entre : les exigences pulsionnelles du çà, les contraintes de la réalité, les exigences du Surmoi. Il est chargé des intérêts de la totalité du sujet. Il assure la stabilité et l’identité de la personne. Il doit préserver son autonomie. Il est chargé de la lutte contre l’angoisse liée aux conflits, par les mécanismes de

personnalité, le réservoir de l’énergie psychique. Ses contenus sont inconscients. Il obéit au principe de plaisir. Il entre en conflit avec le Moi et le Surmoi. - Le Moi C’est le médiateur entre : les exigences pulsionnelles du çà, les contraintes de la réalité, les exigences du Surmoi. Il est chargé des intérêts de la totalité du sujet. Il assure la stabilité et l’identité de la personne. Il doit préserver son autonomie. Il est chargé de la lutte contre l’angoisse liée aux conflits, par les mécanismes de

| | - Le Moi | |C’est le médiateur entre : les exigences pulsionnelles du çà, les contraintes de la réalité, les exigences du Surmoi. Il est chargé des | |intérêts de la totalité du sujet. Il assure la stabilité et l’identité de la personne. Il doit préserver son autonomie. | |Il est chargé de la lutte contre l’angoisse liée

sérieux qui désiraient l’épouser au départ, mais à un moment il y a un blocage, elle n’arrive pas à aller plus loin dans la relation. En fait, elle sent qu’elle ne réussit pas à maintenir l’intérêt de l’homme dans la durée, parce qu’elle n’aime pas le jeu de séduction. Un jour, alors que son cousin lui avait présenté sa fiancée, elle arrive en disant : « Si c’est ça être une femme ce n’est pas moi... Elle n’est même pas jolie, mais elle a su être une femme et lui plaire. » J’interviens pour lui reformuler

présente différemment en fonction du sexe : les hommes vont être plus attirés par le fait d’assurer sa descendance, tandis que les femmes vont être plus imprégnées du désir d’accomplissement. D’autre raisons, plus névrotiques, peuvent également entrer en jeu : la volonté de poursuivre son propre destin, pour servir d’enfant à quelqu’un d’autre (souvent de la famille de la personne), . . .Ces raisons relèvent souvent de mécanismes inconscients La conception affirmant que « La vie de l’enfant commence à la