Jules Ferry De L égalité D éducation

l’enseignement ( 1870 – 1940 ). "Entre toutes les nécessités du temps présent, entre tous les problèmes, j'en choisirai un auquel je consacrerai tout ce que j'ai d'intelligence, […] c'est le problème de l'éducation du peuple". Ces paroles de Jules Ferry marque l'importance donnée à l'enseignement par la IIIème république et son personnel politique. Les hommes de la IIIème république vont ainsi dans le sens déjà amorcé par Condorcet durant la Révolution française, puis Guizot sous la monarchie de

sera devenu homme, pour la défendre ». 3. Quel autre but de l’école est mis en avant par Jules Ferry (doc. 1) ? L’école doit offrir à l’éducation afin d’éviter que certains soient « voués à l’ignorance » alors que d’autres reçoivent « un peu de savoir ». Cet objectif doit permettre certes à tous de disposer d’une éducation mais surtout à aboutir à une « égalité des droits », laquelle constitue pour Ferry « l’essence de la démocratie ». 4. Dégager des points communs entre les différentes matières

d’une longue tradition historique : héritage de 1789 puis de la IIIème République avec les lois Ferry de 1882 et Goblet de 1886 sur l’école primaire, la laïcité en France a été consacrée par la loi du 9 décembre 1905 séparant les Eglises de l’Etat. Enracinant la laïcité dans les institutions françaises, cette loi implique la liberté de conscience et de culte, la libre organisation des Eglises, leur égalité juridique par l’absence de reconnaissance officielle de religions, le droit à un lieu de culte

toutes les questions qu’on aborde vont chambouler un ordre c’est à dire - l’enseignement fait pas l’église. -Articuler les enseignements primaires et secondaires. - le contrôle du pouvoir central. -La question du choix, instruction ou éducation ? La constitution du 3 septembre 1791, elle proclame le principe de l’instruction publique commune à tous les citoyens, gratuite à l’égard des partis d’enseignement, indispensable pour tous les hommes. En 1792, on interdit les congrégations religieuses

d’Avril 1848). Malgré le nombre de députés républicains, les monarchistes restent majoritaires. - 4ème mesure Loi Schœlcher : abolition de l’esclavage dans les colonies françaises. - 5ème mesure Devise de la République complète : Liberté, Égalité, Fraternité Ainsi, la France est rentrée dans l’ère démocratique : le marxisme est l’ennemi juré de la bourgeoisie. Les paysans, qui sont majoritaires en France ont des idées généralement marxistes puisqu’ils sont contre la propriété privée.

De Gaulle est celui des colonies. Effectivement, il y fait référence ligne 11 : « vaste Empire étendu dans les cinq parties de monde ». Les cinq parties du monde correspondent bien sûr à une présence marquée sur la planète. Sous l’impulsion de Jules ferry, l’expansion coloniale repris de l’avant si bien que la Tunisie fut mise sous protectorat. C’est ensuite la Guinée, le Soudan français et la Côte d’Ivoire qui furent colonisé. On peut aussi noter en 1912 le protectorat sur le Maroc. La troisième

DESA – AGP Yvon PESQUEUX CNAM 2003 –2004 FICHE DE LECTURE DE LA CHAIRE D.S.O Antoine PROST Ecole, Education, Politiques « L’Histoire de l’éducation de 1945 à nos jours » Editions du seuil, 1997 SOMMAIRE Biographie Bibliographie

économique il avait des effets pervers qui ont pour noms : chômage dans les campagnes et dans les villes, exode rural, insécurité etc. Il fallait donc dès le XIXème siècle trouver des territoires où reverser ce surplus de population .C’est ainsi que Jules Ferry disait dans un discours devant la chambre « C’est ce transport d’une population considérable, d’une population agricole, commerciale, industrielle, c’est cette transplantation d’une population mâle et femelle, formant familles, villages et villes

pratiques ainsi que les actuels enjeux de ce type d’enseignement. Une lente marche vers l’école pour tous La genèse de l’école laïque[1] En 1792, Condorcet[2] expose devant l’Assemblée législative, son rêve d’une école laïque et gratuite et d’une égalité des sexes devant l’instruction. Sous l’impulsion du ministre Guizot en 1833, la Monarchie de juillet oblige les communes de plus de 600 habitants à ouvrir une école primaire de garçons, publique ou privée. La liberté d’enseignement est étendue par

École, Éducation, Politiques « L’Histoire de l’éducation de 1945 à nos jours» Cet ouvrage constitue le recueil d'une série d’études et de monographies sur l’histoire de l’enseignement dans la seconde moitié du XX ème siècle. Ces textes ont été publiés lors de colloques, surtout à l’étranger et rédigés à la suite de demandes ministérielles. Analyser le système scolaire français sur une période aussi proche peut se révéler périlleux puisque les sources d'archives ne sont pas encore rassemblées