Jugement De Goût

Philosophie Sujet 1 Qu'est-ce que le scepticisme ? Le scepticisme, du grec skeptis qui signifie « examen », est un courant philosophique dont l'école fut fondée au IVème siècle avant J-C par Pyrrhon d’Élis. Cela consiste en la profession du jugement sur toute chose. Pour ce mouvement, presque tout est incertain et mérite d'être remis en question en particulier les dogmes, qui sont contraires à l'idéologie sceptique. En effet, le scepticisme et l'opposé du dogmatisme qui soutient la thèse selon

de sensibilité générale qui nous permet de juger de notre existence. Dans la langue française, le mot conscience a deux définitions : - Le sens moral, prédominant jusqu’au XVI e siècle : c’est le sentiment intérieur qui pousse à porter un jugement de valeur sur ses propres actes, sens du bien et du mal. :  « Avoir bonne ou mauvaise conscience ». « Avoir quelque chose sur la conscience ». « En mon âme et conscience ».

ce qui le différencie de ses contemporains est sa liberté de pensée et de style. Le regard de Montaigne est distant, s’attachant à ne pas projeter d’idées préconçues mais s’arrêtant à tout ce qui lui paraît insolite, surprenant, sans hiérarchie ni jugement de valeur. Il se fait le témoin d’un monde empreint de diversité et en pleine mutation. Le XVI e siècle est marqué par plusieurs découvertes qui vont remettrent en question l’édifice d’un savoir basé sur des croyances et des autorités

Lorsque nous faisons l’expérience du beau, nous portons un jugement de goût sur un objet, un sujet ou bien un événement, en d’autres termes, tout ce qui est représenté ou présenté devant nous. C’est un jugement subjectif car nous en sommes le sujet. Nous établissons établit une représentation et nous jugeons de la beauté à travers l’image perçue, c’est à dire travers son l’apparence, c’est à dire, nous formulons notre jugement de goût. Ce phénomène est d’ailleurs renforcé pour les souvenirs.

beau renvoie à la valeur à laquelle renvoie le jugement esthétique. La beauté est une finalité sans fin, car elle n’a pas d’autre but qu’elle-même. Elle est gratuite et infiniment libre. C’est ce qui correspond à la perfection en son genre, qui obéit à certaines formes d’équilibre ou d’harmonie. Une œuvre est jugée belle, par l’artiste mais aussi par les amateurs. Il a pourtant toujours été difficile de définir le beau car celui-ci relève du goût, donc d’un sentiment apparemment subjectif, et lié

point de vue d'autrui est un enrichissement de mon goût esthétique. Si l'on peut définir une œuvre d'art comme une totalité expressive dont le sens rayonne à travers toutes les parties, on peut aussi la qualifier de belle. D'autre part le rapport à une œuvre d'art semble relever de la subjectivité, de la sensibilité et de l'émotion. Ainsi chacun serait renvoyé à son "intimité" à sa particularité ou encore à sa singularité. Dès lors le jugement de goût qui reconnaît la beauté d'une œuvre d'art peut-il

comme un « mauvais » goût ou un  « bon » goût ? Qu’est ce qui fait que le bon goût est réservé à une « élite sociale » ? Comment expliquer la transformation des goûts sportifs au delà des tendances lié aux modifications des rapports au corps (le passage de l’ascétisme à l’hédonisme, le la force à la forme, etc. )? Disparité des goûts sportifs et légitimation sociale nouveau concept : la violence symbolique et la délégitimation du goût populaire Le dégoût du goût populaire On peut

• opinion : Idée sans contenu démontré par la raison. L'opinion s'oppose, dans la philosophie platonicienne, à l'Idée. L'opinion renvoie au particulier, l'Idée à l'universel. Un jugement de goût relève de l'opinion. Définir ce qu'est l'essence de la beauté relève de l'Idée. OPINION DROITE: Selon Platon, c'est une connaissance vraie mais non justifiée ni fondée pour celui qui l'émet. • recherche : Quête, conquête. • vérité : La vérité concerne l'ordre du discours, et il faut en cela la distinguer

analyse à travers le jugement de goût cette contemplation de la beauté. Le jugement de goût, c'est le jugement par lequel le sujet face à un objet affirme qu'il est beau. - Ce jugement en individuel: ce n'est pas un jugement collectif mais le résultat d'un individu de sa subjectivité, de son œuvre. - Ce jugement est désintéressé: il ne cherche pas la satisfaction d'un besoin, d'un intérêt, d'une fonction, mais seulement du libre jeu de nos différentes facultés. - Ce jugement est universalisable:

Esthétique II)1) Etude de quatre moments du jugement de goût Kant avait distingué de la raison pure de la connaissance : Vrai et Faux Critique Raison Pratique : action : Bien et Mal Critique de Faculté de Juger : I) esthétique, II) téléologique Télos : la finalité : distance qui sépare une origine de son but Esthétique : formes/fins : le jugement esthétique est celui qui se porte aux formes. Kant distingue dans le jugement de goût 4 moments Étude du 1er moment : du point de vue de la