Jules Ferry Congrès Pedagogique 1881

11 D.5 – L’essor du savoir pédagogique moyen : 11 D.6 – L’essor de l’incertitude : 11 D.7 – L’essor lié aux interaction de tout ce qui précède : 12 D.8 – L’essor du choc des futurs : 12 1. PYGMALION PEDAGOGUE : 12 1.2 – Le contexte : 12 1.2 – Les courants pédagogiques : 14 1.2.1 – Le modèle traditionaliste : 14 1.2.2 – La pédagogie théiste : 15 1.2.3 – La pédagogie politique 15 2. DIONYSOS PEDAGOGUE 16 2.1 – Le contexte 16 2.2 – Les courants pédagogiques : 18 2.2.1 – La pédagogie libertaire

d’avant-guerre L’enseignement primaire  Depuis les lois Ferry de 1881 et 1882 a une finalité en soi, il est destiné à donner aux enfants du peuple le bagage culturel élémentaire mais il n’est absolument pas considéré comme l’antichambre naturelle de l’enseignement secondaire. Les lois Ferry sont des lois fondamentales. Jules Ferry est le ministre de l’éducation nationale de l’époque. Il dit qu’il faut que l’école primaire soit gratuite (1881) et l’école primaire devient laïque ainsi que l’obligation

hebdomadaire de la Confédération Générale du Travail (C.G.T.) ou Les Temps nouveaux, qui augmentent l’efficacité de l’activité révolutionnaire, tarde à assimiler la culture de l’image dans sa politique. Ainsi, jusqu’à la Grande Guerre, la conception pédagogique de la propagande amène socialistes et radicaux à s’exprimer presque exclusivement à travers des textes. C’est ce qui explique que ni le parti socialiste, ni le parti radical ne tentent de créer des supports comparables à des revues socialistes et

thèmes successifs, il propose pour chacun d’entre eux : • quelques documents permettant d’apporter aux élèves un éclairage authentique ; • un commentaire historique et pédagogique des documents cités, à l’usage des enseignants. Schéma de l’ouvrage Chapitre, thème Documents cités Commentaire historique et pédagogique 1. Approche générale du sujet Doc A. Chronologie de la colonisation esclavagiste, des luttes anti-esclavagistes et des abolitions (de 1492 à 1848) Doc B. Carte

première pierre pour l'école républicaine. Jules Ferry est le promoteur de la réforme de l'école républicaine. Il est avocat, franc-maçon, anticlérical. Il est attaché à l'héritage de Condorcet et au positivisme (mouvement qui apparaît autour d'Auguste Comte, où l'on met en avant le progrès de la raison). Jules Ferry est ministre de l'instruction de 1879 à 1883, et donc promoteur de réformes républicaines. Paul Bert est considéré comme le « bras droit » de Ferry et est à l'origine de l'instruction civique

création d’une école normale des salles d’asile qui sera confié à Marie Pape-Carpantier, qui en sera la 1ère directrice. L’appellation « école » et « maternelle » sera définitivement acquis en 1881 lors du cadrage des lois Ferry. En 1848 les salles d’asiles prennent le nom d’écoles maternelles. En 1881 le processus se met en route 4660 classes d’écoles maternelles. Petit à petit et selon Carpantier les salles d’asile devaient constituer les 1er degrés d’un enseignement qui se poursuivait dans

entreprises (ex : pour Peugeot, Michelin > pub pour l’entreprise) Références : - J. Defrance, La fortification des corps : essai d’histoire sociale des pratiques d’exercices corporels, 1978 - G. Vigarello, Le corps redressé. Histoire d’un pouvoir pédagogique, 1978 - A. Ehrenberg, Aimez-vous les stades ? , Recherche, n°3, avril 1980 Le Sport : un des symboles de la société moderne Le sport acquiert à partir des années 70-80, le statut d’objet d’étude scientifique dans le domaine de l’histoire. C’est

restés une reference trente à quarante ans après. Ex : J.Defrance, La fortification des corps : essai d'histoire sociale des pratiques d'exercices corporels, Thèse de doctrat, EHESS, 1978 G.Vigarello, Le corps redressé. Histoire d'un pouvoir pédagogique, Paris, Delarge, 1978 A.Ehrenberg, Aimez-vous les stades ? , Recherches n°3, avril 1980. A partir de 1980, les études sur les pratiques corporelles sont accepté à l’université. Le sport obtient le statut d'objet d’étude scientifique. A

n’est pas le leur. Pour une partie, surtout rurale, de la société française, une absence de mobilité est la règle par crainte de quitter le lieu où l’on est « à sa place ». C’est d’ailleurs dans ce contexte que se situe l’objectif de l’école de Jules Ferry : à travers l’enseignement primaire, fonder une république « une, fraternelle et indivisible », faite de valeurs universelles, orientée vers le caractère émancipateur et égalisateur du savoir, à l’encontre de tous les particularismes résiduels.

d’État à visée scientifique, destiné à tous les enfants et qui résoudrait en partie les problèmes sociaux en permettant aux plus doués d’accéder à une véritable promotion sociale grâce à la pratique des concours. Parmi eux s’impose la figure de Jules ferry : né le 5 avril 1832 à Saint-Dié (Vosges) et mort le 17 mars 1893 à Paris. Il eu d’abord une formation d’avocat, puis il députa en politique dans les rangs de l’opposition républicaine à l’Empire. Il fut maire de Paris, ministre de l’Instruction