John Locke Démocratie

de se faire obéir et de décider, peut se présenter sous différents aspects. Elle peut-être juste ou injuste, légitime ou illégitime. Quant à savoir, dans quelle mesure l'autorité est respectable, l'histoire nous apprend que les conquêtes de la démocratie se sont faites par une lutte incessante contre l'autorité absolue : celle de Dieu et de l'Eglise, celle du Roi totalitaire de l'Ancien Régime. A l'inverse, le gouvernement du Maréchal Pétain s'est construit en réaction contre une prétendue remise

Les étudiants feront valoir leurs points de différentes façons. On entendra parler de norme du respect de la démocratie, du droit de recourir à un service, de valeur de liberté d’expression, d’accessibilité complète à l’éducation, de justice, de liberté… etc. Au cœur de ce conflit se confrontent surtout la place ainsi que la signification de liberté. Ce sera le droit du respect de la démocratie, à la liberté d’user son droit de grève qui s’opposera à la primauté du droit, soit la liberté d’user de son

la cité. Ainsi, par cette notion de justice, la Grèce antique garantie l'égalité de tout ces citoyens devant la loi. C'est la naissance de la démocratie, qui même si à cette époque est encore très réduite et ne concerne qu'une minorité de la population, les grandes lignes sont là, et constituent encore aujourd'hui les idées principales de nos démocraties qui se tiennent actuellement dans nos gouvernement. 2. Une égalité encore impossible en France La naissance de la notion d'égalité à une

reconnaitre l'existence de trois pouvoirs et en distinguant chacune des trois fonctions. Il faut donc une séparation des pouvoirs exécutif législatif et judiciaire. Avant Montesquieu, Aristote avait montré qu'il existait trois pouvoirs. Mais c'est à John Locke qui fera resortir cette théorie, dans le Traité du gouvernement civil (1690) qui décrit les mécanismes en œuvre en Angleterre et justifie l'indispensable non concentration des pouvoirs au profit du monarque. C'est pour lutter contre toute forme

courant libéral. Pour certains historiens 3, ce que l’on définit aujourd’hui généralement comme la tradition libérale prolongerait un mouvement d’idées perceptible depuis l’Antiquité. Après tout, la liberté politique fut la grande affaire de la démocratie athénienne et c’est en son nom qu’à la fin de la République romaine, Brutus assassinait son père adoptif, César. Mais la méfiance des cités grecques à l’encontre d’un gouvernement arbitraire n’est pas de même nature que celle du libéralisme moderne

théorie de la séparation des pouvoirs a fortement marqué l'histoire. En effet, Aristote avait théorisé l’existence de trois pouvoirs sous l’Antiquité, puis s’en suivent les premières traces écrites véritables dans le “Traité du gouvernement civil” de John Locke paru en 1690. Mais, la séparation des pouvoirs sera principalement associée à Montesquieu. Charles de Secondat, baron de la Brède et de Montesquieu (1689-1755) est un penseur politique, philosophe et écrivain majeur des Lumières françaises. Dès

l'arbitraire et protègent les droits fondamentaux des Hommes. Ils donnent ainsi pour contrainte à tout pays voulant rédiger une constitution de garantir un Etat de droit. La séparation des pouvoirs est une théorie née sous la révolution anglaise grâce à John Locke, puis reprise par Montesquieu, afin de lutter contre les formes absolutistes du pouvoir. C'est une doctrine libérale qui veut protéger les droits et les libertés des individus en évitant la concentration du pouvoir entre les mains d'une seule institution

société » se trouve remisée au rayon des antiquités, sous couvert de « mort des idéologies ». Mais le phénomène ne serait pas d’une extrême gravité si l’enjeu n’en était pas l’avenir de la démocratie, qui de fait se trouve mise à mal par la nouvelle rhétorique du pouvoir. En effet, l’exercice de la démocratie suppose, parce que la chose politique est chose commune, le recours au débat, qui est seul à même d’exprimer le jeu des conflictualités inhérentes au corps social. Le débat politique est donc

théories qui vont faire non plus de l'homme mais de l'état la source du pouvoir et du droit. Ces théories se regrouperont autour du positivisme qu'on va opposer au naturalisme. Paragraphe 1er : les théories classiques du contrat social et de la démocratie. Ces théories se retrouvent chez certains auteurs et elles insistent sur la légitimité du pouvoir tout en défendant l'idée selon laquelle c'est de leur plein gré que les individus se soumettent au pouvoir étatique. A) Thomas Hobbes T

l'Amérique du Nord, donc population x 13 a cours su diècle croissance des pays qui s'industrialisent est supérieure à celle des pays coloniséstransistion démographique → modernisation = processus, fil directeur du coursAlxis de Tocqueville, de la démocratie en AmériqueB) Quand commence et quand finit le XIXe siècle? Marc Bloch, Apologie de l'histoire siècle arithmétique n'est pas le siècle historique « aucune loi de l'histoire n'impose Léon Daudet 1922, Le stupide XIXe siècle : 1789 à 1914→ royaliste