John Stuart Mill

comme plus conventionnel et socialement moins subversif. John Locke, l’un des philosophes libéraux du 17ème siècle, a fait une distinction entre le droit divin d’un roi à diriger, qui devient un model pour d’autres relations hiérarchiques entre serviteur et patron, mari et épouse. C’est dans les oeuvres des écrivains et des philosophes de la deuxième moitié du18ème siècle et le 19ème siècle comme Mary Wollstonecraft, John Stuart Mill et Harriet Taylor que la théorie libérale était explicitement

bonheur est la fin à laquelle aspirent tous les hommes, ainsi les utilitaristes, en posant l'action morale comme moyen d'atteindre le bonheur, parviennent à réintéresser au sens propre les hommes à l'action morale. En effet, comme l'explique John Stuart Mill, si l'homme dans son individualité désire être heureux, il doit agir conformément à la morale. Ainsi, l'homme qui désire être heureux doit s'assurer du bonheur des autres car le malheur de ceux qui l'entourent pourrait venir, de par l'envie,

vie sociale vertueuse et raisonnable le rendra naturellement heureux. C’est donc en respectant la loi et la morale, que l’homme atteint le bonheur. De ce point de vue, il y a une relation nécessaire entre bonheur et raison. C’est ce qui pousse John Stuart Mill à établir une équation entre bonheur général de la société et bonheur individuel des citoyens, dans son livre L’utilitarisme (1871). En tant que conséquence d’une vie vertueuse, on doit donc rechercher le bonheur. Bien qu’il soit le propre de

des forces physico-chimiques dont les effets sont liés à un déterminisme rigoureux. Son service militaire, de 1879 à 1880, retarde également la fin de son cursus universitaire. Il en profite pour traduire les Collected Works du philosophe John Stuart Mill[B 7]. Il s'intéresse aussi très tôt aux théories de Charles Darwin[B 8]. Il assiste aux cours de Franz Brentano et lit avec avidité Les Penseurs de la Grèce de Theordor Gomperz et surtout les volumes de l’Histoire de la civilisation grecque de

autres, nous assurant une certaine sécurité.» (notes sur l’éthique Kantienne) 7 Philosophe Australien né en 1946. Il est le fondateur du centre Bioéthique humaine et il est très impliqué dans la protection des animaux. Il a étudié entre autre John Stuart Mill, Henry Sidgwick, Jeremy Bentham et Charles Darwin. 8 Se soucier des animaux non humains complèterait notre évolution au niveau de notre comportement moral. «Nous sommes passés progressivement d’un comportement moral réservé à la famille proche

elle aussi, impliqué une complexification de ses postulats et de ses éléments. Après Ricardo, nombre d’économistes, dont plusieurs « Prix Nobel » d'économie ont donc associé leurs noms à l’avantage comparatif. On trouve, parmi les plus connus, John Stuart Mill, Eli Heckscher, Bertil Ohlin, Wassily Leontief, et Paul Samuelson. Bien que ces travaux aient toujours confirmé les résultats de Ricardo, ils en ont précisé certains aspects, et, ce faisant, ont levé de nouvelles problématiques. À titre d’exemple

l'expérience peuvent expliquer les phénomènes du monde sensible. (1852: la loi des 3 états :  l'esprit humain, ainsi que l'espèce humaine entière, passe par trois états théoriques successifs : théologique, métaphysique et positif). Des écrits de John Stuart Mill (1863: l'utilitarisme : doctrine éthique qui prescrit d'agir (ou ne pas agir) de manière à maximiser le bien-être global de l'ensemble des êtres sensibles). Du matérialisme dialectique et historique de K. Marx (1867: critique de l’économie

politiques. Réformateurs : Luther, Calvin, Ignace de Loyola et Thomas More. L’école classique : regroupe les economistes du 18ème et du 19ème. Les membres les plus importants : Adam Smith (18) David Ricardo (18-19) Thomas Malthus (18-19) John Stuart Mill (19) Jean Baptiste Say (18-19) Frédéric Bastiat (19) Terme employé la première fois par Karl Marx dans «le capital». Un courant dont la délimitation dépend de l’appréciation des différents auteurs et économistes. Pour exemple, Schumpeter

majoritaire : crainte de donner le pouvoir à la médiocrité (Platon), à la « vile multitude » (Thiers) : la règle de la démocratie (51%) n’a pas de légitimité si elle concerne des individus incompétents ! Problème de la « tyrannie de la majorité », John Stuart Mill (1806-1873) Promotion d’un nouveau modèle : - démocratie dualiste ou substantielle (Bruce Ackerman) : gouvernance du peuple qui après délibération accepte une constitution (citoyenneté extraordinaire) : valeurs fondamentales fixées : politique

naturels en 1776 dans la déclaration d’indépendance qui,se sont retrouvés en août 1789 en France,sont à l’origine du libéralisme qui, lui-même, peut être considéré comme à l’origine du parlementarisme. En effet, les libéraux, comme par exemple John Stuart Mill, cherchent à exalter la liberté privée, qui passe par un État minimal, mais qui doit protéger avant tout la liberté individuelle. Pour cela, les libéraux ne préconisent pas forcément (même pas du tout) le suffrage universel, mais le parlementarisme