John Stuart Mill

objectif précis et partagé, cet effort commun ne va pas être égoïste dans la mesure où ce qui a été réuni pour réaliser ce but n’est pas seulement centré sur son égo, mais partagé avec un ensemble de personnes. On peut voir par exemple que John Stuart Mill affirme dans son ouvrage l’utilitarisme, que « le sentiment que les intérêts d’autrui sont leurs propres intérêts », en affirmant que dans une société, les intérêts d’un individu sont souvent liés étroitement à autrui . Nous allons enfin

publié en 1976, comme l’œuvre fondatrice de l’économie politique. On distingue cependant d’autres économistes classiques comme David Ricardo avec sa théorie des avantages comparatifs, Thomas Robert Malthus connu pour sa loi de population, ou bien John Stuart Mill ou encore le français Jean-Baptiste Say. La théorie des avantages absolus développée par A. Smith définit que chaque pays a intérêt à s’ouvrir au commerce international et à participer à la division internationale du travail : chaque pays doit

sobrement, Norberg commente ces faits ainsi: «L’économie d’un pays s’améliore d’abord parce que les habitants travaillent, épargnent et investissent. Des impôts élevés sur le travail, l’épargne et le capital ont donc pour effet, dans les mots de John Stuart Mill, de "pénaliser les gens pour avoir travaillé plus fort et mis plus d’argent de côté que leurs voisins". Cela décourage les gens de faire les activités qui sont les plus bénéfiques pour la société. [...] Où s’imagine-t-on que taxer l’esprit d’entreprise

basée sur une définition du bien-être comme «utilité» pour fonder sa doctrine. C’est le cas de la pensée utilitariste dont les deux grandes figures sont Jeremy Bentham (Introduction to the Principles of Morals, 1789) et John Stuart Mill (L’utilitarisme, 1863). Une société juste pour Mill permet la maximisation du plus grand bonheur pour le plus grand nombre. Ainsi dans cette optique la réalisation du bien-être est subordonnée à un «calcul des utilités» dont dépend la maximisation du bonheur global. Cette

désigne l'ensemble des lois existantes dans une société donnée. Mais cette notion appelle également les libertés fondamentales de tout être humain, indépendamment de la société donnée : »la liberté des uns s’arrête là où commence celle de autres » (John Stuart Mill) .Il est donc logique de se demander si le monde du travail peut être juste ? Pour y répondre je pense qu’il faut premièrement s’intéresser à l’aspect éthique du travail car la notion de justice se basé sur l’éthique. Et deuxièmement l’application

conduite par John Stuart Mill dans son livre “De la liberté” (1859), ce manifeste de libéralisme politique. Face à l’intolérance de l’opinion majoritaire, il y fait l’apologie de la liberté d’opinion et d’expression, du droit de l’individualité au développement, à la libre expression de son génie, indépendamment des modes et des coutumes propres à une époque, à une société ou une classe. Avec Benjamin Constant et Alexis de Tocqueville et l’ensemble des penseurs libéraux depuis Locke, Mill rappelle la

économique a pour spécificité la consécration du principe de la liberté au niveau économique ; liberté qui elle-même se décline en liberté d’entreprise et en droit de propriété. Les théoriciens de référence du libéralisme économique sont entre autre John Stuart Mill, Adam Smith, David Ricardo ou encore Jean Baptiste Say. Les postulats de base de l’économie politique classique sont entre autres le laisser faire, la non interférence, l’existence d’une main invisible telle que théorisée par Adam Smith. Au delà

un intérêt si l’on prend en compte la logique utilitariste. En effet, on peut juger d’une œuvre d’art - tout comme d’une action - en fonction de l’augmentation ou de la diminution des plaisirs procurés. On peut affiner cette conception grâce à John Stuart Mill qui classe les plaisirs de façon qualitative et non quantitative : on peut alors associer l’art aux plaisirs supérieurs, c’est à dire ceux de l’esprit. L’art, n’est-il pas pour l’homme un moyen de se libérer de l’aliénation du quotidien ? Œuvre

motiver, partager, innover, gérer des projets sont des conditions de progrès, conditions inhérentes à une éducation performante en qualité, efficacité et efficience. Émile Durkheim refuse la vision de l’éducation présentée par les libéraux, tel John Stuart Mill, qui font de l’éducation un moyen d’accomplissement individuel. Durkheim est marqué par la pensée de Jean-Jacques Rousseau pour lequel l’éducation passe par la reconnaissance de la dépendance de l’individu vis à vis des " choses " et l’adaptation

n’est-il pas la preuve d’une totale liberté d’action ? Or, avec l’état qui surveille nos faits et gestes, nous sommes restreints dans nos mouvements, nous pouvons enfreindre les lois, mais une sanction nous attend à la fin. Comme le disait John Stuart Mill : «  Tandis que l’Etat existe, pas de liberté. Quand gagnera la liberté, il n’y aura plus d’état ». Néanmoins, les libertés politiques et juridiques ne sont pas les seules que nous puissions prendre. Par exemple, il est tout à fait envisageable