Juge Camusot

conformant aux dispositions constitutionnelles ; Le caractère contradictoire de la procédure qui est basée actuellement sur la règle du double arrêt, une spécificité de cette procédure, peut être évoqué comme atteinte à l’impartialité de la formation qui juge deux fois. Avec la publicité des audiences, les droits de la défense seront garantis ; L’impartialité des procès et l’égalité des armes, essentiellement au niveau des procédures relatives à la discipline budgétaire et financière ; L’amélioration des

précise et chronologique. Enumérer les griefs (reproches) Exposer vos prétentions (demandes) Si la conciliation n’est pas possible, il faut saisir le tribunal. Prétention : en droit, cela désigne ce que les parties demandent au regard de la loi. Le juge est chargé de répondre à chacune d’entre elle(s). Les parties  1° instance : Demandeur –› celui qui saisit la justice. Défendeur –› celui qui doit se défendre. Cour d’appel : Appelant Intimé Cour de cassation : Demandeur

rapport y a-t-il entre la séparation des autorités administratives et judiciaires et la séparation des pouvoirs ? …25 21. Qu’entend-on par système de l'administrateur-juge ou du ministre-juge ?...23 Introduction générale 2014-2015 - www.lex-publica.com - © M. Coulibaly 5/38 22. Le système de l'administrateur-juge ou du ministre-juge est-il contraire au principe de la séparation des pouvoirs ? …25 23. Qu’est-ce qui a été créé en premier ? Le droit administratif ou les juridictions administra-

aller jusqu’à la coopération pour parvenir au but poursuivit par les parties. B. Force obligatoire du contrat par le juge Le principe de la force obligatoire du contrat s’impose au juge aussi bien dans l’interprétation du contrat que dans l’impossibilité de le réviser. 1. L’interprétation du contrat : Quand close est obscure ou ambiguë, ou si le contrat comporte des lacunes, le juge doit interpréter les contrats et pour se faire, il doit rechercher la volonté des parties mais peut compléter cette

d’appel de commerce de Casablanca rendu le 30/4/2010 qui a infirmé le jugement préliminaire du tribunal de commerce de Casablanca statuant sur la requête du juge commissaire de la liquidation judiciaire de la société Maatouk dans laquelle il demande l’extension de la liquidation judiciaire au dirigeants. Attendu le rapport effectué par le juge commissaire en charge de la liquidation judiciaire de la société Maatouk instruit sur la base du rapport du syndic effectué le 11/10/2006 qui allègue avoir

des Conventions subséquentes dont elle est saisie conformément à ses règles de procédure. Elle est juge, en dernier ressort, du contentieux de l’interprétation des Traités, Conventions et autres Actes juridiques de la C.E.MA.C. Elle est juge en appel et en dernier ressort des litiges opposant la Commission Bancaire d’Afrique Centrale (COBAC) aux établissements de crédit assujettis. Elle est juge, en premier et dernier ressort, des litiges nés entre la C.E.M.A.C. et les Agents des Institutions

 TD N°1 : Séance de méthodologie Fiche de jurisprudence TC 8 février 1873 Blanco Tribunal des conflits = pb de compétence entre le juge judiciaire et le juge administratif, il ne tranche jamais le fond du litige il renvoie a la juridiction compétente. L’arrêt Blanco marque la naissance d’un droit administratif moderne. Faits : Une petite fille est renversée un wagonnet de manufacture de tabac exploitée en régie par l’Etat. Son père introduit une action en responsabilité contre

si la puissance de jugé n’est pas séparé de la puissance législative et de l’exécutrice. Si elle était jointe à la puissance législative, la puissance sur la liberté des citoyens serait arbitraire : car le juge serait législateur. Si elle était jointe à la puissance exécutrice, le juge pourrait avoir la force d’un oppresseur. » Le Général De Gaulle disait que l’homme le plus puissant de France n’était pas contrairement à l’idée reçu, le président de la République mais le « juge d’instruction ».

classées eu égard aux circonstances des faits commis. 11) Légales et obligatoires : . Elles sont dites légales car limitativement prévues par la loi. Elle ne sont pas laissées à la discrétion du juge. Elles s’appliquent obligatoirement, dès lors que le juge en reconnaît l’existence. En cour d’assises, chaque circonstance aggravante fait l’objet d’une question spéciale. Références légales : C.P.P., articles 349, 350 et 356. Classifiées,

SOMMAIRE INTRODUCTION 2 CHAPITRE 1 - LES ACTEURS DE LA PHASE PRELIMINAIRE DU PROCES PENAL 3 Section 1 - Aperçu de la phase préliminaire du procès pénal 3 Section 2 - Les fonctionnaires de police 4 Section 3 – Le ministère public 4 Section 4 – Le juge d’instruction 4 CHAPITRE 2 – LES CARACTERISTIQUES DE LA PHASE PRELIMINAIRE DU PROCES PENAL 5 Section 1 – Le caractère écrit 5 Section 2 – Le caractère unilatéral 5 Section 3 – Le secret de l’information et de l’instruction 5 CHAPITRE 3 – LE DEROULEMENT