John Stuart Mill

sera le même partout. » Cela conduit John Stuart Mill à écrire en 1848 «qu’il ne peut y avoir deux prix sur le même marché 10. » Les économistes classiques ne se sont pas réellement préoccupés de donner une définition plus précise de la concurrence car, à l'époque, les cas de monopoles sont relativement rares. Harold Demsetz n’a trouvé chez Adam Smith que peu de pages dédiées aux monopoles et une seule dans les Principles of Political Economy de John Stuart Mill10. Montée des monopoles et concurrence

Fourier, Ricardo, Feuerbach A influencé : Engels, Lénine, Luxemburg, Trotsky, Marcuse, Lukács, Bloch, Gramsci, Sartre, Debord, École de Francfort, Althusser, Ellul, Derrida, Negri, Rancière, Guevara ... Les théoriciens du libéralisme John Maynard Keynes John Maynard Keynes (5 juin 1883 - 21 avril 1946) est un économiste britannique de notoriété mondiale, reconnu comme le fondateur de la macroéconomie moderne, pour lequel les marchés ne s'équilibrent pas automatiquement ce qui justifie le recours

conditions idéales de la connaissance d'une science en tant que science. Dès le début des recherches logiques, il constate que la question controversée concernant la définition de la logique est une définition que l'on se pose encore aujourd'hui. John Stuart Mill qui est un psychologicien de son époque : Les auteurs se sont contentés d'utiliser les mêmes mots pour les mêmes expressions. Il se pose la question sur la définition même de la logique. Il s'agit d'un objet de controverse lorsqu'il s'agit de

Jean Baptiste Say (1767-1832) * 4.3.2.2 Frédéric Bastiat (1801-1850) * 4.3.2.3 Paul Leroy-Beaulieu (1843-1916) * 4.3.3 Aux États-Unis : Henry Charles Carey (1793-1879) * 4.3.4 L'effort de synthèse : John Stuart Mill (1806-1873) * 4.4 Les Néo-classiques : des choses aux mécanismes * 4.4.1 L'école de Vienne : Calcul différentiel et Utilité marginale * 4.4.2 L'École de Lausanne : l'Équilibre en économie pure * 4.4.2

IVe République que les femmes obtiennent des droits civils, politiques et sociaux égaux à ceux des hommes.Le féminisme est soutenu principalement par les femmes, bien qu'il soit également activement supporté par des hommes comme, par exemple, John Stuart Mill , Victor Schoelcher.De nos jours, on peut citer le mouvement français "Ni putes ni soumises", créé en 2003, qui, de manière très médiatique, attire l'attention sur les problèmes que rencontrent les femmes dans les banlieues : mariages forcés

Friedman. Les classiques ont une vision de la monnaie neutre, en effet pour ceux ci, les agents ne détiennent de la monnaie que pour effectuer une transaction. Jean Baptiste SAY dit de la monnaie qu'elle est « un voile sur l'économie » pendant que John Stuart Mill dit d'elle qu'elle est « insignifiante ». Ceux ci distinguent en effet une sphère réelle et une sphère monétaire qui sont complètement indépendantes l'une de l'autre. Pour eux en effet, la monnaie va influencer le niveau des prix mais pas la

l'évolution économique. Adam Smith : Recherche sur la nature et les causes de la richesse des Nations (1776) Thomas Robert Malthus : Essai sur le principe de population (1798) David Ricardo : Principes de l'économie politique et de l'impôt (1817) John Stuart Mill : Principes d'économie politique (1848) Jean- baptiste Say : Traité d'économie politique (1803) Frédéric Bastiat : Harmonies économiques (1849) 1. La doctrine libérale des classiques a. Le cadre historique du développement de la

Le seul motif rationnel de l’être humain est, pour lui, la recherche de l’intérêt. Pourtant, la morale ou l’éthique, réapparaît avec John Stuart Mill, pour qui l’homme est d’abord un être social. Tout homme considère comme naturel « la mise en harmonie de ses sentiments et de ses buts avec ceux de ses semblables » ([2]). Dans l'utilitarisme altruiste de Mill, tant qu’un écart existe entre le bonheur individuel et le bonheur public, le bien d’autrui doit l’emporter sur le bonheur personnel.

d’accumulation qui engendrent des inégalités structurelles. C’est de cette ambiguïté que découle la tension entre égalité et efficacité. Je vais commencer par vous présenter la perspective libérale des inégalités. Le fondement de la pensée libérale héritée de John Locke (1632-1704) est une théorie selon laquelle chaque être humain possède des droits fondamentaux inaliénables : ce sont essentiellement le droit à la liberté et à la propriété. Chaque être humain, en tant qu’individu autonome, est propriétaire de

poursuivant chacun leur intérêt personnel (comportement égoïste, pas d’altruisme). Cette vision de la société est celle des économistes (A. Smith), mais aussi du courant philosophique de l’utilitarisme (maximisation de l’utilité individuelle, John Stuart Mill, Jeremy Bentham). Durkheim considère que l’utilitarisme ne suffit pas pour construire une société car la morale va au-delà de l’intérêt personnel, les individus partagent un ensemble de valeurs. Ex. Pq les individus ne commettent pas de crime