John Locke Démocratie

seulement utilité Bonheur (accomplissement) indissociable dimension pol. de son existence L’homme est voué à s’accomplir dans l’existence politique et de rationnaliser II. La société et les intérêts individuels John Locke => libéralisme politique (fin XVII) Adam Smith => libéralisme économique (fin XVIII) La sté : résultat du jeu des intérêts individuels => pour mieux nous satisfaire A/ La notion de société civile Société civile : - vie associative

des XVIIe et XVIIIe s :libéralisme, Lumières et souveraineté populaire 20 2.2.1. Section I : le libéralisme 20 2.2.1.1. Paragraphe 1 : John Locke Vie et œuvre: le libéralisme classique ou libéralisme individualiste 20 2.2.1.1.1. La vie les œuvres et les fondements de la pensée de John Locke 20 2.2.1.1.2. l’état de Nature pour Locke 21 2.2.1.1.3. Le Pacte Social 21 2.2.1.1.4. Le contenu du pacte social : le règne du droit. 22 2.2.1.2. Paragraphe 2 : Ch

octobre 1958. C’est donc intrinsèquement que les concepteurs de ce nouveau texte ont accordé un pouvoir plus important au président de la république et au pouvoir législatif. A- L’ORIGINE DE LA SOUVERAINETE NATIONALE : C’est au 16eme siècle que John Locke, philosophe anglais, est devenu un fondateur du libéralisme. Suivit par Montesquieu, penseur politique Français qui introduit également le terme de liberté individuelle. Ces deux personnalités ont influencé la séparation des trois pouvoirs, à savoir

Newton (calcul de la gravité terrestre) Conséquence : confiance en l’intelligence humaine, le progrès. III. La philosophie des lumières ; les grandes idées 18e siècle -> début des grandes réflexions politique et sociales. Penseurs : * John Locke importance de l’expérience, dénonce le «pouvoir divin» des rois contre l’esclavage. * Charles de Montesquieu veut limiter les pouvoirs royaux, importance de la science et de la morale. * Emmanuel Kant «Ose savoir» sa devise. Il faut

produit d’un contrat social. * John Locke : 17ème siècle : il transforme la théorie de Hobbes. Il évolue dans une situation politique différente : le souverain n’est plus remis en question. Comment assurer les libertés individuelles et mettre fin aux conflits religieux ? Il est un idéologue de l’état minimal (théoricien du libéralisme politique). Il suit les principes de Mandville comme quoi les vices privés se transforment en vertus publiques. Pour Locke, il suffit de laisser libre cours au

donner à elle-même la loi et assumer cette liberté, ou doit-elle nécessairement conférer à ses lois une autorité et une origine transcendante ? C’est une telle exigence d’autonomie qui fonde les démocraties modernes. Et s’il s’agissait de définir la démocratie, on pourrait bien la définir ainsi : démocratie est le nom de ce régime politique qui peut se passer de religion, non dans le sens où il tendrait à en interdire l’expression, mais au sens où ce régime affirme la possibilité d’une société autonome

La Séparation des pouvoirs en Suisse La séparation des pouvoirs est l’expression traditionnelle dans le droit constitutionnel occidental pour désigner les enseignements dégagés par Montesquieu, « De l’Esprit des Lois »(1748). Avant cela, John Locke, dans son ouvrage« Essaie sur le gouvernement civil » (1688), avait défini qu’il y a dans chaque Etat, trois sorte de puissances: la puissance de faire la loi, celle d’exécuter les « résolutions publiques» et celle de juger les crimes ou les différends

droits de l’homme. Les philosophes des Lumières affirment que tout individu possède des droits naturels : - droit au bonheur, liberté de pensée, droit de propriété… Ils affirment que de ces droits naturels découlent des droits politiques. John Locke (1632-1704) Second traité du gouvernement civil (1690). Voltaire (1694-1778) dénonce l’intolérance religieuse. 3) La demande de séparation des pouvoirs. Charles de Montesquieu (1689-1755) L’esprit des Lois (1748). Seule la séparation des pouvoirs

d'état). Le contrôle est antérieur à la promulgation de la loi. Il peut être aussi à posteriori. La démocratie Gouvernement du peuple par le peuple et pour le peuple. C'est la participation des citoyens aux affaires publiques. Condition de la démocratie: droit de suffrage et la souveraineté nationale appartient au peuple qui l'exerce par ses représentants et par la voie du référendum. La démocratie peut être représentative (structure de grande taille) ou directe (état de petite taille). représentative:

départ est un conflit, qui n’a jamais vraiment été résolu, entre le droit objectif et le droit subjectif. Le droit subjectif est un droit de la personne, de l’individu qui forme la base des droits fondamentaux, qui sont quant à eux un acquis des démocraties occidentales (ex : question récente sur les rom qui remet en cause les droits fondamentaux). La nature a fait les hommes égaux avec des libertés fondamentales : c’est l’argument qui fut utilisé contre la monarchie absolue. Aujourd’hui, il est rare