Jules Ferry De L égalité D éducation

d’actualité qui fait très souvent débat : l’égalité des chances à l’école. Ce thème s’articule souvent autour de nombreuses définitions sociologiques et des directives politiques. L’égalité des chances est une notion compliquée à définir. Le terme égalité est, en effet, polysémique et donc sujet à polémiques. Une inégalité est avant tout une différence perçue comme injuste dans la distribution des ressources sociales. L’école est une de ces ressources sociales car elle a pour finalités de transmettre

que les établissements libres pouvaient obtenir des communes, des départements et de l’état, un local et des subventions. A l’époque cette loi avait été très bien accueillie. Sous la troisième république en 1879 Jules Ferry devient ministre de l’enseignement public. C’est la loi Ferry en 1881 qui institue la gratuité, puis l’obligation (de 6 à 13ans) et la laïcité en 1882. Ces lois marquent un tournant décisif dans l’histoire de l’enseignement. Mais à ca moment là, les instituteurs étaient en

ELISE ROBIN TG8Dissertation SESDans quelle mesure l’école française s’est-elle démocratisée ?L’instruction primaire a été rendu obligatoire de 6 à 13 ans par les lois Jules Ferry en 1881-1882 ainsi que l’école gratuite publique et laïque. Cette réforme a été suivie par de nombreuses avancées qui participent à la généralisation de l’accès à l’école primaire. On désigne

Le service public de l’éducation est conçu et organisé en fonction des élèves et des étudiants » Les suites de la période de décolonisation : il a fallu insérer culturellement des personnes socialement en France Une réactualisation des vœux de Jules Ferry en 1880 Pourtant : d’importantes mutations… Une conviction : pas d’élève universel « Tant que l’école restera indifférente aux différences des élèves, bcp d’élèves resteront indifférents à l’école » L. Legrand 1983 « Enseigner ce qui unit et ce

pensera Marx) mais d'une bonne organisation du travail. Smith reprend l'exemple de la manufacture d'épingles: tout seul une vingtaine d'épingles mais si on divise le travail avec 10ouvriers on fait 4800épingles par ouvrier. Il constate que même si des égalités persistent la condition des plus pauvres s'est améliorée. Il se produit une interaction entre des individus qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez et cela produit un effet collectif qui n'est pas conscient (main invisible). Tout les

l’arriération des Africains, des Asiatiques. | | |La « race blanche » européenne justifie la colonisation par une mission civilisatrice, paternaliste. Elle a le devoir (Jules Ferry) de mener les | | |« races inférieures » sur la voie du progrès. C’est « le fardeau de l’Homme blanc » (Rudéraux Kipling) | | |Cette entreprise a pris parfois des formes religieuses :

XVIII abdique en faveur du duc d'Angoulème. Légitimistes ne reconnaissent que le comte de Chambord. 1832: échec de la révolte menée par la duchesse de Berry, qui tente de soulever la Vendée. Enfermée, on découvre grossesse, elle est discréditée. Éducation Chambord confié à Mme Royale. Chateaubriand plaide contre.précépteurs (dif des enfants de Louis Philippe qui vont à H4). 1836: mort de Charles X. 1844: opposition modérée du duc d'Angoulème contre LP. Comte de Chambord n'agit pas. Ne connaît pas

« humilie la femme » est comparé à une forme légale de prostitution. Il y a donc une aspiration très nette à une transformation des rapports sociaux. C’est à cette époque que se développe le mouvement saint-simonien qui est basé sur l’idée d’une égalité des sexes. La « question femme » est ainsi placée au centre de leur doctrine. Pour la première fois, des hommes s’intéressent au sort des femmes et beaucoup de jeunes femmes épousent cette nouvelle religion. L’exercice du pouvoir est alors mixte.

sont extrêmement hostiles au retour de la monarchie. Ils sont les défenseurs des idéaux issus de la Révolution française (1789) et des libertés fondamentales. Ils sont favorables au suffrage universel masculin (sur le modèle de 1848) et prônent une éducation des citoyens pour en faire des électeurs « éclairés ». Adepte du positivisme d'Auguste Comte, ils pensent que la science peut tout expliquer et défendent le progrès. De ce fait ils sont souvent anticléricaux, ou du moins considèrent que la religion

long de notre analyse, la trace d’une norme sociale constituée par une forme scolaire et des valeurs économiques et idéologies qui participent de la vie et du fonctionnement bureaucratique de l’institution scolaire. MOTS-CLES : Instruction - Éducation - Déviance - Norme sociale - Forme scolaire Bureaucratie NOMBRE DE PAGES : 138 VOLUMES ANNEXES : 43 CENTRE DE FORMATION : COLLEGE COOPERATIF RHONE-ALPES (C.C.R.A.) SOMMAIRE AVANT-PROPOS p. 1 INTRODUCTION GÉNÉRALE p.