Jules Ferry De L égalité D éducation

LES FEMMES ET L'EDUCATION Critique externe Nature : texte 1 : extrait d'un discours prononcé par Jules Ferry le 10 avril 1870 à la Salle Molière du Palais Bourbon de Paris , qui s'adresse alors non seulement au public présent mais à l'ensemble des Français texte 2 :extrait d'un article paru dans le journal conservateur Le Gaulois le 25 novembre 1880 Auteurs : texte 1 : Jules Ferry est un homme politique français républicain , contre l'empire et l'extreme gauche .Il reste celebre aujourd'hui

Antoine PROST, « Quand l’école de Jules Ferry est-elle morte ? » in Education, société et politique, Edition du Seuil, 1997 (pages 63 à 83) Antoine Prost est un historien français né en 1933. Il est spécialiste de l’éducation et a notamment collaboré à définir des politiques d’éducation. Il participe beaucoup aux débats médiatiques sur la question en s’exprimant à travers des tribunes dans les quotidiens nationaux. Il a publié plusieurs ouvrages sur le sujet dont Education, société et politique, Edition

une société. Grâce à un grand nom de la politique, Monsieur Jules Ferry est parvenu à rendre publique l’école et gratuite. Il a permis à la totalité des petits Français à avoir une éducation sous la responsabilité d’un professeur. Il existe à l’heure actuelle de nombreuses éducations possibles ; certains parents sont « contre » l’école et préfèrent suivre le programme scolaire de leur enfants chez eux sous leur contrôle. Cette éducation est parfois laborieuse si l’enfant doit plus tard retrouver

1870, l’Etat comprend enfin, sous l’impulsion de Jules Ferry, que l’éducation des écoliers lui incombe entièrement. Jules Ferry est né en 1832 à St Dié. Avocat, député, il sera 5 fois ministre de l’instruction publique et Premier Ministre. Il transforme l’instruction en éducation : il veut que l’école soit accessible et imposée à tous les enfants et propose les lois fondamentales signées par Jules Grévy, Président de la République et Jules Ferry. L’école sera « GRATUITE » ( loi du 16 juin 1881 ;

et neutre vis-à-vis de tous les cultes. C’est CONDORCET le premier en 1792 qui énonce la justification de la laïcité en ces termes : « La Constitution, en reconnaissant le droit qu’a chaque individu de choisir son culte, en établissant une entière égalité entre tous les habitants de la France, ne permet pas d’admettre, dans l’instruction publique, un enseignement qui détruirait l’égalité des avantages sociaux et donnerait à des dogmes particuliers un avantage contraire à la liberté des opinions. Il

organisée en un développement structuré, qui obéit à un certain nombre de contraintes formelles.è C’est tout bonnement, à son modeste niveau, ce qui va devenir la dissertation littéraire au lycée. II. Exemple développé Sujet : Jules Ferry rêvait d’une éducation démocratique, capable d’abolir les différences « qui viennent de la naissance ». Selon vous, ce rêve est-il devenu réalité aujourd’hui ? Consignes : Vous développerez quatre arguments accompagnés d’exemples Vous pourrez proposer

française. → Idée qu’il faut créer un réseau d’écoles sur tout le territoire.  Système éducatif français : unité nationale. L’éducation des adultes passe par la fête (puissant outil d’éducation. On s’approprie et on partage des valeurs).  Education ≠ enseignement. a. Les grands projets : Le projet de Talleyrand : 1er projet : disséminer des écoles sur tout le territoire national. Ecole = outil pour structurer l’Etat français. 2ème projet : anticlérical au nom de la liberté

lors des grands évènements de l'histoire de la IIIe république. C'est ainsi que se forgent les différents courants républicains : en s'opposant les uns aux autres ou s'unissant souvent regroupés autour d'homme forts. Nous retiendront ici 3 noms : Jules Ferry, père fondateur modéré de la république, Georges Clemenceau également père fondateur à tendance plus radicale et enfin Jean Jaurès, républicain socialiste qui oeuvre dans une III république déjà bien établie. Trois républicains qui pourtant sont

l'avenir. C'est le droit d'être libre, en se donnant les moyens de le devenir. C'est comme une justice anticipée, et anticipatrice : c'est protéger l'avenir, autant que faire se peut, contre les injustices du passé » Allant plus loin que la simple égalité des droits, l'égalité des chances consiste principalement à favoriser des populations qui font l'objet de discrimination afin de leur garantir une équité de traitement. Elle implique que les écarts liés au milieu d'origine soient neutralisés. La qualité

système scolaire. Le 19e s., avec différentes lois, marque un glissement de l’enseignement de classes vers un enseignement démocratique. Les lois GUIZOT et FALLOUX réorganisent l’école mais ne la font pas évoluer, bien au contraire, tandis que les lois FERRY sont réellement innovatrices. Mais ce glissement, plus qu’une rupture, est une évolution de la société et des mœurs. En effet, les effectifs du primaire augmentent durant le 19e. Cette évolution est due à une évolution des idées : on considère que