Jules Ferry De L égalité D éducation

de 600 habitants de plus un programme est définit qui comprendra l'apprentissage de la lecture, de l'écriture, des rudiments du calcul, d’une éducation morale et religieuse et pour les filles, les « travaux d'aiguille ». Amandine-Aurore-Lucile Dupin commença à utilisé un pseudonyme à partir de 1831, lorsqu’elle quitta son mari pour suivre son amant Jules Sandeau à Paris, ils commencèrent tout les deux une carrière de journaliste dans le journal « le Figaro » ou ils signaient du même nom J. Sand

Le dossier du mois septembre 09 L’école peut-elle réaliser l’idéal républicain ? Retrouvez les avis des experts et des acteurs qui font le débat. Egalité des chances, méritocratie et élitisme pourrait résumer l’idéal républicain. La réalité est pourtant plus prosaïque car force est de constater que l’école française ne réduit pas les inégalités de départ. Certes, notre élite est reconnue (quoique trop homogène) mais «les vaincus du mérite» sont nombreux et abandonnés par le système

habileté  Loyauté, honneur M.A. COURTOIS  Amour, fidélité  Dévouement, compassion M.A. MYSTIQUE  Mort, fuite du temps  Religion, croyance, foi  Pléiade  Baroque  RENAISSANCE BAROQUE HUMANISME  Importance de l’Homme  Connaissance, éducation  Utopie sociale  Goût pour le progrès, les découvertes BAROQUE  Mouvement, instabilité, cycle  Liberté, imagination, excès  Apparence, masque, décor  Bizarre, paradoxe, complexité  Préciosité  (Libertinage)  CLASSICISME ROCOCO CLASSICISME

Histoire du Système educatif CM I du 12/10/2001 L’institution scolaire au 20ème SIECLE I – QUELQUES DEFINITIONS, DE SYSTEME EDUCATIF, DE SYSTEME SCOLAIRE. 1/ EDUCATION : Education :du latin éducéré qui signifie « conduire hors de… » On voit aujourd’hui que le mot éducation n’a pas gardé grand chose du sens étymologique, à l’exception de l’acte de guider un enfant ou un adulte. « L’acte de conduire, de guider un enfant ou un adulte en l’arrachant à un état initial

L’éducation des filles du XVIème au XXIème siècle. INTRODUCTION Au cours des siècles l’éducation des filles a énormément changé. En effet, entre le XVIe et le XXIe siècle, les filles sont passées d’une éducation religieuse à une éducation intellectuelle et égale aux garçons. Problématique: Comment a évolué l’éducation des filles au cours de ces derniers siècles ? XVIe siècle Au XVIe siècle, l'éducation des filles se borne avant tout à un point de vue religieux. On leur apprend les travaux

inspirés par la Révolution française, ils souhaitent garantir l'égalité entre les citoyens et la liberté de conscience. C'est pourquoi ils inscrivent la laïcité au cœur de leur programme : l'État ne doit favoriser aucune religion. D'abord, les lois Ferry imposent une école laïque, garantissant l'absence de signes et d'enseignement religieux dans les établissements publics. Après de nombreux débats, la loi de séparation de l'Église et de l'État est votée par le Parlement en 1905, malgré les vives réactions

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acomplissent toujours plus de tâches domestiques que les hommes ( document 3 ). Les femmes conservent le rôle traditionnel de la maternité ( document 3 ). Elles consacrent plus de temps à leurs enfants. Sûrement car il leur est demandé de transmettre une éducation. Les activités dans la sphère privée sont adréssées aux femmes: entretenir son foyer ( document 3 ). C est une vision naturalisante que nous constatons à travers les catalogues. Ils font perdurer le rôle traditionnel de la mère et de la femme.

Politique radicale, paru en 1908. Ferdinand Buisson était le Président de l’Association des libres penseurs, célèbre pour son combat pour un enseignement gratuit et laïque à travers la ligue de l’enseignement, grand commis de l’Etat, député, proche de Jules Ferry, il a crée le substantif de « laïcité ». Léon Bourgeois, quant à lui, était un député radical, qui a été l’un des théoriciens du radicalisme. Son programme politique, le « solidarisme », s’inscrivait entre le libéralisme individualiste et le socialisme

ARISTODE. , tous issues d’une pédagogie traditionnelle ou ………………………. SOCRATE qui a l’art d’accoucher les idées, au cour magistrale, opposera sa maïeutique et veut développer un idéale de justice. PLATON propose un enseignement de l’état avec égalité des hommes et des femmes devant l’instruction plus valorisé, les mathématiques (sciences) ARISTOTE qui est un disciple de Platon rejettera les idées de celui-ci, pour lui l’expérience est la source de la connaissance. Il sera favorable aux sciences